Paris, Nouvelle Revue Française, 1913. Fort in-8 de 430 pages, catalogue in fine. Un des exemplaires sur vergé courant. Parfait état intérieur. Broché, couverture ivoire imprimée en noir et rouge. Excellent état malgré deux petites taches au dos.
Reference : 21977
Première édition collective en grande partie originale sur papier vergé. uvre majeure de l'auteur, publiée anonymement en 1908 à compte d'auteur. Le Journal de Barnabooth, qui forme l'essentiel du volume, est totalement inédit, alors que le conte Le Pauvre chemisier et certaines des Poésies avaient déjà été publiés en volume, à petit nombre, en 1908. Envoi autographe signé de l'auteur " à Simone Guye bien amicalement,Valery Larbaud." Simone Guÿe était collaboratrice d'Adrienne Monnier. Vignes, Biblio. NRF, 40.
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Paris, éditions de la Nouvelle Revue Française, 1913 Fort in-8 de 430pp., 1f.bl., (3)ff., de catalogue et achevé d'imprimer, 1f.bl., demi-maroquin rouge bordé d'un filet doré, dos lisse, tête dorée, non rogné, couvertures imprimées et dos conservés (reliure de l'époque).
"Édition originale. Cet exemplaire, sur papier d'édition (le tirage sur grand papier se limitant à 30 exemplaires sur vergé d'Arches), est enrichi d'un portrait en noir de Valéry Larbaud. Ces ""œuvres complètes"" de A.O. Barnabooth marquent un tournant important pour Valéry Larbaud, puisque, cinq ans après que les Œuvres françaises de M.Barnabooth (1908) -publiées sans nom d'auteur et d'où proviennent des poésies intercalées, ici, entre le Conte et les 340pp. de Journal - n'ont pas peu contribué à assoir sa réputation littéraire, l'écrivain assume enfin ouvertement, en signant son ouvrage, sa proximité (esthétique, existentielle…) avec le poète voyageur richissime aux origines exotiques qu'il a créé pour être son alter-ego. En effet, à défaut d'être milliardaire, Larbaud fut lui aussi ce voyageur esthète auquel une indéniable aisance matérielle permettait de promener à travers l'Europe son inquiète et néanmoins douce mélancolie. Familier des fantômes de la haute culture héritée de la Renaissance et de l'âge classique, ce polyglotte qui avait traduit Coleridge et, plus tard, traduirait Joyce, fut également -ceci bien avant les Morand, Cendrars et autres représentants passablement remuants de la jeune génération des Années folles- le prophète en France d'une poésie et d'une littérature modernistes mettant en scène la technique triomphante et le luxe propre à l'ère des paquebots, de l'automobile et de l'aéroplane. Bel exemplaire en reliure du temps. En français dans le texte, n°343."
Paris, La Nouvelle revue française, 1913. In-8, demi-maroquin moutarde avec coins, dos à nerfs, tête dorée, couv. et dos conservés (Devauchelle).Vignes, NRF, n° 40.Édition en grande partie originale de ces œuvres d'un poète imaginaire, le jeune Archibald Olson Barnabooth : certaines de ces poésies avaient paru en 1908 à petit nombre chez Messein sous le titre Poèmes par un Riche Amateur ; le "Journal" de ce "voyageur multi-millionnaire" et d'une curiosité universelle, est ici publié pour la première fois.Bel exemplaire, du tirage ordinaire, enrichi d'un envoi autographe signé sur le faux-titre : "À Monsieur Victor Suell, sincère hommage. V. Larbaud", et d'un billet autographe signé, daté du 24 décembre 1925, au sujet d'adhésions.Minimes taches en pied du dos.