Paris Hazan 1958
Reference : 002204
In-12 (182 x 118 mm), chagrin vert, dos lisse, plats ornés d'un collage de papier multicolore inspiré d'un tableau de Villon, tête dorée, couverture et dos conservés, chemise et étui jaune. Orné de 20 reproductions en couleurs de tableaux de JACQUES VILLON. La composition de la reliure reproduit une oeuvre de 1923, Papiers. Trente-neuvième volume de la Bibliothèque aldine des arts. (dos de la chemise et bordure de l'étui passé, quelques traces sur l'étui). // 12o (182 x 118 mm), green shagreen, smooth spine, covers with a geometrical tooling of multicoloured papers inspired from a painting of Villon, top edge gilt, soft cover and spine preserved, yellow folder and slipcase. Illustrated with 20 plates in colours reproducing paintings of JACQUES VILLON. The composition of the binding depicts a painting of 1923, "Papiers". 39th volume of th collection "Bibliothèque aldine des arts". (spine of folder and border of slipcase faded, some dust on slipcase).
Henri Picard et Fils
M. Christian Picard
126 rue du Faubourg Saint-Honoré
75008 Paris
France
01 43 59 28 11
Conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. <br />
Paris, Louis Carré, 1954. In-8 broché de 62-[4] pages, couverture illustrée rempliée, tiré à 1000 ex. sur vélin d’Arches à la forme.
Très beau catalogue, texte liminaire de Jean Adhémar, 59 estampes de Villon exposées, 26 superbement reproduites par «magic» Mourlot, suivies par un Essai de bibliographie. Envoi autographe de Villon à Daniel Zierer, grand bibliophile et ami de l’artiste. Exemplaire truffé de diverses pièces, avec pour commencer une petite plaquette d’exposition à la Galerie Louis Carré des oeuvres de Jacques Villon en décembre 1944 (texte de René-Jean), une autre plaquette à la même galerie, des oeuvres du même artiste exposé en 1948 (avec le carton d’invitation), encore une plaquinette des mêmes, mais en 1951, une carte de voeux imprimée, avec une petite litho de Villon (1955), trois articles de presses (signés André Warnod, J. -P. Crespelle). On joint également une lettre autographe de Villon adressée à Zierer (9/7/1955) ou il narre le travail en cours, il doit faire à Metz les vitraux de 10 mètres de haut sur un ou 2 mètres de large. [... ] mais je ne dois pas être fatigué [... ] avant la grande échéance [... ] à la fin de ce mois on carillonnera mes 80 ans!!! Avec une petite carte autographe du même au même le remerciant des félicitations fleuries. [... ] qui augmente la puissance des tous les souvenirs accumulés depuis pas loin de 70 ans ! Et pour finir on joint également la fiche manuscrite faite par Zierer pour sa bibliothèque. .
Précieux et magnifique exemplaire, très grand de marges (hauteur 157 mm) conservé dans son maroquin rouge de l’époque. A Paris, Imprimerie Antoine-Urbain Coustelier, 1723.1 volume petit in-8 de (3) ff., 184 pp., (2) ff. Plein maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, dos à nerfs finement orné de même, filet or sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure de l’époque.157 x 98 mm.
Première édition complète.L’exemplaire relié en maroquin strictement de l’époque des Œuvres de Guillaume Coquillart (1452-1510), lecteur de François Villon dont Jean-Paul Barbier écrit à propos d’une édition rare : « Un des volumes poétiques les plus précieux qui soient ».« Guillaume Coquillart brode avec une verve très débridée et nous a tracé ainsi un tableau de la vie bourgeoise et galante de son temps qui est riche en caricatures alertement dessinées. Coquillart a visiblement imité Villon et lui a pris les caractères les plus extérieurs de son style ».« Auteur comique important dans sa jeunesse, Guillaume Coquillart mourut en 1510, personnage considérable et considéré de Reims. Son œuvre théâtrale même semblerait avoir ajouté à son autorité. La production de Guillaume Coquillart valut à son auteur la renommée auprès du public et des écrivains. Ainsi est-il cité par Clément Marot aux côtés de Villon, Jean Molinet et Jean Le Maire. Autre preuve, peut-être, de cette influence : la composition des Droits nouveaulx establis sur les femmes, imitation des Droitz nouveaulx. »Guillaume Coquillart descend d’une famille versée dans le droit, occupée des affaires municipales (d’autres Coquillart figurent dans les archives de la ville) qui compte, avec son père, un traducteur, poète à l’occasion. Il naquit vers 1452. En 1477, il est reçu bachelier en droit canon à Paris. C’est dans ces années d’études qu’il convient de situer la plus grande partie de son œuvre, une œuvre de théâtre comique surtout. Le Plaidoié et l’Enqueste d’entre la Simple et la Rusee sont les deux parties d’un même procès parodique, dont l’enjeu est un jeune homme, le Mignon, que se disputent deux femmes. Ces deux pièces furent écrites pour le carnaval de 1478 et 1479. De la même veine sont les Droitz nouveaulx (1480). Il ne s’agit plus d’un texte dramatique, mais d’un divertissement. Usant d’un code scabreux, l’auteur y résout des cas parfois proches de ceux des Arrêts d’amour de Martial d’Auvergne. C’est à la même période (vers 1480) qu’appartient le Monologue Coquillard ou de la botte de foin. Cette fois, il n’y a pas de procès et aucun comique d’inspiration juridique. Un jeune amoureux vantard et élégant vient débiter sur scène sa déconvenue : le mari de sa maîtresse rentré à l’improviste, il a dû passer la nuit au grenier, caché sous une botte de foin. Il est considéré comme l’inventeur du monologue théâtral.La critique moderne s’intéresse beaucoup à Coquillart, ainsi qu’en témoignent les essais suivants : . Balsamo, Jean, « Galliot du Pré, éditeur de Guillaume Coquillart », Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), éd. Jean-Frédéric Chevalier, Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, pp. 95-112. . Bernard, J.-M., « Guillaume Coquillard, la poésie bourgeoise au XVe siècle », Revue critique des idées et des livres, 22, pp.429-442. . Chevalier, Jean-Frédéric, éd., Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, 197 pp. . Dérens, Jean, La vie et les œuvres de Guillaume Coquillart, diplôme d'archiviste paléographe, École nationale des chartes, Paris, 1967. - Résumé dans Positions des thèses de l'École des chartes, 1967, pp. 17-20. Thèse consultable aux Archives nationales à Paris sous la cote AB XXVIII 408. . d'Héricault, C., « Un poète bourgeois au XVe siècle, Guillaume Coquillart », Revue des Deux- Mondes, 7, pp. 970-1000; 8, pp. 508-537. . Freeman, Michael, « Guillaume Coquillart ou l'envers de la sagesse », Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), éd. Jean-Frédéric Chevalier, Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, pp. 11-26. . Koopmans, Jelle, « Esthétique du monologue : l'art de Coquillart et compagnie », Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), éd. Jean-Frédéric Chevalier, Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, pp. 27-44, etc…Cette édition est la plus correcte de toutes celles qui aient été faires des œuvres de Coquillart. (Viollet-le-Duc).Précieux et magnifique exemplaire, très grand de marges (hauteur 157 mm) conservé dans son maroquin rouge de l’époque.
Paris 1897 Librairie L. Conquet Half-Leather First Edition
Paris, Librairie L. Conquet , 1897, oeuvres de François de Villon, 90 illustrations en deux teintes de A. Robida, texte revisé et préfacé par Jules de Marthold, tirage limité à 350 exemplaires, 1 à 150 sur Chine fort, 151 à 300 sur vélin du Marais à la cuve, exemplaire sur vélin du Marais à la cuve n° 210, reliure superieur, demi cuir, le dos orné et doré avec titre et nom d'ecrivain, les plats marbrés, 340 pp, 25,5 x 17 cm, qualité exceptionelle, super rare!!!!!!
Phone number : +32(0)496 80 81 92
1947 Paris: Gallimard - NRF, 1947. En feuilles sous chemise et étui: 24 x 29 cm, 77-[2] pp. Édition originale du texte de Frenaud illustrée de six eaux-fortes originales à pleine page et en couleurs du peintre cubiste Jacques Villon (1875-1963) et d'une vignette de titre, également tirée en couleurs. Quatre des six eaux-fortes ainsi que la vignette de titre sont signées au crayon par Villon. Tirage limité à 190 exemplaires. Celui-ci, un des 150 exemplaires sur vélin de pur fil des papeteries du Marais (no. 149). Chemise cartonnée d'éditeur, titre en rouge au dos, étui assorti. Traces d'usage à l'étui, intérieur parfait, superbes illustrations.
1948 Paris, Louis Carré, 1948. Broché, sous couverture rempliée: 23 x 28 cm, 66pp. Avec 7 planches lithographiées (par Mourlot frères) des oeuvres de Jacques Villon. Un des 1800 exemplaires numérotés (no. 533), celui-ci porte la SIGNATURE MANUSCRITE au crayon de Jacques Villon sur la page de titre. Bel exemplaire, frais. Envoi de photographies sur demande.