Rouen, janvier 1946. PREMIER NUMÉRO de cette revue littéraire publiée sous la direction de Jacques Meynard [Jacques Brenner], et qui n'eut que trois numéros. Avec des textes de Jean Schlumberger : "Pour que Paris ne dévore pas la France" - André Gide : "Traversée" - Henri Thomas : "Cette minute d'éveil" - Charles Baudelaire : "Lettre inédite à Eugène Pelletan" - Julien Blanc : "Premiers contacts" - Pierre-René Wolf : "Marfa 1943". In-8 broché de 100 pp. Un manque sur 2 cm. en coiffe supérieure, sinon bon état. Papier de l'époque, uniformément jauni.
Reference : 14065
Le Livre Penseur
Dominique Bolland
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75005 Paris
France
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Langue allemande, Delphi, Verlegt bei Franz GRENO, 1988, 235 pp., relié, jaquette, bon état.
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1854-1869. En deux feuilles jointes formant un plan de 1,21 x 0,89 m, replié.
Beau plan de très grand format de la commune de Vitry-sur-Seine en 1869, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis corrigé en 1869. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine. En 1869, la commune de Vitry-sur-Seine, aujourd'hui dans le Val-de-Marne, faisait partie du canton de Villejuif, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. La commune prit son nom actuel de Vitry-sur-Seine en 1897. Ce plan de très grand format, de plus d'1,20 m de hauteur, figure Vitry-sur-Seine et les communes limitrophes d'Ivry-sur-Seine, Alfortville, Choisy-le-Roi, Thiais et Villejuif. Au sud d'Ivry-sur-Seine, on peut voir le fort d'Ivry, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui appartient aujourd’hui au ministère de la Défense. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). La commune d'Alfortville porte ici encore le nom de Maisons-Alfort. Ce n'est qu'en 1885 que sera créée la commune d'Alfortville sur un territoire démembré de la commune de Maisons-Alfort, et incorporée au canton de Charenton-le-Pont. Dans la ville de Vitry, on peut voir les anciens quartiers du Petit Vitry, actuel quartier du 8-Mai-1945, et du faubourg Bacchus, aujourd'hui renommé rue Jules-Lagaisse. Dans Choisy-le-Roi figurent les manufactures de maroquins, de chapeaux, de pierres artificielles, et de porcelaine opaque. Sur la Seine, on peut voir le pont de Choisy, reliant les deux rives de Choisy, détruit pendant la guerre de 1870 puis reconstruit, et le barrage du Port-à-l'Anglais, entre les communes de Vitry et d'Alfortville. Une importante légende accompagne la commune de Vitry : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, corps de garde, crèche, lavoir, fontaines, église, etc) et des établissements publics (station du chemin de fer d'Orléans, pompe de la ville de Paris et gendarmerie) ; route nationale de Paris à Antibes ; routes départementales ; chemins vicinaux de grande communication et ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Les sept teintes de la légende n'ont pas été utilisées, le plan a été laissé en noir et blanc. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des bâtiments qui n'existent plus aujourd'hui, comme le château de Vitry, détruit en 1910, ainsi que des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue d'Arnetal devenue l'avenue Roger Derry, la rue Saint-Aubin devenue l'avenue Maximilien Robespierre, la rue de la Barre devenue l'avenue Youri Gagarine, la rue de la Chapelle aux Granges, renommée rue du 10 Juillet 1940, la voie du Chevaleret devenue la rue Gabriel Péri, la rue des Étroits renommée rue Antoine Marie Colin, la rue Eugène Dubois devenue la rue Charles Infroit, la place du Petit Vitry devenue la place des Martyrs de la Déportation, la rue aux Prêtres, aujourd'hui disparue, ou encore la rue de Seine devenue la rue Jean Jaurès. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire, replié. Petite déchirure restaurée à une pliure. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 30 juin 1855, 1855, p. 463, 101.
1854-1869. En deux feuilles jointes formant un plan de 1,21 x 0,89 m, replié.
Beau plan de très grand format de la commune d'Ivry-sur-Seine en 1869, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis corrigé en 1869. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine. En 1869, la commune d'Ivry-sur-Seine, aujourd'hui dans le Val-de-Marne, faisait partie du canton de Villejuif, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. La commune prit son nom actuel d'Ivry-sur-Seine en 1897. Ce plan de très grand format, de plus d'1,20 m de hauteur, figure Ivry-sur-Seine et les communes limitrophes de Vitry-sur-Seine, Villejuif, Charenton-le-Pont, appelée Conflans les Carrières, Le Kremlin-Bicêtre, ainsi que le quartier de Bercy dans le 12ème arrondissement de Paris. On peut voir également une partie du 13ème arrondissement, sur laquelle figure la partie de la commune d'Ivry annexée à la ville de Paris. En 1860, le nord de la commune d'Ivry fut annexé à Paris pour constituer une partie du 13ème arrondissement. Les limites de Paris sont marquées par l'enceinte de Thiers. Sur la Seine figurent le pont de Bercy, ouvert en 1864, le pont National, construit entre 1852 et 1853 pour relier les gares de Lyon (chemin de fer de Lyon) et d'Austerlitz (chemin de fer d'Orléans), et le pont d'Ivry, ici nommé pont d'Ivry ou de la Bosse de Marne. Au sud d'Ivry, on peut voir le fort d'Ivry, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui appartient aujourd’hui au ministère de la Défense. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). Dans la ville d'Ivry sont représentées les fabriques de produits chimiques, de wagons, d'essieux, d'huiles et de bougies. Dans Paris sont représentés les entrepôts de Bercy, le magasin à fourrages, l'usine à gaz de la Compagnie Parisienne, et la manufacture de tabacs. À Charenton-le-Pont, on peut voir la gare aux charbons et aux longs bois, et les magasins généraux des vins. Une importante légende accompagne la commune d'Ivry : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, église, cimetière, etc) et des établissements publics (Hospice des Incurables, fort d'Ivry, gendarmerie, etc) ; route nationale de Paris à Bâle ; routes militaires (du fort de Bicêtre à celui d'Ivry, et du fort d'Ivry à celui de Charenton) ; routes départementales ; chemins vicinaux de grande communication et ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues publiques et particulières ; signes conventionnels. Les huit teintes de la légende n'ont pas été utilisées, le plan a été laissé en noir et blanc. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de l'Est, renommée rue Jean Jacques Rousseau en 1894, la rue des Fauconniers renommée rue Jules Vanzuppe, la rue de la Gorne, renommée rue Bernard Palissy en 1894, la rue Nationale, devenue le boulevard Paul Vaillant-Couturier en 1937, la rue Jean Picourt renommée rue Gaston Cornavin, la rue du Moulin de la Tour devenue la rue Baudin en 1888, la rue des Œillets renommée rue Kléber en 1894, la rue de l'Orme au Chat, renommée rue Maurice Gusnsbourg en 1945, la rue des Plantes renommée rue de Châteaudun en 1894, la place Saint-Frambourg devenue place Parmentier vers 1900, la rue de la Voyette, renommée rue Ledru Rollin en 1894, ou encore la rue Moïse renommée rue Edmé Guilloux en 1945. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire, replié. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 22 septembre 1855, 1855, p. 688, 222.
1900. 605 x 835 mm.
Très grand et beau plan de la commune de Levallois-Perret en 1900, issu de l'Atlas du département de la Seine, dressé par le Service des Ponts et Chaussées du département entre 1895 et 1900. Il a été lithographié en couleurs par Louis Wuhrer. En 1900, la commune de Levallois-Perret, créée en 1867 et aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine, faisait partie du canton du même nom, ancienne division administrative créée en 1893, au sein de l'arrondissement de Saint-Denis et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce très grand plan figure Levallois-Perret, et les communes limitrophes de Bécon-les-Bruyères, Clichy et Neuilly, officiellement nommée Neuilly-sur-Seine en 1897. Il montre également une partie du 17ème arrondissement de Paris. Les limites de la capitale sont marquées par les bastions de l'enceinte de Thiers. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Dans Levallois-Perret, on peut voir l'ancien Champ de courses de Neuilly-Levallois, inauguré en 1889 et supprimé en 1901, et le Vélodrome de la Seine. Ce dernier, inauguré en 1893, sera fermé au bout de quelques années puis démoli pour permettre la construction d’usines. Le plan de la ville montre également la gare portant la mention Compagnie des Chemins de Fer de l'Ouest Ateliers et Remises de Levallois. Dans la commune de Bécon-les-Bruyères, on peut voir la gare, le parc et le château. Le parc est toujours là aujourd'hui, mais le château a été rasé après avoir été gravement endommagé par les bombardements en 1870, puis lors de Seconde Guerre mondiale. Dans la ville de Clichy, on peut voir le Garage, l'Usine à gaz, l'Usine de Refoulement des Eaux d'Égouts de la Ville de Paris, et la Société philanthropique pour laquelle est mentionné le nom de son fondateur Jules Gouin. Sur la Seine figure l'Île de la Grande Jatte. Dans le coin supérieur gauche figure une carte du département de la Seine. Plan intéressant pour l'histoire de la commune de Levallois-Perret, montrant des lieux ou des bâtiments qui n'existent plus aujourd'hui, comme le Champ de courses de Neuilly-Levallois et le Vélodrome de la Seine, ainsi que des rues qui ont disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de Courcelles devenue la rue du Président Wilson, la rue des frères Hébert renommée rue Édouard Vaillant, la rue du Bois devenue la rue Jean Jaurès, la rue Chevallier devenue la rue Louis Rouquier, ou la rue Gide renommée rue Paul Vaillant-Couturier. Bel exemplaire. Vallée, 147.
CONSEIL GENERAL DES HAUTS DE SEINE. 2005. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Environ 118 pages illustrées en couleur - inclus un poster plié. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
La petite abeille, Le magazine qui butine l'information - SOMMAIRE : J'embarque sur la Seine- la deesse sequana et les thermes- la seine de lutece a paris- la vie de napoleon bonaparte, le fleuve seine, la grande crue de 1910, le ruisseau, la source, de l'eau de pluie a l'eau de source, l'eau de surface, hauts de seine, marais, usines, mer, val de seine, seine urbaine, boucle nord, plaine aval, les impressionnistes, ecrire sur les bords de seine... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues