format moyen, couverture souple.378 pages. Très bon état; une expédition par monial relay pourra vous être proposée 2015 ACTES SUD
Reference : 21237
Occasion de lire
M. Vincent Huchette
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France
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Meridian Publishing Co., Amsterdam Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1979 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur rouge, illustrée d'une gravure de boussole astrologique des chinois In-8 1 vol. - 138 pages
3 planches dépliantes hors-texte, quelques figures dans le texte nouvelle édition de 1979, reprint en fac-similé de l'édition de 1834 "Contents, Chapitres : Julius Klaproth (Berlin, 11 octobre 1783 - Paris, 28 août 1835) est un orientaliste allemand. Il est à l'origine de la théorie de la famille des langues tibéto-birmanes et a répandu le terme famille de langues indo-européennes en Europe. - cf : compas magnétique ou magnetic compass - La boussole est dorigine chinoise mais il y a des désaccords sur la date précise à laquelle elle fut inventée. La première boussole chinoise n'était probablement pas conçue pour la navigation, mais consistait en une pierre d'aimant utilisée pour harmoniser l'énergie environnementale selon les principes géomantiques du Feng shui. Il existe des références littéraires dignes d'attention qui mettent en évidence son antiquité - Les historiens débattent de la diffusion de la boussole après son développement en Chine et remettent en question le rôle d'intermédiaires joué par les Arabes. En effet, la première mention d'une aiguille aimantée et de son usage par les marins en Europe se trouve dans De naturis rerum (« De la Nature des Choses ») d'Alexandre Neckam publié en 11908 tandis que la plus ancienne référence à une boussole au Moyen-Orient se trouve dans un récit perse de 1232. La première référence arabe à une boussole, sous la forme d'une aiguille magnétisée dans un bol d'eau, vient du sultan et astronome yéménite Al-Ashraf en 1282. Il semble qu'il fut également le premier à l'avoir utilisée pour l'astronomie. Comme l'auteur affirme avoir vu une boussole être utilisée sur un navire environ quarante ans plus tôt, certains spécialistes font remonter la date d'apparition dans le monde musulman de la même durée. L'invention de la boussole en Europe était attribuée à un Amalfitain nommé Flavio Gioja en 1300 ou 1302. S'il ne fait aucun doute que des boussoles étaient utilisées par les navigateurs européens dès cette époque, le nom de Flavio Gioja résulte d'une série de déformations et de mauvaises lectures de divers textes. Selon l'historien de la marine française, Charles Bourel de La Roncière, « Flavio Gioja est un mythe, la date et le lieu de l'invention sont controuvés ». Au xive siècle, à Byzance, la boussole, introduite par des navigateurs italiens, était connue sous le nom de ""magnitikí pyxís"" ; elle est mentionnée par Marc Ange dans le poème Éros qui date du xive siècle. Il faudra attendre 1600, pour que le phénomène du magnétisme soit mieux compris et plus exhaustivement décrit par William Gilbert dans son ouvrage De Magnete, Magneticisque Corporibus, et de Magno Magnete Tellure (Du magnétisme et des corps magnétiques, et du Grand Aimant Terre). (source : Wikipedia)" dos et bords du dos insolés (décolorés), sinon bel exemplaire, frais et propre, bien complet des 3 planches hors-texte, imprimé sur papier de qualité - cachet de géomètre sur la première page
P., Nicolle, 1809, un volume in 8 relié en cartonnage bradel rose (reliure de l'époque) (légèrement frottée), 16pp., 269pp., 6pp., (1)
---- Seconde édition AUGMENTEE ---- Dans cet ouvrage, "l'auteur essaie démontrer que la boussole était inconnue des anciens et que les Français en ont les premiers fait usage à l'époque des croisades". (Hoefer IV) ---- La Boussole n'a pas été connue par les Anciens - De la connaissance de la boussole chez les Chinois, chez les Arabes, chez les Européens**5742.ARM2D
Paris, Jacques Guérin, 1732. Paris.. 1732. 1 volume in-4 de XXIV-96 pp., veau, dos à nerfs orné, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Édition originale illustrée de 4 planches hors texte. Meynier, ingénieur du roi pour la Marine, professeur royal d'hydrographie au Havre, avait travaillé sur le délicat problème de la variation de la boussole, après avoir déjà envoyé des Mémoires à l'Académie sur le planisphère et l'astrolabe. L'Académie Royale des Sciences ayant proposé en 1729, un concours à remettre en 1731, sur la variation de la boussole, Meynier y concourut; lors le la remise du prix, il s'aperçut que son Mémoire n'avait jamais été déposé à l'Académie : il s'en ouvrit à Mr de Fontenelle, qui se souvint d'un paquet qu'il avait oublié d'aller chercher à la Poste! Le précieux manuscrit fut retrouvé et publié avec l'approbation de Fontenelle qui "a jugé que l'instrument de Monsieur Meynier est très propre pour sauver une grande partie des défauts presque inévitables des méthodes ordinaires : que la promptitude avec laquelle un observateur peut voir l'Astre et le degré de cet instrument, est une des choses les plus importantes pour observer la mer avec quelques exactitude. Que la suspension ingénieuse et simple qu'il donne à l'instrument n'est pas moins importante. Qu'on pourra de cette façon observer la déclinaison de la boussole beaucoup plus commodément et plus exactement que par toutes les méthodes qui sont ordinairement en usage, tant par le soleil que par les étoiles fixes".Quérard VI, 103. Ex-libris manuscrit sur la page de titre "de Ruiz".
1732 1732 Paris. Jacques Guérin. 1732. 1 volume in-4, plein veau, dos à nerfs orné, pièce de titre en maroquin rouge, tranches dorées. XXIV pp. ; 96 pp.
Edition originale illustrée de 4 planches hors texte. Meynier, ingénieur du roi pour la Marine, professeur royal d'hydrographie au Havre, avait travaillé sur le délicat problème de la variation de la boussole, après avoir dèjà envoyé des Mémoires à l'Académie sur le planisphère et l'astrolabe. L'Académie Royale des Sciences ayant proposé en 1729, un concours à remettre en 1731, sur la variation de la boussole, Meynier y concourut; lors le la remise du prix, il s'aperçut que son Mémoire n'avait jamais été déposé à l'Académie : il s'en ouvrit à Mr de Fontenelles, qui se souvint d'un paquet qu'il avait oublié d'aller chercher à la Poste!Le précieux manuscrit fut retrouvé et publié... avec l'approbation de Fontenelles qui "a jugé que l'instrument de Monsieur Meynier est très propre pour sauver une grande partie des défauts presque inévitables des méthodes ordinaires : que la promptitude avec laquelle un observateur peut voir l'Astre et le degré de cet instrument, est une des choses les plus importantes pour observer la mer avec quelques exactitude. Que la suspension ingénieuse et simple qu'il donne à l'instrument n'est pas moins importante. Qu'on pourra de cette façon observer la déclinaison de la boussole beaucoup plus commodément et plus exactement que par toutes les méthodes qui sont ordinairement en usage, tant par le soleil que par les étoiles fixes". Quérard VI, 103. Ex-libris manuscrit sur la page de titre "de Ruiz". Bel exemplaire.
Paris, Ernest Flammarion, s.d. (1903), in-8vo, 374 p. + 31 p. de publicité, (à la fin la publ. pour divers Guides-Boussole eds. 1903), orné de plans et de gravures (illustrations), reliure toile verte avec un pte. boussole orig. au coin supérieur. Titre sur la reliure: La Suisse.
Pas dans Perret. Image disp.
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