Bourg, Imprimerie du Progrès de l’Ain, 1884 ; in-8, broché ; (4), 113, (1 bl.), (2) pp. (table), couverture bleue.
Reference : 12007
Edition originale. Couverture défraichie et déchirée, soigneusement restaurée, intérieur bien propre. L’ouvrage est dédicacé “Au petit-fils du camarade de Joubert, Alexandre Dumas, troisième du nom” (dit Fils, petit-fils du Général Dumas).
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M. Jacques Van Eecloo
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Paris, Fischbacher, 1884, in-8, broché, XV, 257 pp., (1) f., portrait du Général Joubert en frontispice.
Nombreuses notes manuscrites de l’historien André Chagny dont c’était l’exemplaire.Couverture factice avec sauvegarde d’une grande partie du premier plat, intérieur en bon état. Seconde édition.
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L’un des 50 exemplaires de l’édition originale « très recherchée » des Pensées de Joubert, imprimée par Chateaubriand, l’ami intime de l’auteur, et réservée aux proches. Paris, Imprimerie Le Normant, 1838.In-8 de 394 pp. et (1) f.bl. Relié en demi-veau bleu marine de l’époque, dos lisse orné de filets dorés.200 x 125 mm.
Edition originale, « tirée à petit nombre et de la plus grande rareté. Joubert était mort en 1824, et c’est à la demande de Mme Joubert que Chateaubriand fit un choix dans les papiers de l’auteur pour publier ce Recueil qui fut distribué à des amis. Cette première édition est très rare ». (Escoffier, Le Mouvement romantique, p. 294). « Très rare, tiré à très petit nombre (50 exemplaires ?), et très recherché. Plusieurs pensées n’ont pas été réimprimées dans les éditions suivantes » (Clouzot 161). « Tiré à un petit nombre d’exemplaires et distribué à des amis. L’éditeur est M. de Chateaubriand, auquel Mme Joubert confia, après la mort de son mari, les petits cahiers écrits au crayon sur lesquels l’auteur avait déposé ses pensées, ses maximes et ses réflexions. M. Joubert n’avait publié pendant sa vie que quelques articles non signés dans les journaux » (La Littérature française contemporaine, p. 419). « Joseph Joubert (1754-1824) sera lié avec Fontanes jusqu’à sa mort par une tendre et fidèle amitié. Pendant quelques mois, Joubert servit de secrétaire à Diderot et travailla sous sa direction à l’Essai sur la bienveillance universelle. Il connut également Restif de la Bretonne et devint l’amant de sa femme. En 1793, Joubert épousa Mlle Moreau de Bussy, et l’année suivante, rencontra Pauline de Beaumont que, quelques années plus tard, il devait faire connaître à Fontanes, et celui-ci à Chateaubriand. En 1800, c’est autour de cette jolie femme et de ces trois hommes que devait se créer un salon qui eut son heure de célébrité. C’est là que Joubert commença à exercer un véritable ascendant sur Chateaubriand à qui il servit pendant des années de mentor, l’encourageant mais le critiquant parfois âprement. Joubert fut une des rares personnes dont Chateaubriand acceptât une telle sévérité ; il profita de ses conseils et lui témoigna un attachement indéfectible. Mais Joubert, aimé et estimé des hommes les plus remarquables de son temps, resta toujours dans l’ombre et, à l’exception des quelques articles parus dans sa jeunesse, ne publia jamais rien. Il écrivait pourtant avec continuité, au jour le jour, dans de petits carnets qu’il tint avec la plus grande régularité à partir de 1786 ; ce sont ces notes menues, raffinées, pleines de sel et de suc dont Chateaubriand devait tirer le petit ouvrage intitulé ‘Recueil des pensées procurées par Chateaubriand’ paru en 1838 ». (Dictionnaire des auteurs, II, p. 665). Dans ses Portraits littéraires, Sainte-Beuve consacre un chapitre entier à l’auteur de ces Pensées : « Bien que les ‘Pensées’ de l’homme remarquable, dont le nom apparaît dans la critique pour la première fois, ne soient imprimées que pour l’œil de l’amitié, et non publiées ni mises en vente, elles sont destinées, ce me semble, à voir tellement s’élargir le cercle des amis, que le public finira par y entrer. Parlons donc de ce volume que solennise d’abord au frontispice le nom de M. de Chateaubriand éditeur, parlons-en comme s’il était déjà public : trop heureux si nous hâtions ce moment et si nous provoquions une seconde édition accessible à la juste curiosité de tous les lecteurs […]. M. Joubert a été l’ami le plus intime de M. de Fontanes et aussi de M. de Chateaubriand […] En littérature, les enthousiasmes, les passions, les jugements de M. Joubert le marquaient entre les esprits de son siècle et en vont faire un critique à part… M. Joubert est un esprit délicat avec des pointes fréquentes vers le sublime […] Sur quantité de points qui reviennent sans cesse, sur bien des thèmes éternels, on ne saurait dire mieux ni plus singulièrement que lui. » (Sainte-Beuve, Portraits littéraires, pp. 306-326). A l’époque le possesseur de cet exemplaire a fait relier à la suite les Sentiment de Napoléon sur la divinité de Jésus-Christ par le Chevalier de Beauterne. (Paris, chez l’auteur, 1841. In-8 de (1) f., viii pp., xix, 32, 83, 8, 4, 3, (1)). Ce même possesseur a rédigé sur la première page de garde une longue notice documentée, à la fois biographique et bibliographique sur cette rare édition des œuvres de Joubert. Plaisant exemplaire réservé à l’un des amis de l’auteur, sans rousseurs, conservé dans sa demi-reliure de l’époque. Provenance : ex libris de la bibliothèque de M. Elie Petit. Le seul exemplaire de cette originale de Joubert répertorié dans ABPC fut vendu 23 000 F par Sotheby’s Monaco en 1989, soit 3500 € il y a 18 ans. Parmi les bibliothèques publiques françaises, seule la B.n.F. en possède un exemplaire. OCLC n’en répertorie aucun.
Plon, 1944, in-8°, xii-588 pp, 4 portraits et un fac-similé hors texte, biblio, index, broché, bon état
La formation du coeur et de l'esprit chez Joubert (1754-1793), les amitiés éducatives de Joubert : Fontanes, Chateaubriand, Molé, Chênedollé, etc (1778-1812), Joubert, inspecteur général et conseiller ordinaire de l'Université impériale (1808-1815), les idées éducatives de Joubert (1808-1824), derniers conseils d'un sage (1815-1824), Joubert éducateur : son portrait moral, ses pensées, son classicisme. Sur Joseph Joubert, moraliste et essayiste français (1754-1824). En 1778, il monta à Paris où il rencontra D'Alembert et Diderot et se lia d'amitié avec Chateaubriand. De son vivant, Joubert ne publia jamais rien, mais il écrivit de nombreuses lettres, ainsi que des notes et des journaux où il reportait ses réflexions sur la nature de l'homme, sur la littérature, et sur d'autres sujets, dans un style poignant, volontiers aphoristique. A sa mort, sa veuve confia ces notes à Chateaubriand, qui en fit publier un choix sous le titre Recueil des pensées de M. Joubert en 1838. Des éditions plus complètes allaient suivre, ainsi que celles de la correspondance. — "M. Rémy Tessonneau, à qui l'on doit la publication, en juillet 1943, de la Correspondance de Fontanes et de Joubert, publie aujourd'hui un important in-octavo sur Joseph Joubert éducateur (1754-1824), d'après des documents inédits. Cette thèse déborde le sujet indiqué par le titre et par cela même offre un intérêt plus général. C'est ainsi que la première partie consacrée aux amitiés éducatives de Joubert entre 1778 et 1812, retrace ses rapports avec Fontanes, Mlle Moreau, son frère : Arnaud Joubert, Chateaubriand, Molé, Mme de La Briche, Chênedollé et la touchante Pauline de Beaumont, et cette partie, agrémentée de lettres parfois reproduites in-extenso pour la première fois, apporte des précisions nouvelles. C'est ainsi que l'auteur indique le moment où Chateaubriand put rencontrer Joubert et qui fut plus tardif qu'on le croyait jusqu'ici. La seconde partie, consacrée à Joubert inspecteur général et conseiller ordinaire de l'Université impériale, montre les idées que l'auteur des Pensées insuffla à un enseignement auquel l'Empereur apportait une si pénétrante attention. Une troisième et dernière partie étudie la valeur des idées éducatives de Joubert. Belle thèse d'un auteur dont on peut escompter de fructueuses recherches et d'utiles travaux." (Revue des Deux Mondes, 1944)
[ Chez Lavigne Jeune, Chez Dumoulin, Chez Chaumas-Gayet, A. Joubert ] - GUILHE, Henri-Charles ; SIMEON, Michel-Anatole ; JOUBERT, A. ; JOUANNET, François
Reference : 63433
(1835)
1 vol. in-8 relié demi-chagrin maroquiné bordeaux, dos lisse à 6 faux-nerfs dorés, Etudes sur l'Histoire de Bordeaux, de l'Aquitaine et de la Guienne, depuis les Celtes jusqu'à la première Révolution française en 1789. Formant une histoire complète, par Henri-Charles Guihe, plan dépliant, Chez Lavigne Jeune, Bordeaux, 1835, 386 pp. avec un plan dépliant [ Suivi de : ] Dissertation historique sur les Origines de la Ville de Bordeaux, Par M. le Chevalier Michel-Anatole Siméon, Chez Dumoulin, Paris, Chez Chaumas-Gayet, Bordeaux, Chez L. et A. Guéraud, Nantes, 1851, 4 ff., 64 pp. et 2 ff. n. ch. [Suivi de : ] Du Médoc. Observations sur la Culture de cette contrée dédiées à MM. Barton et Guestier, négocians à Bordeaux, par A. Joubert, A. Joubert, Place de la Bourse, Paris, seul dépôt des Vins de MM. Barton et Guestier de Bordeaux, Paris, 1836, 75 pp. [Suivi de : ] Notice sur les Antiquités de Saint-Emilion, par F. Jouannet, Conseils d'un vieillard, par le même. - Éloge de M. de Saint-Marc, par le même. Recueil Académique Année 1820, 32 pp.
Très intéressant recueil d'éditions originales, réunissant notamment deux documents très rares : tout d'abord la très rare édition originale, datée de 1836, de "Du Médoc. Observations sur la Culture de cette contrée" par Joubert. Conservateur de la collection Carême, A. Joubert était à Paris le représentant des maisons Barton et Guestier de Bordeaux, Ruinart de Reims, Marey de Nuits... Cet ouvrage qui a pour faux-titre : "Observations sur la Culture du Haut-Médoc" est l'un des tous premiers travaux sérieux consacré aux vins de Bordeaux depuis le début du XIXe siècle ; on y trouvera notamment une étude sur le puits artésien creusé au château de Beychevelle en 1839. A la suite, on trouvera la "Notice sur les Antiquités de Saint-Emilion" par F. Jouannet. Archéologue périgourdin d'adoption puis bordelais, membre de l'Académie des Inscriptions et Belles-lettres, François Jouannet (1765-1845) est l'un des pères de la paléontologie française : il découvrit en 1816 et 1817 les deux sites de Combre-Grenal et Pech-de-l'Azé. On remarquera sur la page de titre du premier ouvrage un curieux et remarquable cachet d'échange : "Echange. Autorisation du Maire de Bordeaux du 2 Nbre 1858. Le Conservateur de la Bibliothè[que]. Signé : Calixte Dup[ont]". Bon exemplaire (qq. rouss., ex-libris gravé en garde). Bibliotheca Vinaria, 94
( Bob Morane ) - Pierre Joubert - Alain Gout - Alain Jamot - Jacques Dutrey.
Reference : 14797
(2006)
Editions Delahaye 2006. In-4 broché de 126 pages au format 24,2 x 32 cm. Couverture à rabats, illustrée. Dos carré. Plats et intérieur frais. Textes de Alain Gout, Alain Jamot et Jacques Dutrey. Ouvrage consacré au 20 ans de collaboration de Pierre Joubert à la collection " Marabout ", avec de très nombreuses reproductions de couvertures, et de magnifiques illustrations de Pierre Joubert. dont une grande partie consacrées à " Bob Morane ". Rare tirage de luxe tiré à 200 exemplaires ( n° 92 ), accompagné d'une belle montre " Bob Morane ". Cette dernière est décorée d'une illustration inédite de Pierre Joubert réalisée pour le roman d'Henri Vernes écrit en 1965 : " Piège au Zatacalgo ". La montre est neuve et placée dans son boitier plastique, qui est un peu fendu, posée sur un carton reprenant une partie de l'illustration au recto. Au verso on peut trouver le justificatif de tirage et la numérotation ( 096 / 200 ). Etat de neuf. Rare édition originale épuisée en tirage de tête.
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