‎MARTIN, A. E.‎
‎On n'est pas à la noce.‎

‎A la page ! .. amours, délices et ... blagues n°1 - Introduction - histoires à raconter - erreur n'est pas compte - la noce par le chevalier de L. - Noé et la première vendange - un veuf inconsolable conte inédit de Guiseppe Papo - les astres etc.‎

‎Les éditions du puits-pelu. non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 63 pages - dessin en couleur sur le 1er plat de Roger Sam - nombreux dessins en noir et blanc dans le texte - texte sur deux colonnes - rousseurs sur les plats - petite annotation sur la page introduction.. . . . Classification Dewey : 847-Satire, humour‎

‎Sommaire : Introduction - histoires à raconter - erreur n'est pas compte - la noce par le chevalier de L. - Noé et la première vendange - un veuf inconsolable conte inédit de Guiseppe Papo - les astres - dessins d'aujourd'hui - dessins d'hier par Abel Faivre - travaux manuels Frederic-Charles - une raison valable - le coup de foudre conte inédit par Frédéric Charles - la rivale par Léopold Massiera - l'année des jeunes gens - dans un bistrot du vieux port souvenirs - le défi nouvelle inédite par Juliane Jean - l'éternel féminin par Charles Richard - un mari plein de logique conte humoristique inédit par Aimé Julien - la danseuse nue et le ministre - mardi-gras. Classification Dewey : 847-Satire, humour‎

‎A.-E. Martin. On n'est pas à la noce : . eThe Bridal bed murderse. Traduction de Maurice-B. Endrèbe‎

‎Générique Broché D'occasion état correct 01/01/1955 150 pages ‎

‎[ Deux lettres autographes signées, adressées à Théodore Massiac, collaborateur au Gil Blas : ] 1 L.A.S. de 2 pages, non datée : [ Sorti tard des répétitions, il s'excuse de ne pouvoir s'être rendu au Gil Blas, et lui transmets quelques notes : ] "Pas grand chose d'ailleurs à vous donner, comme indiscrétions. Le plus intéressant là-dedans c'est le début de Mily Meyer aux variétés ! C'est une [...] et une féticheuse. Elle avait eu dans "Benjamine" un succès personnel très grand. Réfugiée aux Variétés, à la suite de ce succès, elle a tenu à y débuter sous le patronage des auteurs de "Joséphine vendue par ses soeurs". Aussi, dans le concours de pièces proposées pour elle, penchait-elle obstinément pour une pièce de Ferrier et Carré. Et voilà comment je suis entré aux Variétés... pour la première fois. Il y a vingt ans que je connais Bertrand [... ] jamais je n'avais été joué. Carré lui avait eu "La nuit de noce P.L.M." moi rien. J'ai passé par tous les Théâtres de Paris, depuis l'Opéra & le Français jusqu'aux Menus Plaisirs & même Beaumarchais ! La glace est rompue... j'espère. Mily joue une petite bouquetière des rues - et Baron une sorte de gouapeux vif, querelleur, bruyant... mais pas filou ! [ Là on retrouvera des souvenirs d'avocats : Carré l'est encore - moi je l'ai été. J'aurais même continué cette carrière... à Montpellier, mon barreau natal, sans une circonstance assez particulière : j'avais vingt ans et une jeune moustache. Vint un Président du Tribunal qui ressuscitant de vieux règlements exigea la suppression de nos moustaches. Je jetai ma robe aux orties et je vins faire du Théâtre à Paris. Il y a vingt ans de cela... hélas ! Carré lui continue à défendre la veuve, l'orphelin [... ] ; [On joint : ] 1 L.A.S. d'une page‎

‎2 L.A.S. à savoir 1 L.A.S. de 2 pages, non datée [ circa 1887 ? ]: [ Sorti tard des répétitions, il s'excuse de ne pouvoir s'être rendu au Gil Blas, et lui transmets quelques notes : ] "Pas grand chose d'ailleurs à vous donner, comme indiscrétions. Le plus intéressant là-dedans c'est le début de Mily Meyer aux variétés ! C'est une [...] et une féticheuse. Elle avait eu dans "Benjamine" un succès personnel très grand. Réfugiée aux Variétés, à la suite de ce succès, elle a tenu à y débuter sous le patronage des auteurs de "Joséphine vendue par ses soeurs". Aussi, dans le concours de pièces proposées pour elle, penchait-elle obstinément pour une pièce de Ferrier et Carré. Et voilà comment je suis entré aux Variétés... pour la première fois. Il y a vingt ans que je connais Bertrand [... ] jamais je n'avais été joué. Carré lui avait eu "La nuit de noce P.L.M." moi rien. J'ai passé par tous les Théâtres de Paris, depuis l'Opéra & le Français jusqu'aux Menus Plaisirs & même Beaumarchais ! La glace est rompue... j'espère. Mily joue une petite bouquetière des rues - et Baron une sorte de gouapeux vif, querelleur, bruyant... mais pas filou ! [ Là on retrouvera des souvenirs d'avocats : Carré l'est encore - moi je l'ai été. J'aurais même continué cette carrière... à Montpellier, mon barreau natal, sans une circonstance assez particulière : j'avais vingt ans et une jeune moustache. Vint un Président du Tribunal qui ressuscitant de vieux règlements exigea la suppression de nos moustaches. Je jetai ma robe aux orties et je vins faire du Théâtre à Paris. Il y a vingt ans de cela... hélas ! Carré lui continue à défendre la veuve, l'orphelin [... ] ; [On joint : ] 1 L.A.S. d'une page‎

‎Très intéressante lettre autographe signée dans laquelle l'écrivain et librettiste Paul Ferrier (1843-1920) évoque sa collaboration avec Fabrice Carré, sa jeunesse d'avocat (et sa robe jetée aux orties pour une moustache !), et évoque la soprano Emilie Mily-Meyer qui tient le premier rôle dans leur dernière oeuvre.‎

‎Radar n° 441 - Ils sont devenus Cte et Ctesse de Clermont, Sa traine est un fardeau, et le roi soleil règne sur la noce, Le vrai masque du vainqueur, Elle n'est pourtant pas réfrigérante, M. Coty découvre l'Alsace,M. le Président voici la photo‎

‎Bureau du journal. 21 juillet 1957. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 24 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

‎Sommaire :Ils sont devenus Cte et Ctesse de Clermont, Sa traine est un fardeau, et le roi soleil règne sur la noce, Le vrai masque du vainqueur, Elle n'est pourtant pas réfrigérante, M. Coty découvre l'Alsace,M. le Président voici la photo que vous souhaitiez Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

‎La Vie Parisienne - 87e année n°7 Fév. mars 1950 - Celles qu'on invente... et celles qu'on n'invente pas - Propos très parisien par André Thérive - Ce n'est qu'un écho.. répétez-le de grâce !! - Voyage de noce par Etienne Rey - Un auteur et... cent jolies‎

‎Au bureau de la revue. 1950. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 30 pages environ - nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte. Texte sur plusieurs colonnes. Mors fendus, 2e plat déchiré.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

‎"Sommaire : Celles qu'on invente... et celles qu'on n'invente pas - Propos très parisien par André Thérive - Ce n'est qu'un écho.. répétez-le de grâce !! - Voyage de noce par Etienne Rey - Un auteur et... cent jolies femmes par Jean de Létraz - Dessin de J.-P. Denis - Carnavals bals festivals, par la flâneuse des deux-rives - Dessin en couleurs de Clauss - Contrebande par J. Dréange - Dessin en couleurs de Bernard - Le baiser par G.-A. Masson - Voulez-vous passer un week-end dans la neige ? dessin de Luc By - Cibles, Arletty par René Dauteil - Jeu dangereux, dessin en couleur d'Hérouard - Les arts, Jean Dominique Van Caulaert par Vaudreuil - Etude de nu de J.D. Van Caulaert - Les plus beaux mois de Paris, dessin en couleurs de A. Vallée - Frivolités, les bas que je préfère par Gine - Les auteurs en scène pour le ""Un"" .. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"‎