Editions universitaire, 1968. ("Classiques du Xxe siècle", n°47) In-16, broché, 125 pages.
Reference : 81680
Bon état. Couverture, dos et 4e légèrement passés, intérieur frais. [PM-LP4]
Librairie Pique-Puces
Alix Geysels
07 80 01 72 79
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Messidor. 1971. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 265 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"Sommaire : Jean Perrot : Dostoïevski ""aristocrate"" grand-russe - Jacques Madaule : Le dédoublement de Versilov - Marie-Louise Coudert : Points de repère - Vladimir Pozner : Dostoïevski et le roman d'aventures - Sophie Ollivier : L'argent chez Dostoïevski - Bernadette Morand : La maison des morts - Nelly Stephane : L'homme marqué - Istvan Fodor : Dostoïevski et André Gide - Maria Rev : Dostoïevski et ses contemporains russes - Boris Kouznetsov : La question de Dostoïevski et la réponse d'Einstein - Bernadette Morand : Le nouveau monde de Dostoïevski - Jean Pérus : ""Dostoïevski"" par L. Grossmann... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"
# AUTEUR: Dostoïevski Fédor # ÉDITEUR: Calmann-Lévy Paris # ANNÉE ÉDITION: 1949 # ENVOI, BEAUX PAPIERS: Vélin Alma filigrané du Marais # COUVERTURE: Souple illustrée à rabats # DÉTAILS: In 8° broché XXVIII + 324pp.+ 1ff. 1er tirage septembre 1949. N° 59 des 100 exemplaires sur Vélin Alma filigrané du Marais, après 15 exemplaires hors commerce. Très bon état. Volume I seul. # PHOTOS visibles sur www.latourinfernal.com
Introduction - Notes - Commentaires de Dominique Arban. Première traduction intégrale et conforme au texte russe. ”On écrit jamais rien dans une lettre. C'est pourquoi je ne peux souffrir Mme de Sévigné. Elle écrivait trop bien.” Ainsi s'exprime le jeune Fédor Dostoïevski dans une lettre à son frère. Mais c'est la chance de la postérité qu'il ait dû, toute sa vie, communiquer par le papier et par la plume avec ceux qu'il aimait.” (introduction)
[DOSTOÏEVSKI] - CATTEAU (Jacques) & ROLLAND (Jacques), textes rassemblés par.
Reference : 4964
Lagrasse, Editions Verdier, 1983, 1 vol. in-8° carré broché sous couverture à rabats, de 252 pp.Ex-dono sous forme de poème de 4 lignes au stylo en page de garde, passages soulignés au crayon sinon bon exemplaire.
Au sommaire : L'univers de l'écrivain - La vision de l'homme et de la Société - Questions philosophiques et religieuses - Dostoïevski inédit : Carnets de travail 1860 - 1881, extraits.
Paris, Librairie Plon, (1923). Un vol. au format in-12 (188 x 118 mm) de 309 pp.
Edition originale ; imprimée sur ''papier de fil''. L'exemplaire a conservé de larges témoins. ''Edition originale, sauf pour Dostoïevsky d'après sa correspondance'''. (in Naville). ''Aucune figure n'a pareillement obsédé André Gide et, dans la mesure où il sait que l'auteur des Frères Karamazov exerce sur maints jeunes gens «une domination indiscrète», il cherche à s'en saisir pour étendre encore son influence, faire reconnaître son intonation concertée à travers les voix déconcertantes du puissant romancier. Quoi de plus significatif que le mystérieux attrait exercé sur Gide par les œuvres puissantes où le génie créateur semble vivre dans une atmosphère de multiplication, d'exagération et de débordement. Et si l'on cherche la raison qui, chez Gide, a conduit l'écrivain, à la rencontre de Dostoïevsky, devant que l'homme ne l'inclinât vers ses propres secrets, c'est, à coup sûr, parce que les livres du grand Russe sont «les plus pantelants de vie qu'il connaisse», qu'il y goûte le plaisir d'être au milieu d'événements, au milieu d'hommes à qui il arrive quelque chose, lui à qui il n'arrive rien. Gide, romancier, ou s'efforçant à l'être, a d'abord été ébloui par la force, le pullulement de ces «colossales figures», encore qu'il n'ait su retenir que les plus bizarres et les plus perverses d'entre elles. Une œuvre où vit tout un peuple de personnages et qui n'est composé que d'actions, voilà ce que cet esprit critique, chétif, indigent de nature et sans générosité créatrice, voudrait réaliser. Ce qui le fascine chez un Daniel de Foë, un Dickens, un Fielding, comme chez un Dostoïevsky, il semble que ce soit cette sorte de «stupidité» qui ne fait qu'un avec leur pouvoir créateur, cette intimité aveugle où ils vivent avec leurs imaginations. Il aime ces œuvres longues, jusque pour leurs longueurs; il les aime à ce point qu'il a tenté de les égaler et nous eûmes les Caves du Vatican, ce roman d'aventures qui a tourné en «sotie» [...]''. (Henris Massis). Naville, Bibliographie des écrits de André Gide, 131. Coupe au dos. Infime manque angulaire affectant le premier plat ; lequel présente par ailleurs un éclat légèrement altéré. Du reste, bonne condition.
[DOSTOIEVSKI Fiodor] GROSSMAN Leonid
Reference : LITTRUSSE79790724
(2003)
ISBN : 9782841900961
Paris, Parangon, "Biographies", 2003, 14 x 21, 518 pages sous couverture souple illustrée. Traduit du russe par Michèle Khan. Préface de Michel Parfenov. "Bientôt après l'acquisition de la propriété, survint un grand malheur. Au début du printemps 1832, un incendie attisé par un vent violent anéantit les deux hameaux. Lorsque les Dostoïevski arrivèrent dans leur domaine, ils ne trouvèrent qu'un désert semé de poutres carbonisées. Seule la maison des maîtres était demeurée intacte. Les habitations paysannes, les dépendances, les locaux d'usage domestique et même les tilleuls séculaires, brûlés, noircis, formaient un immense paysage privé de vie, funèbre, qui semblait incarner dans ses contours squelettiques la vie sans espoir des villages de serfs sur lesquels la mort régnait sans partage. Dostoïevski s'en souvint sans doute un demi-siècle plus tard quand il exprima les impressions sinistres de son enfance dans les questions angoissées de Dmitri Karamazov : " Pourquoi les mères sinistrées se tiennent-elles là ?... Pourquoi ce noir malheur les a-t-il noircies de la sorte, pourquoi ne nourrissent-elles pas leurs enfants ?... "
Très bon état.