Paris, Leon Chailley (Coll. « Primavera »), 1896. in-12, 148 pages, broché, couv. ill. rempl.
Reference : 40337
Quelques défauts au dos sinon bel exemplaire. [PF-1]
Librairie Pique-Puces
Alix Geysels
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TOLSTOÏ, Léon - Traduction nouvelle revue par C. F. Ramuz - Illustrations originales de André Nicolas Suter
Reference : 90278
sd Cercle du Bibliophile - Sans date (vers 1970) - 1 vol in-24, cartonnage éditeur avec décor doré au dos et sur le premier plat - 142 pages
Bon état malgré une petite coulure de peinture argentée au dos
1 vol in-8 broché - 166 pages - N° 16 de octobre - décembre 1987
bel état de conservation
Ed. Mermod (Collection du Bouquet) 1946. Bon exemplaire relié, couverture souple, jaquette ornée avec rabats, pet. in-8 numéroté, 145 pages.
FLAMMARION. non daté. In-12. Relié. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos fané, Intérieur frais. 224 + 181 pages, relié dos toilé plat papier marbré pour bibliothèque du patronnage de nansouty.. . . . Classification Dewey : 891.7-Littérature russe (slave)
Premiers souvenir : maître et serviteur traduit par E. GOUREVITCH et G. FRAPPIER Classification Dewey : 891.7-Littérature russe (slave)
Paris, Léon Chaillet, 1896 1 vol. (110 x 170 mm) de 1, [2] ff., 148 pp. et 1 f. Broché. Édition originale de la traduction française. Tirage à petit nombre sur vergé d'Arches.
Maître et serviteur fut initialement publié dans les revues russe Le Messager du nord et le Posrednik, en 1895. Le titre initial, La Tourmente de neige, donne bien le ton de ce récit, presque entièrement consacré à la nuit passée dans le froid par deux hommes perdus, se sachant condamnés à une mort certaine. Tout l'enjeu, ici, est l'approche face à l'imminence de la mort. Tolstoï y reviendra quelques années plus tard, dans le Grand Crime : le 1er mars 1881, six membres du parti révolutionnaire « Volonté du Peuple » assassinaient le tsar Alexandre II. Autant troublé par ce crime que par le châtiment qui attendait les coupables, Tolstoï écrit une longue lettre au fils du Tsar, lui demandant la grâce des criminels : « Au nom de la raison d'Etat, au nom des masses et de leur bonheur, on a essayé la prison, la relégation, les condamnations à mort ; en invoquant ce même bien des masses, on a essayé l'octroi de la liberté - le résultat a été le même. Pourquoi ne pas essayer, au nom de Dieu, de n'accomplir que Sa loi sans invoquer l'Etat ou le bien du peuple ?".