Paris, Christine Bonneton (« Vivre les Traditions »), 1987. in-4° 159 pp, nombreuses illustrations et photos en noir et blanc et en couleurs, broche, couverture illustree plastifiee à rabats.
Reference : 16138
Bel exemplaire. [P-10][VER]
Librairie Pique-Puces
Alix Geysels
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Andrade (Marie-Odile), Saulnier (François) et Beauviala (Anne-Christine)
Reference : 80148
(1987)
Editions Chrisine Bonneton , Vivre les Traditions Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1987 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée à rabats éditeur blanche, illustrée de quelques figures en couleurs, fer à cheval, trèfle à 4 feuilles, muguet, coccinelle, n° 13 In-4 1 vol. - 160 pages
très riche iconographie, très nombreuses illustrations, principalement en noir et blanc, quelques-unes en couleurs 1ere édition, 1987 Contents, Chapitres : 1. Réflexions préliminaires : Porter un porte-bonheur - En principe ni objet religieux, ni remède - Le mot - Un historique ? - Occultisme à grande diffusion ? - Attitude du public - 2. Végétaux porte-bonheur : Trèfle à quatre feuilles - Gui - Houx - Muguet - Armoise, Edelweiss, Fenouil, Romarin, Verveine, Sureau, Algues, Riz - La racine de Mandragore - Bois et arbres - 3. Animaux porte-bonheur : Araignées, insectes - Poissons - Batraciens et reptiles - Mammifères, dents de loup, os de taupe, patte de lapin - 4. Personnages et objets porte-bonheur : Le pendu - Le bossu, le ramoneur, le marin, Saint Georges, Saint Christophe - La main de Fatma - 5. Les minéraux porte-bonheur : Pierres dures - Corail et ambre - Pierres semi-précieuses - Pierres précieuses - Cailloux - 5. Objets porte-bonheur détournés de leur fonction initiale : Fer à cheval - Les clous - Clés - Pièces de monnaie - Jetons - Fèves - Fétiches ou mascottes - 6. Objets à caractère abstrait : Bijoux talismaniques - Phylactères - Talismans et pentacles - Parfums - Chiffres et nombres - Contre-sons - Annexes : Essai d'une typologie - Définitions - Chronologie relative à la diffusion du spiritisme - Comportements et opinions face au fait de porter un porte-bonheur - Bibliographie et sources couverture tres legerement jaunie, avec de léger détachement du pelliculage transparent sur le bords des plats sans gravité, intérieur sinon frais et propre, cela reste un bon exemplaire
Paris s.d. [début janvier 1884], 10,2x13 cm, 4 pages sur un feuillet double.
Lettre autographe signée de Guy de Maupassant à la comtesse Potocka, 67 lignes à l'encre noire sur un papier à en-tête « GM 83, rue Dulong », enveloppe jointe. Publiée dans Marlo Johnston, «Lettres inédites de Maupassant à la comtesse Potocka»,Histoires littéraires, n°40, octobre-novembre-décembre2009. Cette longue missive débute par une commission qui a été faite à Maupassant : « Je m'acquitte tout de suite d'une commission dont on me charge pour vous, bien qu'il me semble y découvrir un peu d'ironie. La princesse Ouroussow, qui vient de m'écrire pour me demander d'aller la voir ce soir, me prie, en post-scriptum, de la rappeler à votre souvenir lorsque je vous verrai. » La princesse Ouroussow était l'épouse de l'ambassadeur russe à Paris. Avec la Comtesse, elle faisait partie de ce gotha mondain qui entourait les auteurs et les artistes. L'ironie dont il fait mention est celle-ci : « Comme des gens réputés perspicaces ont affirmé que toute la pensée d'une lettre de femme est dans le post-scriptum, [...] j'ai tenu à remplir immédiatement mon rôle d'intermédiaire. » Il a déduit de cet ajout « que la lettre de la princesse, malgré ce qu'elle contient d'aimable pour moi, s'adressait à vous ». Cette étonnante lettre aborde par la suite un penchant peu connu de Maupassant : son goût pour les fétiches. Il informe sa correspondante que : « La main, depuis qu'elle est revenue de chez vous, me semble dans une agitation extraordinaire. » Il s'agit de la fameuse main que Maupassant avait acheté à George Powell. C'était par l'entremise du poète Charles Swinburne (que Maupassant sauva presque de la noyade) que les deux hommes se rencontrèrent à Étretat en 1868. Powell et Swinburne y partageaient une maison, emplie de la collection de curiosités de Powell. La main dont il est question était momifiée et elle a inspiré Maupassant par deux fois. Une première en 1875 avec La Main de l'écorché, puis en 1885 avec La Main. Cette nervosité du porte-bonheur conduit Maupassant à s'interroger : « Peut-être avez-vous eu tort de ne point la garder comme fétiche ? » Il ajoute : « Mais j'ai d'autres fétiches singuliers. En voulez-vous un ? » En effet, il en possède une collection : « Je possède la chaussure d'une petite Chinoise morte d'amour pour un Français. » Il commente les potentiels effets de ces objets : « Ce talisman porte bonheur aux désirs du coeur. J'ai encore une grande croix en cuivre, fort laide, qui faisait des miracles parait-il dans le village où je l'ai trouvée. » Mais ces talismans ne fonctionnent pas tous comme ils le devraient : « Depuis qu'elle est chez moi elle n'en fait plus. C'est peut-être le milieu qui la gêne. » Ce n'est pourtant pas le plus étonnant : « Mais ce que je possède de plus singulier ce sont les deux extrémités d'un homme trompé par sa femme et mort de chagrin. L'épouse coupable conserva le pied et la corne de ce mari [...] et les fit souder ensemble. J'ignore quel peut-être l'effet de cet objet. » Malgré le sérieux de l'affaire, Maupassant ne se départit pas de son humour : « Dites, Madame, voulez-vous un fétiche ? J'ajoute que mes amis prétendent que je porte bonheur moi-même ! Je mets à vos pieds ce dernier porte-veine qui demande la préférence. » Pour faire écho à sa déclaration concernant les post-scriptum féminins, il en ajoute deux à sa lettre. Dans le premier il demande à la comtesse Potocka de le rappeler au souvenir de Mme Lambert. Cette dame était l'épouse d'Eugène Lambert, peintre connu pour ses chats et qui fréquentait le même milieu que Maupassant et la comtesse. Le second est bien plus savoureux : « Il ne faut pas attacher aux post-scriptum des hommes la même importance qu'à ceux des femmes. » Provenance : collection Jean Bonna. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Christine Bonneton Editeur. Collection Vivre Les Traditions 1987 Avec la collaboration de SAULNIER, François ; BEAUVIALA, Anne-Christine. In-4, broché couv. rempliée illustrée, photographies et illustrations en noir et en couleurs, 159 pp. Etat correct. couverture insolée , dépélliculée et légèrement gauchie
Qui oserait prétendre n’avoir jamais offert un brin de muguet ni cueilli un trèfle à quatre feuilles ? Les porte-bonheur envahissent notre vie. Ils protègent contre le mauvais sort et les influences néfastes mais surtout, ils sont promesses de bonheur, d’un bonheur immédiat dont les manifestations sont bien visibles. On leur demande la santé d’abord, puis la réussite professionnelle et une certaine prospérité matérielle et enfin l’amour bien sûr... Bon état d’occasion
Couverture souple. Broché. 96 pages. 11 x 16 cm. Papier bruni. Défraîchi.
Livre. Laboratoires J. Berthier, Grenoble, 1940.
Couverture souple. Broché. 96 pages. 11 x 16 cm.
Livre. Laboratoires J. Berthier, Grenoble, 1934.