Edition Elzévirienne. Paris, Garnier Frères 1858.Reliure demi chagrin vert de l'époque. Dos à nerfs orné et doré. Rares rousseurs. Bel exemplaire. Très bon état. Format in-16° (11x8).
Reference : 9876
Livres et Collections P. Commerot
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Avallon, À l'enseigne du Bonnet a Poil ; Rome, À l'enseigne des sept péchés capitaux, 1901-1902. 2 fort vol. in-4 manuscrits de 905 et 1182 pp., demi-maroquin vert à coins, dos lisse orné d’un bouquet pour le "Recueil" et d'un feuillage pour le "Parnasse", double filet doré sur les plats, tête dorée, étui (L. Dartus rel.).
Recueil en partie inédit, établi par Pingray membre de la Lice Chansonnière, qui a réuni 750 chansons et poésies grivoises en deux fort volumes dont les titres sont empruntés à des publications éponymes : I, (448 pièces). Grivoiseries. Recueil de chansons et Poësies Galantes du plus haut goût chantées dans les premières Maisons de Paris principalement à la Patte d'Chat "Allez-y voir !" dédié aux dames suivi du Panier aux ordures [Libreville à la Société pour la Propagation des Livres de l'Enfer, 1866], des Veillées d'un fouteur et de Morceaux choisis de Piron. Avallon à l'enseigne du Bonnet à poil Se trouve chez Mdame Onfout 69 rue Brisemote, 1901 ; II, (302 pièces). Le Parnasse satyrique du dix-neuvième siècle. Recueil de vers piquants et gaillards de MM. Béranger, V. Hugo, A. Barbier, A. de Musset, A. Delvau, F. Desnoyers, Baudelaire, Banville, Degrécourt, A. Glatigny, Portat, Nadaud, C. Monselet, Vacquerie, E. Debraux etc. etc. etc. Suivi de Chansons érotiques de P.-J. de Béranger (Supplément. Paris chez tous les Marchands de Nouveautés, 1834). Pigritia. Invidia Avaritia. Superbia. Furor Luxuria. Gula. Rome , à l'enseigne des sept péchés capitaux, 1902. Créée en 1831, la Lice chansonnière est une des plus célèbres goguettes parisiennes dont les membres sont appelés licéens ou lycéens où naquirent deux des plus célèbres chansons françaises : Ma Normandie de Frédéric Bérat et L'Internationale d'Eugène Pottier.Couvertures et titres calligraphiés à l'encre rouge et noire pour chaque tome, deux portraits photographiques probablement du compilateur R. Pingray contrecollés en frontispice avec deux envois autographes de celui-ci à Frédéric Stader ou Stadler assortis de deux épigraphes de son cru "Quand ça pourra venir, Ça me f'ra bien plaisir" ou encore "Le mou le mou n'est pas de mon goût En tout et partout A bas le mou". Dos passés (brunis), traces de frottement.
Mardaga.2001.In-8 rouge et jaune avec photo.213 p.BE.
Paris. Garnier Frère. 1842. In-12. Demi-Chagrin rouge. Titre et décorations dorés au dos. Qlques illustrations en N&B. H.T. 482 p. Très bon état malgré de nombreuses rousseurs.
aint-Mihiel (Meuse), chez Vme Edouard Vicq,, 1888. 3 ouvrages en 1 vol. in-12, demi-basane rouge, dos lisse orné de doubles filets dorés, titres dorés tête-bèche au dos. Reliure de l'époque, épidermures. (1) f., 112 pp., 1 planche hors-texte ; (1) f., 106 pp.; Portrait hors-texte en photogravure, (1) f., 198 pp. Quelques rousseurs.
Editions originales hors commerce de ces trois facéties littéraires, reliées tête-bêche... Il s'agit de poésies et contes en vers sur les moeurs du temps, vues avec beaucup d'humour. Peu commun.
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Paris, Librairie des sciences sociales, 1869. In-8 broché de (4)-283 pp., musique gravée, couverture imprimée.
Édition originale. Jules Vinçard dit Vinçard aîné (1796-1879), artisan, chansonnier et propagandiste saint-simonnien, animateur de La Ruche populaire (1838-1842) regroupa outre les ouvriers saint-simoniens divers ouvriers déçus par le régime de Louis-Philippe, fouriéristes, babouvistes, owenistes et autres. Duneton : « Sa qualité de saint-simonien conduisait Jules Vinçard à des tournées de missionnaire ; un passage à Brive montre comment la chanson joua un rôle majeur dans la diffusion des idées socialistes ; en fait, ce rôle fut de même nature que les psaumes protestants, par exemple, dans la diffusion de la religion réformée au XVe siècle. De plus la Révolution de 1848 semble avoir déclenché une expansion de goguettes un peu partout en France. À Brive, donc, Vinçard est venu chanter en 1855 pour la goguette appelée la Société du Lycée laquelle recevait ce jour-là, sans doute en grande pompe, le pape du saint-simonisme, le Père Enfantin lui-même (…) ». Vers 1860, de riches saint-simoniens lui assurèrent une petite rente et une maison afin qu'il puisse se consacrer exclusivement à une société de secours mutuels mais il ralentit son activité vers 1862, à la mort de sa femme. Il publia toutefois en 1865 un périodique à Bruxelles, La Mutualité. Ses mémoires parurent en 1878.Envoi autographe signé de la nièce de Jules Vinçard en regard du titre A M. Lejeune, souvenir affectueux de son institutrice, la petite nièce de l'auteur, 9 avril 1883. M. Vinçard ; ex-libris moderne sur le titre.Rousseurs, exemplaire défraîchi. Walch, 816 ; Maitron, III, p. 512 ; Duneton, Histoire de la chanson française, II, p. 623.