STOCK. 1938. In-12. Cartonné. Etat d'usage, Coins frottés, Mors fendus, Intérieur acceptable. 297 pages. Tampon sur la page de titre. Etiquette numérotée collée sur la coiffe en pied.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : ROD0111701
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Garden City, NY Doubleday & Company, Inc. 1972
First edition. In original price clipped dust jacket. An anthology of 46 specially written original science fiction short stories from 42 writers - including Dean Koontz, Ray Bradbury, Ursula K. Le Guin, Gregory Benford and many more. Illustrated in b/w by Ed Emshwiller. Dust jacket is in a good condition with only minor shelf wear, and one very small chip to top at front. Inside, the book is very clean and fresh. Previous owner's gift message in pen to half title. Overall a great copy of the sequel to Ellison's speculative fiction collection from five years previous: Dangerous Visions. The book jacket's description closes by saying "This book takes off where Dangerous Visions stopped and it is a better book than Dangerous Visions". 830 pages. 225 x 145 mm (8Ÿ x 5Ÿ inches).
Reference : 3014
Neuf volumes in-8 (formant 3 800 pages) en plein veau brun moucheté, dos plat ornés pièce de titre etde tomaison, reliure d’époque, quelques usures.Manuscrit d’une écriture appliquée et régulière, d’une même main alerte. Chaque vision, convulsionétant précédée de la date de la séance.Le mouvement des convulsionnairesTout le monde connaît le chamanisme ou le vaudou, mais qui sait que nous avons eu, en France,au XVIIIe siècle, un mouvement de transe provoqué, pratiqué dans des cercles restreints, par desmagistrats, des prélats, des sœurs ou des marchands ?Ces réunions clandestines, nées dans le désarroi provoqué par la destruction de Port Royalavaient lieu à Paris et à Lyon de 1720 jusqu’à la veille de la révolution, il s’agit desConvulsionnaires.À la destruction de l’abbaye de Port Royal les jansénistes désemparés prennent l’habitude de seretrouver au milieu des ruines des bâtiments. Un jeune prêtre, le Diacre Paris devient alors leconsolateur de ces âmes éplorées, mais le destin s’acharnant sur les infortunés jansénistes, leDiacre Paris meurt.C’est au cimetière de Saint Médard, sur la tombe même du diacre, qu’eurent lieu les premièresmanifestations d’extases mystiques.Rapidement, les miracles se succèdent, Marianne Couronneau, paralysée se remet à marcher,Marguerite Françoise Duchesne paralysée du côté gauche revient à la vie, Pierre Gauthier,aveugle, revoit, Demoiselle Hardoin allongée sur le tombeau de Maitre Paris recouvre l’usage dela parole et se remet à marcher...La foule de plus en plus nombreuse se répand en gémissements, hurlements, certains sont prisde tremblements, des femmes arrachent leur corsage...Pour mettre fin à ce désordre, et éviter toute résurgence de la « secte jansénistes » lesmanifestations du cimetière saint Médard sont interdites et les participants mis en prison en1732.C’est donc dans la clandestinité que les plus résolus d’entre eux vont poursuivre ces expériencesde délires collectifs en revendiquant eux même le titre de « Convulsionnaires ».Pour arriver à cet état de dédoublement de la personnalité, ils vont utiliser la plus éprouvantedes méthodes, celle de la douleur.La nature de ce qu’ils appellent pudiquement « les aides » est tout simplement incroyable : 400coups de bûche, coups de poings, de pieds, d’épées, de poignards, crucifixions, enterrements vifs,asphyxies se pratiquent de manière répétées jusqu’à obtention du phénomène de transe.On assiste alors à des dédoublements de la personnalité, voix d’enfant, babil, changement devoix, dans laquelle les officiants reconnaissent les esprits qui leur sont familiers dont le prophète« Eli ».La particularité de cet étrange mouvement est que, tradition janséniste oblige, chaque séquenceest scrupuleusement notée et détaillée au fil des jours et ce parfois sur plusieurs années.C’est une plongée directe dans l’inconscient de ces grands mystiques qui s’offre à nous. Auxvisions flamboyantes succèdent d’insupportables descriptions de sévices qui laissent le lecteurpantois.Il est inutile de souligner la rareté d’un tel document dont seuls quelques témoins circulentencore de nos jours.Description du manuscritLa sœur saint Brigide est présentée comme « convulsionnaire de l’Hôtel Dieu de Paris » elle estdirigée par Michel Pinel oratorien.C’est le père Pinel qui l’interpelle et pratique sur elle les sévices parfois insupportablesl’amenant aux convulsions.La Sœur Angélique Babet prit le relais de la sœur Sainte Brigide à la suite de la mort du père Pinel en1778. Ses transes la font retourner à l’état de bébé, ses visions étant souvent plus oniriques.Ces procès-verbaux, les premiers du genre, rendent compte de la partie obscure de l’humanité que nousnommons de nos jours - l’inconscient -. Les convulsionnaires, à leur corps défendant, sont lesexplorateurs involontaires d’un monde qui leur est inconnu. Leurs témoignages les situent à la croisée deplusieurs réalités que psychanalystes et surréalistes investiront deux siècles plus tard.
Citations : Nous en citons quelques exemples. 13 février 1744. « Mon cher petit papa, je vous prie, par grace et non parmort de me promettre d’approcher de J.C. Je meurs de faim ici papa je ne peux trouver de paix ny de repos qu’àl’ombre de J.C. Faites m’en approcher ou je mourray. Car je meurs tous les jours par la separation de J.C. (Enconvulsion) Oui moy meurs, papa, vous a le pain moy bien faim [...] car moy languis, moy tout maigre depuis 3mois bientôt »... 12 septembre 1745. « Comme c’etoit un dimanche le petit papa après avoir foulé la sœur auxpieds pendant les 7 ps. (psaumes) se contenta suivant l’usage de luy donner 50 coups de pierre sur le cœur 50sur la tête et 50 soufflets et recita aussi un ps. tenant un pied sur le collier et se portant entierement dessus »...17 mai 1746. « Je comptois procurer à la sr un troisieme entretien avec son père en luy crachant au visage [...]Je liay icy les mains de la sr ayant oublié de le faire plutôt, elle dit à ce signe eh bien je voudrois etre toujoursliée comme ça ce n’est qu’une corde mais c’est toujours bon, puis reprenant le fil de son prer discours, mon pèreles tient tous liés, ils ont les yeux ouverts et ne voyent pas clair, ils voudroient mieux qu’ils ne fussent pas ouvert,parce qu’ils voyent la beste, et la prennent pour mon BB (grands souffles par tête) j’ay mal au cœur, oh oh oh, ilvoudroit oter ce cœur la, mon papa otés le, otés le si vous l’aviés otez une fois il ne reviendrès plus otez le bienvite afin que jen ay plus, il n’aime pas asses ce qu’il doit aimer ; il n’aime pas assés mon BB. Il est trop attachéà sa nation, et n’est pas assés ardent pour ses freres. D. Est-ce les juifs R. ouy est-ce que vous ne scavez pas quej’ay le cœur d’un juif, je n’ay un cœur que pour les juifs »... 3 janvier 1747. « Pour executer les ordres de notreBB. [...] je dis à la Sr. quil s’agissoit de recevoir des coups sur la playe et elle s’y soumit de bonne grace, luiayant donc lié les mains derrière le dos et mis un bandeau sur la bouche je la couchay sur le dos ensuite je levail’appareil, je netoyai la playe et je mis dessus une compresse sur laquelle j’imposay les mains appuyant de toutema force pendant les 7 psaumes. Cette pression causa une telle douleur à la Sr qu’elle s’évanouit de cecommencement, et bientot après elle entra dans une penible agonie. Je remarquay que durant cette agonie elleavoit alternativement une espèce de rale accompagné de hoquet, les yeux demeurant renversés [...] Lorsqu’ellefut revenue je lui donnay cent coups de poingt de toute ma force sur la playe, c’étoit assurement de quoy la tuer[...] cependant ces coups ne servirent quà réveiller la Sr et à la tirer de l’abatement où l’agonie l’avoit mise.Elle se releva machinalement aux prrs coups sur son séant. Je la recouchay sans peine et je continuay sansqu’elle fit aucune résistance. Lorsque j’eus fini j’étanchay la playe qui saignait abondamment, après quoy jeregarday la Sr, elle étoit endormie ayant le visage frais et coloré [...] je mis un pied sur la compresse je recitayle ps. 102 et 110 ce qui fut suivi de 100 coups de pied que je donnay sur la playe »... Etc. *Journal. Lettres et visions de la Sœur Angélique, années 1773-1775 (1 vol.), 1776-1777 (1 vol.), 1777-1779 (1vol.), 1780-1787 (1 vol.). La page 1 du premier de ces volumes, réglés, porte au bas la date du 4 mars 1791 ; uneaddition tardive à la fin du même volume est datée du 24 avril 1798. Ce « Journal » comporte des relationsparfois longues d’événements survenus depuis la mort du Père Pinel (1772), ainsi que des prières, commentairessur les dix commandements, et récits détaillés de visions, introduits par l’invocation.« Au nom du père et du fils et du saint esprit »... Année 1773. « La sœur Babet après avoir été pendant 15 anssous la motion de l’esprit de Dieu, dans son œuvre fut privée de ce don vers la fin de l’année 1747. Voicy ce quidonna lieu à cette privation. Etant dans sa chambre, et dans son état naturel elle vit un homme (apparament leSt prophete) qui luy presentant un enfant couvert des croix sanglantes, luy dit : Voulés vous qu’on vous fasse descroix sur le corps comme à cet enfant ? Non assurement repondit la Sr j’en serois bien fachée. Eh bien repritl’homme vous n’aurés plus des convulsions. Les convulsions cesserent en effet de ce moment. La Sr Ba... au lieude s’en affliger s’en réjouit par la crainte extreme quelle avoit des croix »... Janvier 1774. « Au commencementde ce mois la Sr Babet dit, qu’étant avec son BB, la Sr Brigide et moy, son BB m’avoit dit : Il faut que vous soyéslà où je serai. Quand je quiterai langes, vous sortirés aussy des votres. Quand je parleray vous parlerés quandje feray relater ma puissance ce sera pour vous que je la ferai éclater. Quand je serai foulé, couronné de pierreset crucifié, vous le serés aussy »... 24 avril [1776]. « Au milieu des ténèbres j’ay apperçu une lumiere commecelle d’un flambeau mais qu’il n’éclairoit pas tout, car j’entendois plusieurs voix qui se disoient les unes auxautres les ténèbres sont au point de ne savoir où mettre le pied. J’ay dit à made : mais cela me paroît fortextraordinaire. Quand une lumiere est possée elle éclaire de tout part dans l’endroit où elle est placée ? Made adit, ma fille J.C. etoit la vraie Lumiere, qui cependant n’a éclairé que ceux qui ont eu la foy en luy et en sesœuvres. Le flambeau n’est autre que celuy qui doit éclairer Israel et un tres petit nombre de la gentilité etn’eclaire que celuy qui croit, et n’a d’esperance qu’en luy. J’ay dit mais madame je vois quelque chose qui va entravers de ce flambeau. PP. a dit : ma fille c’est le ministre aux lunettes, semblable au papillon, il courra autourde cette lumière. Heureux le moment où il en sera brulé »... Etc.Ces procès-verbaux, les premiers du genre, rendent compte de la partie obscure de l’humanité que nousnommons de nos jours - l’inconscient -. Les convulsionnaires, à leur corps défendant, sont lesexplorateurs involontaires d’un monde qui leur est inconnu. Leurs témoignages les situent à la croisée deplusieurs réalités que psychanalystes et surréalistes investiront deux siècles plus tard.
avec un bel envoi autographe de l'auteur. Le comte d'Haussonville, également connu sous le nom de Charles-Ephrème de Beaulaincourt. Le livre a été publié pour la première fois en 1864. Charles-Ephrème de Beaulaincourt, comte d'Haussonville (1802-1884), était un homme politique, écrivain et historien français. Il a occupé diverses fonctions politiques et administratives tout au long de sa carrière, notamment en tant que député et sénateur, et a écrit de nombreux ouvrages sur l'histoire, la politique et la littérature. "Ombres Françaises et Visions Anglaises" est un recueil d'essais et de souvenirs où l'auteur partage ses réflexions sur la France et l'Angleterre, deux pays aux cultures et aux traditions différentes. Dans ces écrits, il évoque des personnalités historiques, des événements politiques et des figures littéraires qui ont marqué l'histoire de ces deux nations. L'ouvrage présente une combinaison d'observations historiques, de récits personnels et de considérations culturelles, offrant ainsi au lecteur un regard éclairé sur l'histoire et la société françaises et anglaises. Charles-Ephrème de Beaulaincourt était connu pour son style élégant et ses connaissances étendues, ce qui a fait de "Ombres Françaises et Visions Anglaises" un livre apprécié de son temps. Table: Ombres Françaises; le Comte de Paris - Eugène Dufeuille - Monseigneur d'Hulst - Montalembert sous l'Empire - la jeunesse du Duc de Broglie. Visions Anglaises; dix jours en Angleterre en 1910 - le couronnement du Roi Georges V - huit jours à Londres en 1913. vol relié demi cuir, frottements, 180x130, couverture d'origine conservée contrecollée, bon état intérieur, 456pp. Paris, Grasset 1914 ref/29
A Paris, chez Nicolas Buon, A Paris, chez Nicolas Buon1605 ; fort volume in-4, veau brun, double encadrement de filets à froid, médaillon doré au centre, fleurons dorés aux angles, dos à nerfs avec fleurons répétés. (Reliure de l’époque) 13 ff. n. ch., 1 f. blanc, 976 pp., 19 ff. de table, 1 f. d’errataSECONDE ÉDITION, la première complète, de ce livre fameux. Il avait d’abord paru à Angers en 1586 (en 4 livres). Cette nouvelle édition de 1605 en contient 8.Paul Lacroix (Bull. du Bibliophile 1861 pp. 228-229) a consacré une intéressante notice à cet ouvrage, d’après une édition de Paris, Buon, 1608 qui porte l’indication de 2e édition revue et augmentée. Il y fait observer que l’édition de 1608 est en réalité la troisième. Caillet 6456 - Bibl. Esoterica 2589.Le démonologue Pierre Le Loyer, sieur de Brosse est né à Huillé près Durtal en Anjou en 1550. Après des études classique à Paris, il étudia le droit à Toulouse. De retour dans sa province il se fit pourvoir d’une charge de conseiller au Présidial d’Angers. “Le grec et le latin n’avaient point trop dérouté sa verve angevine ; mais l’hébreu, le chaldéen, l’arabe s’ajoutant à ses visions, vinrent nuancer d’une ombre de folie son imagination étrange.” dit M. Célestin Port dans la longue notice qu’il lui consacre au tome II pp. 492-94 de son Dictionnaire historique... biographique de Maine-et-Loire. Il est mort à Angers en 1634. Voici la notice de Bibl. Esoterica : “Cet ouvrage, qui jouit auprès des collectionneurs d’un succès bien mérité et est aussi célèbre que celui de P. de Lancre, fut par les Docteurs de la Sacré Faculté de Théologie de Paris, jugé digne d’être imprimé pour l’instruction des bons catholiques, contre les pernicieuses et erronées opinions des anciens et modernes athéistes, naturalistes, libertins, sorciers, hérétiques... À citer parmi les matières traitées : Alchimie, science pleine de vent, Alopécie attribuée à la fascination des sorciers, Ames... vagabondes (...) Anges, Ardents, Arimanes, mauvais démons des Perses, Aristolochie remédie aux charmes et nouements d’esguillettes, astrologie judiciaire diabolique, Bacchus, démons incubes et succubes, ... carrefours hantés des démons, opinion de Cardan des ombres qui apparaissent sur les sépulchres, ... Démons familiers, démons cataboliques, ... femme engrossée d’un dragon, Drusiens, démons succubes des Gaulois, fascination des sorciers, .... Gnostiques hérétiques et sorciers marqués à l’oreille, Huns et Hongres issus de sorciers, ...” À signaler encore : les maisons hantées, manies lunatiques, des Coribantes, des prêtres de Baal et Isis,les différentes sortes de mélancholies, musique, nécormancie, bogomiles de Bulgarie, sorciers changés en loups, tritons et sirènes, terreurs paniques...Voir aussi Mariane Closson. L’imaginaire démoniaque en France (1550-1650), Genèse de la littérature fantastique qui se réfère souvent à Le Loyer “dont l’œuvre offre une vaste compilation érudite de près de 1000 pages de toutes les histoires étonnantes concernant l’irruption du surnaturel diabolique, histoires tirées d’ouvrages anciens et modernes, dont l’auteur ne se porte d’ailleurs pas toujours garant, ou d’anecdotes vécues, qui en disent long sur la fascination de l’époque pour les prestiges du diable...”
Phone number : 03 86 50 05 22
Paris. Editions Sansot. Sans date [1926]. In-8° broché. 5 planches dépliantes. 343 pages. E.O. Et du même : ANNEXE ET RÉSUMÉ DES ÉTUDES DES TOMES I, II, III et IV de HEL ! (DIEU) - VISIONS PRÉHISTORIQUES. " Edition supplémentaire concernant le Résumé des Etudes de tous les Totems, de tous les Symboles, de toutes les Traditions de la Préhistoire ". Aubagne (Bouches-du-Rhône). D. Chautard, éditeur (avec étiquette de relais de la librairie " Au Commerce des Idées "). 1928. In-8° broché. 181 pages. E.O. Le premier volume est en très bon état ; le second (qui est encore plus rare que le premier) est en bon état.
Paul Tyssère-Ananké (1873-1931) connaît une certaine célébrité posthume - qu'il avait sûrement prévue -, depuis que la critique s'est penchée sur son cas. Blavier lui offre un nombre de pages relativement important. Marc Décimo lui a consacré un essai. -- " C'est la race blanche, fille du Nord et de l'Occident, qui civilisa le monde à son image et à sa ressemblance. On sait que tous les enseignements officiels et religieux professent impérieusement que la civilisation, avec tous ses bienfaits humanitaires, nous vient de l'Orient. C'est une grave erreur ; c'est un sacrilège. Cette erreur, ce sacrilège, sont la cause de l'affaiblissement, de la décadence, du ravalement de la race Blanche envers les autres éléments de races qu'elle gouverna pendant des millions d'années. C'est au contraire l'Occident qui éclaira l'Orient quand la race Blanche, fille du Nord et de l'Occident, chassée de son sol natal par les convulsions terrestres occidentales, se réfugia en partie vers l'Orient, encore dans les ténèbres, encore dans la nuit, encore dans le sommeil cérébral. L'Orient est le cimetière du génie occidental. L'Orient est le mulâtre ingrat de l'Occident. Les Pères de la race Blanche blonde, la grande race civilisatrice, portaient le nom de : AL, EL, ou HEL. Ce sont les HEL, les Helliens, qui créèrent le premier dialecte employé par l'humanité. Ce dialecte se composait de dix syllabes correspondant à neuf cris d'animaux. C'est grâce à ce dialecte reconstitué miraculeusement par les Visions préhistoriques que nous avons pu remettre au point historique l'histoire de l'humanité. Les Visions préhistoriques reconstituent dans l'Esprit de HEL, tous les textes religieux, historiques, mythologiques, etc. (grâce à la clef des dix syllabes Helliennes, mères de tous les langages de l'humanité) ". (Blavier, pp. 241-249. Oberlé, 439. Marc Décimo, "Le Diable au désert - Ananké Hel !", Presses du Réel, 2005).