Ecole et collège. 1941. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 227 p.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Reference : ROD0041212
Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
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, Brepols, 2024 Hardback, 691 pages, Size:156 x 234 mm, Language: French. ISBN 9782503610139.
Summary This volume concludes that there is such a thing as a unified Senequian theology, which forms a system despite the necessary duality of its philosophical and literary approaches. This quest for a definition of the Stoic god is achieved through multiple literary forms, which provide as many perspectives on the divine. Seneca's religious views offer the individual growing in wisdom to develop a knowledge of the god which is inductive rather than deductive, experimental and not only theoretical, sensitive and not purely rational - all within the context of a pagan and philosophical monotheism. Thus all the originality of Seneca's theological undertaking lies, paradoxically, in a refocusing on Man, who must be freed from his existential fears and led to the heroic acceptance of the divine plan. Indeed, Seneca's carefully thought out theodicy goes beyond the Stoic's traditional optimism - which considers the rational god to be inherently provident - and positively confronts the question of the existence of Evil, which culminates in tragedies. Ultimately, the center of gravity of Seneca's religion, which is based on an exaltation of human interiority, shifts from the god to the sage, a true hero who has managed to overcome the vicissitudes of life and whose glorification constitutes the supreme degree of piety. Ce volume conclut a? l'existence d'une the?ologie se?ne?quienne unifie?e et faisant syste?me, malgre? la dualite? des approches philosophique et litte?raire qu'elle implique. Cette que?te de d finition du dieu sto cien se r alise travers une multiplicit de formes litt raires, qui sont autant de perspectives sur le divin. Les ide?es religieuses du philosophe offrent au progressant en sagesse une connaissance du dieu inductive et non de?ductive, expe?rimentale et non seulement the?orique, sensible et non purement rationnelle - dans le cadre d'un monothe?isme philosophique pai?en. Toute l'originalite? de l'entreprise the?ologique de S n que re?side donc paradoxalement dans un recentrage sur l'Homme, qu'il s'agit de de?livrer de ses angoisses existentielles et de conduire l'acceptation h ro que du plan divin. En effet, la the?odice?e mu?rement pense?e par Se?ne?que d passe l'optimisme traditionnel du Portique - qui tient le dieu rationnel pour foncie?rement provident - et affronte positivement la question de l'existence du Mal, qui culmine dans les trag dies. En de?finitive, le centre de gravite? de la religion de Se?ne?que - fonde?e sur une exaltation de l'inte?riorite? humaine - se de?place du dieu vers le sage, v ritable h ros parvenu d passer les vicissitudes de l'existence et dont la glorification constitue le degre? supre?me de pie?te?. TABLE OF CONTENTS Pre?face des diteurs de la collection Avant-propos par Yves Lehmann Introduction PREMIE?RE PARTIE : Se?ne?que et la superstitio I. Description du phe?nome?ne religieux a? Rome a? l'e?poque de Se?ne?que 1. Religion et sentiment religieux a? Rome 2. Philosophie et religion dans l'Antiquite? 3. Se?ne?que et l'e?valuation de la croyance II. Les proble?mes de de?finition de la superstition chez Se?ne?que 1. L'e?volution de la notion de superstitio a? Rome 2. L'ambivalence de Se?ne?que devant l'opposition religio/superstitio 3. Une re?probation strictement morale a. Les racines de la superstitio b. La superstition, mai?tresse d'erreur et d'illusion c. De l'ignorance a? la folie III. La critique du de?tournement du ritus Romanus 1. Le De superstitione de Se?ne?que - fragments et te?moignages 2. La contamination par les cultes orientaux 3. Les attaques contre les pratiques religieuses des Juifs : un enjeu politique 4. La critique de l'idola?trie a? Rome 5. Le drame du fanatisme ordinaire IV. Les poe?tes, agents immoraux de la superstition V. Le dieu des philosophes : une croyance comme une autre ? DEUXIE?ME PARTIE : Re?concilier raison et croyance I. Des concessions au discours mythologique et poe?tique 1. L'instrumentalisation du discours des poe?tes dans les oeuvres en prose a. La vertu consolatoire du verbe poe?tique b. Les vertus didactiques de la poe?sie c. La parole poe?tique comme carmen sacre? 2. Le genre tragique : une catharsis des pratiques religieuses II. Le respect du mos maiorum 1. La fide?lite? a? la tradition religieuse de Rome : une contradiction apparente 2. Les pre?notions et l'argument du consensus omnium gentium 3. La religion romaine, norme de la moralite? publique et prive?e III. Le philosophe et le prince : le cas particulier du culte impe?rial 1. Se?ne?que, homme d'E?tat et philosophe 2. Le culte impe?rial a? l'e?poque de Se?ne?que 3. La divinisation impe?riale dans l'oeuvre de Se?ne?que a. La figure exemplaire du diuus Augustus b. La Consolation a? Polybe et le De clementia c. L'Apocoloquintose du divin Claude C1. L'oeuvre et son contexte C2. L'apothe?ose du prince : entre respect civique et critique philosophique C3. L'ironie et l'humour, armes de la critique the?ologique C4. E?prouver l'apothe?ose in vitro par la fiction de?clamatoire IV. Vers une pie?te? rationnelle 1. Privile?gier l'inte?riorite? pluto?t que la pietas visible 2. Concilier Cite? et Cosmos V. L'e?motion rationnelle face au cosmos 1. Se?ne?que face a? l'e?nigme de la Nature 2. La pie?te? du philosophe, entre raison et e?motion 3. L'initiation aux myste?res de la Nature TROISIE?ME PARTIE : Nommer et repre?senter le dieu I. Se?ne?que a? l'e?preuve des fondements de la the?ologie stoi?cienne 1. Le dieu est monde : une affirmation ambigue? 2. Le dieu est raison, fondement de l'analogie entre l'homme et le monde 3. Le dieu est destin : l'affirmation de l'absolue ne?cessite? du monde II. Le proble?me de l'interpre?tation stoi?cienne des the?onymes et des traditions religieuses 1. La critique se?ne?quienne de la me?thode alle?gorique 2. Se?ne?que et la pluralite? des noms du dieu a. Une multiplicite? de noms, un dieu unique b. Le cas particulier de Jupiter III. Comment de?finir le dieu de Se?ne?que ? 1. La religion de Se?ne?que est-elle un monothe?isme ? Unite?, unicite? et universalite? du dieu 2. L'inde?passable imperfection de la de?finition du dieu stoi?cien : un stimulus pour le discours et la pense?e 3. Exposer le dieu gra?ce a? l'image a. L'image au service de la the?ologie de Se?ne?que b. Un exemple d'hypotypose symbolique du dieu : l'empereur ide?al QUATRIE?ME PARTIE : De l'acceptation de la loi cosmique a? l'exaltation de la rationalite? humaine : l'he?roi?sme du sage I. La pre?e?minence de l'e?thique sur la physique 1. La de?marche singulie?re des Questions naturelles a. La Pre?face du Livre I des Questions naturelles b. Pre?fe?rer le vraisemblable au vrai 2. La divination : entre physique et e?thique a. La divination dans l'Ancien et le Moyen Portique b. La divination selon Se?ne?que : valide en the?orie, inutile en e?thique B1. La finitude humaine : obstacle inde?passable de la divination B2. L'inutilite? morale des pratiques divinatoires II. Le the?a?tre de la causalite? : l'affirmation du tragique de l'existence 1. L'impossible de?passement de la contingence a. Se?ne?que et la mort : la tentation du dualisme platonicien b. La the?odice?e a? l'e?preuve des objections de l'existence B1. La solubilite? du Mal dans la Raison : un mythe stoi?cien ? B2. Le courage de Se?ne?que face a? la the?odice?e B3. L'affirmation de la providence divine, malgre? tout 2. Le cas des trage?dies : l'affirmation d'une faille dans la matrice cosmique ? a. Le ro?le du the?a?tre dans l'oeuvre de Se?ne?que b. Hercule furieux c. oedipe d. Thyeste e. Me?de?e f. De?passer le stoi?cisme classique 3. Comment sauver la contingence dans le syste?me stoi?cien ? L'influence ne?cessaire de la direction de conscience sur la philosophie a. Les personae de la Fortune dans les oeuvres en prose b. La contingence, condition sine qua non de l'he?roi?sme du sage se?ne?quien c. Danser dans les chai?nes du Logos divin CINQUIE?ME PARTIE : Le de?centrage the?ologique de Se?ne?que I. Culte du dieu, culte du sage 1. L'affinite? e?lective entre le dieu et l'a?me humaine 2. Concentration et dilatation de l'a?me comme principes de l'imitatio dei 3. La contemplation comme culte de la divinite? 4. Le sage, le plus proche voisin des dieux a. Le sage est soumis a? la temporalite? b. E?galer, voire de?passer le dieu par la sagesse c. Substituer l'imitatio sapientis a? l'imitatio dei d. Un panthe?on a? l'e?chelle de l'homme II. La prie?re chez Se?ne?que, aboutissement et couronnement de la pie?te? philosophique 1. Prier le dieu en nous 2. Inutilite? de la prie?re et ine?luctabilite? du destin 3. La prie?re dans les trage?dies 4. Prie?re et adhe?sion a? l'ordre du monde 5. Prie?re au dieu et exhortation a? soi-me?me Conclusion Bibliographie Index des notions Index des passages Table des matie?res
P., Alphonse Picard & Fils, 1895, 1 vol. in-4 (18,5 x 28 cm) br., de XLXI - 340 pp. Bel et rare exemplaire.
Première partie seule complète pour l'historique de l'Hotel-Dieu, la deuxième partie étant consacrée au Cartulaire. Au sommaire : Les Archives de l'Hotel-Dieu de Coutance - Hugues de Morville, évêque de Coutances et les Hotels-Dieu du Diocèse - Hugues de Morville et l'Hotel-Dieu de Coutances - Le Temporel de l'Hotel-Dieu de Coutances - La Cure de Saint-Pierre de Coutances - Le Clergé de Saint-Pierre de Coutances - L'Hotel-Dieu de Coutances pendant les Guerres Anglaises - L'Abbaye d'Ourville et sa Réunion à l'Hotel-Dieu de Coutances - La Maladerie Saint-Michel de Coutances et sa Réunion à l'Hotel-Dieu - L'Hotel-Dieu de Coutances au XVIe siècle - Une visite à l'Hotel-Dieu de Coutances au XVIIe siècle - Les Religieux Augustins de l'Hotel-Dieu de Coutances au XVIIe & XVIIIe siècles - L'Hotel-Dieu de Coutances et l'Ordre Hospitalier du Saint-Esprit.
« Ces annales sont un des documents historiques les plus précieux que l’on possède. » Montauban, chez Jerosme Legier, et se vend à Paris, chez Claide-Jean-Baptiste Herissant, s.d. [1752]. In-12 de (8) ff., 556 pp., (1) f. Veau brun, filet à froid autour des plats, dos à nerfs orné de fleurons dorés, coupes décorées, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 162 x 91 mm.
Édition originale de ces annales retraçant le récit de la création à Québec du premier hôpital par les Hospitalières de Dieppe sous les auspices de la duchesse d’Aiguillon, nièce du cardinal de Richelieu. Barbier, II, 686. Chassés de la Nouvelle-France après la chute de Québec aux mains des frères Kirke en 1629, les Jésuites y retournent trois ans plus tard après que le Traité de Saint-Germain-en-Laye (1632) ait rendu à la France sa colonie et, pour un temps, « l’Église canadienne sera missionnaire », avec à sa tête le père Paul Le Jeune. C’est lui qui, en 1634, exprime le besoin d’un hôpital pour soigner les autochtones et les quelques colons qui s’y trouvent. C’est en pensant surtout aux autochtones que le père Le Jeune demandait la venue à Québec de religieuses hospitalières. « S’il y avait ici un Hopital il y aurait tous les malades du pays, & tous les vieillards, pour les hommes nous les secourerons, selon nos forces, mais pour les femmes il ne nous est pas bien seant de les recevoir en nos maisons», écrit-il. L’institution souhaitée était en effet moins destinée aux Français qu’aux autochtones, « sujets à de grandes maladies, et qui n’avaient aucun moyen d’adoucir la misère dont ils étaient accablez surtout dans leur extreme vieillesse». « L’élan mystique qui traverse la France dans les premières décennies du XVIIe siècle coïncide avec le mouvement colonisateur » et il n’est pas étonnant que plusieurs religieuses d’ordres et monastères manifestent un vif intérêt pour le projet du jésuite. Toutefois, les conditions matérielles pour l’établissement de religieuses et l’aménagement d’un monastère-hôpital à Québec sont à toutes fins utiles inexistantes. Le père Le Jeune lance alors nouvel appel mais cette fois il s’adresse aux personnes « capables de supporter financièrement l’entreprise ». La réponse est venue de la cour de France. La duchesse d'Aiguillon, mariée à 16 ans au marquis de Combalet, selon la volonté de son oncle, le cardinal de Richelieu, devient veuve à 18 ans ; elle ne se remarie pas et emploie presque toute sa fortune à soulager les pauvres et à fonder des établissements de charité. À 31 ans seulement, elle est déjà très engagée à ces fins. Elle est notamment la principale fondatrice du grand hôpital de Paris, rappelle l’historien Henri-Raymond Casgrain. Sous la conduite spirituelle de saint Vincent de Paul, promoteur et initiateur de nombreuses œuvres de charité et marquée par sa lecture des Relations des Jésuites, notamment celle de 1635 du Père Le Jeune, la duchesse prend conscience de l’importance des missions canadiennes dans l’histoire de l’Église. En 1636 en effet, la duchesse d’Aiguillon « se résolut de fonder à ses dépens un Hôtel-Dieu ». Et, pour réaliser cet ambitieux projet, elle choisit de faire appel aux Religieuses Hospitalières de l’Ordre de Saint-Augustin, dites alors Filles de la Miséricorde, installées au monastère de Dieppe. « Le Cardinal de Richelieu, son oncle, voulut entrer dans la bonne œuvre, & jusqu’à leur mort ils eurent l’un et l’autre une affection singulière pour cette maison, ils donnerent quinze cent livres de revenu au capital de 20000 liv. à prendre sur les coches et carosses de Soissons qui leur appartenoient, le contrat fut passé le 16 août 1637. ». Le Dr Yves Morin décrit la « jonction des quatre facteurs » qui ont amené la duchesse à exécuter son œuvre : « (…) l’esprit de charité de la duchesse, son influence à la cour par le biais de son oncle, le cardinal Richelieu, sa connaissance de la Nouvelle France grâce aux Jésuites et le rôle essentiel de l'Hôtel-Dieu de Dieppe, un des établissements prééminents en France ». En avril 1639, le roi Louis XIII accorde des lettres patentes pour l’établissement de l’hôpital et mentionne explicitement les motifs religieux de la duchesse. Il y aura aussi un second contrat en 1640 où ces mêmes motifs seront énoncés. Dans sa lettre à Marie Guenet de Saint-Ignace, première supérieure de l’Hôtel-Dieu de Québec, la veille du départ pour Québec des trois Augustines, la duchesse d’Aiguillon écrit clairement que l’Hôtel-Dieu devra être « dédié à la mort et au précieux Sang du fils de dieu répandu pour faire miséricorde à tous les hommes et pour lui demander qu'il l’applique sur l’âme de Monseigneur le Cardinal Duc de richelieu, et celle de Madame la Duchesse Daiguillon et pour tout ce pauvre peuple…». La duchesse obtient de la Compagnie des Cent-Associés une concession de sept arpents dans l’enclos où on avait commencé à bâtir Québec et un fief de soixante arpents dans la banlieue, entre Cap-Rouge et le coteau Sainte-Geneviève, ce terrain qu’on avait désigné sous le nom de Sainte-Marie. Les mères Anne Le Cointre de Saint-Bernard (28 ans), Marie Forestier de Saint-Bonaventure-de-Jésus (22 ans) et Marie Guenet de Saint-Ignace (29 ans), qui deviendra la première supérieure de l’Hôtel-Dieu de Québec, quittent familles et amis, et leur monastère de Dieppe, établi depuis 1285, le 4 mai 1639, à destination de Québec. « De 1739 à 1779, Latour publia une imposante somme de sermons, panégyriques, discours dogmatiques, mémoires liturgiques, canoniques et autres. En quittant le Canada, il avait emporté une copie manuscrite des ‘Annales de l’Hôtel-Dieu de Québec’ rédigées par Jeanne-Françoise Juchereau de La Ferté, dite de Saint-Ignace. Il fit paraître ce texte en 1752 à Montauban, sous le titre d’’Histoire de l’Hôtel-Dieu de Québec’ ». « Dans ses notes bibliographiques touchant les sources de sa propre « Histoire de l’Hôtel-Dieu de Québec », Montréal, éd. C. O. Beauchemin & Fils, tome 4, p. 11, l’historien Henri-Raymond Casgrain écrit à propos de l’« Histoire de l'Hotel-Dieu de Québec », par la mère Juchereau de Saint-Ignace : « Cette Histoire a été écrite d'après les renseignements de la mère (Marie Guenet) de Saint-Ignace et rédigée par la mère de Sainte-Hélène. Une copie de ces annales ayant été fournie à M. de La Tour, doyen du chapitre de Québec, qui retourna en France en 1731, il prit sur lui de les faire imprimer à l'insu de la communauté de Québec. Cette impression se fit sans beaucoup de soin, et il s'est glissé dans l’ouvrage un grand nombre de fautes typographiques. Heureusement qu'on possède encore à l'Hôtel-Dieu la copie originale de la main même de la mère (Marie-André Duplessis) de Sainte-Hélène, et signée par la mère (Marie-André Duplessis) de Sainte-Hélène, et signée par la mère Jeanne-Françoise Juchereau de Saint-Ignace. CES ANNALES SONT UN DES DOCUMENTS HISTORIQUES LES PLUS PRECIEUX QUE L’ON POSSEDE. » Le texte de Jeanne-Françoise Jucheron a été réédité à Québec par Dom Albert Jamet en 1939 sous le titre de « Annales de l’Hôtel-Dieu de Québec, 1636-1716 » ». Précieux exemplaire de ce rare canadiana conservé dans sa reliure de l’époque.
CENTRE SAINT-JOSEPH. 1977. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos frotté, Intérieur frais. 108 pages - nombreuses annotations, ratures et soulignements au stylo dans et en marge du texte.. . . . Classification Dewey : 231-Dieu et miracles
1re PARTIE: DIEU, HISTOIRE DES RELIGIONS, MORT DE DIEU ? - 2me PARTIE: DIEU DES CROYANT, DIEU DES PHILOSOPHES ? Classification Dewey : 231-Dieu et miracles
Centre Saint-Joseph, Agen. 1977-1980. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 108 pages pour le tome I, 143 pages pour le tome II et 123 pages pour le tome III.. . . . Classification Dewey : 231-Dieu et miracles
(Rare) Tome I: A la recherche de Dieu, 1re partie, Dieu, Histoire des religions, mort de Dieu ? 2e partie, Dieu des croyants, Dieu des philosophes ? Tome II: 3e partie, Chemins vers Dieu. 4e partie, Dieu existe. Tome III: 5e partie, Dieu est humain ou Que savons-nous de Dieu ?, 6e partie, Le problème du mal et la religion des hommes. Classification Dewey : 231-Dieu et miracles