‎CARRERE Jean‎
‎Le pape‎

‎Plon-Nourrit et Cie. 1934. In-12. Relié. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 328 pp.. . . . Classification Dewey : 262.1-Chefs de l'Eglise‎

Reference : ROD0037613


‎Rome éternelle ; Pierre et César ; Canossa ; Dante ; Charles-quint ; Napoléon ; La question romaine. Classification Dewey : 262.1-Chefs de l'Eglise‎

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‎FRIZON, Pierre.‎

Reference : LCS-18148

‎La Saincte Bible Françoise, Selon la vulgaire Latine reveuë par le commandement du Pape Sixte V. Et imprimée de l’authorité de Clément VIII. Avec sommaires sur chaque livre du Novveau Testament extraicts des Annales du cardinal Baronius. Plus les Moyens pour discerner les Bibles Françoises Catholiques d'avec les Huguenotes. Et l'explication des passages de l'Escriture selon le sens des Peres qui ont vescu auant & durant les quatre premiers Conciles Oecumenicques par Pierre Frizon, Penitencier, et Chanoine de l'Eglise de Reims. « Nous estimons que ce fer héraldique (associant une fleur de lys et un dauphin, tous deux surmontés de la couronne des princes du sang, ici répété 3 fois au dos de chacun des volumes) a dû primitivement (à compter de l'année 1678) être frappé sur des volumes destinés au Grand Dauphin, fils aîné de Louis XIV, né à Fontainebleau le 1er novembre 1661 ». (Olivier-Hermal, Manuel de l'amateur de reliures armoriées françaises, pl. 2522, fer n° 17).‎

‎Précieux et extraordinaire exemplaire de la première édition de la bible de Frizon censurée par la Sorbonne, dédicacée au roi Louis XIII et reliée à l'époque en maroquin rouge doublé de maroquin rouge pour le Grand Dauphin (1661-1711). Paris, Jean Richer et Pierre Chevalier, 1621 [Suivi de :] – Frizon, Pierre. Moyens pour discerner les bibles françoises catholiques d'avec Les Huguenotes. Paris, Jean Richer, 1621. 2 tomes en 3 volumes in-folio à 2 colonnes de : I/ (6) ff. dont 1 frontispice, 583 pp., 28 gravures dans le texte ; II/ (2) ff., 508 pp., 21 gravures dans le texte; III/ pp. 509 à 863, 1 f. numéroté 864, 3 pp. numérotées 510 à 512, 90 pp., (27) ff., 21 gravures dans le texte, 2 gravures au titre, 1 carte. Ainsi complet. Reliure du dix-septième siècle en maroquin rouge ; double encadrement de trois filets dorés sur les plats avec fleurs-de-lys aux angles, dos à nerfs fleurdelisés, doublures de maroquin rouge à dentelle dorée et cadre central de trois filets dorés avec fleurs-de-lys aux angles, gardes de papier marbré, tranches dorées sur marbrure. Reliure royale réalisée vers l’année 1678 en maroquin doublé de maroquin.‎


‎Première édition de cette célèbre Bible française illustrée, dite Bible de Frizon, censurée par La Sorbonne dès sa parution. En 1689, La Caille en faisait aussi l'éloge et Michel de Marolles en signalait les gravures. Cette édition de la Bible est la première qui ait été faite à Paris ; elle est très rare, & l'on n'en connoit presque point d'exemplaires : il en existe deux à Paris ; l'un dans la bibliothèque du Roi, l'autre dans celle des Célestins. L'impression en est fort belle (G. F. de Bure, Bibliographie instructive, 1763, 1, n°31). - Duportal, Catalogue, 412. Cette première édition de cette version de la Bible de Louvain, jugée encore trop protestante par la Sorbonne, constitue la première bible française illustrée de gravures en taille douce. L'ouvrage tient le premier rang parmi les livres illustrés du temps de Louis XIII, avec 70 eaux-fortes originales comportant plus de 900 sujets, auxquels s'ajoutent un frontispice de Michel Lasne, deux vignettes et une carte. À côté d’artistes restés anonymes, la plupart des grands dessinateurs ou graveurs de l'époque ont contribué à l'illustration de l'ouvrage : notamment Claude Mellan, Michel Lasne, Léonard Gaultier, M. Van Lochom, Melchior Tavernier, Jean Zniarnko, M. Faulte, etc. Œuvre majeure de l'édition biblique, l'ouvrage est aussi un chef-d’œuvre de l'illustration française de son temps. « Cette bible de Frizon de 1621 est ornée de plusieurs figures très belles et fort estimées. On l’appelle vulgairement la Bible de Richer, qui est recherchée des curieux » (Histoire de l’Imprimerie, page 244). La première Bible imprimée en français est celle de Jean de Rely, qui est une révision de celle de Des Moulins, imprimée en 1487 sur l'ordre de Charles V. Naturellement cette Bible n'était pas une version littérale, mais une Bible historiée, comme il est écrit au folio 353. Un exemplaire se trouve à la bibliothèque Nationale et un autre à l'Arsenal à Paris. En 1528, Lefèvre d'Étaples finit la traduction entière de la Bible, qui fut imprimée à Anvers. Le travail de Lefèvre était basé sur la Vulgate (rendue fidèlement pour la première fois dans une traduction française). Il n'était pas destiné en lui-même à devenir la Bible populaire du peuple français, mais il préparait la voie pour un tel bienfait. Ce travail devint le modèle que les protestants et catholiques suivirent. En 1535, Pierre Robert Olivetan produisit une nouvelle traduction qui suppléait aux faiblesses de la version de Lefèvre. Natif de Picardie, il fut un des leaders de la Réforme en France. A cause de l'opposition rencontrée en France la première édition de cette Bible fut imprimée à Neuchâtel (en Suisse), les autres le furent à Genève. Malgré la censure, bien des Bibles de Genève entraient en France. Citons un passage du livre "Histoire des protestants en France", p. 68, qui montre le travail de quelques chrétiens de l'époque "étudiants et ministres, porte-balles, porte-paniers, comme le peuple les appelait, parcouraient le pays, un bâton à la main, le panier sur le dos, par le chaud et le froid, dans les chemins écartés, à travers les ravins et les fondrières de campagne. Ils s'en allaient, continue Mr de Félicé, frapper de portes en portes, mal reçus souvent, toujours menacés de mort, et ne sachant le matin où leur tête reposerait le soir". En 1566, René Benoît publia une traduction de la Bible, qui fut censurée par la Sorbonne en 1567 et finit de paraître en 1568. Benoît dut s'humilier devant la Sorbonne et reconnaître que sa traduction était une copie de celle de Genève, qui devait par conséquent être rejetée. Il en fut de même de la révision que Pierre Besse dédia à Henri IV en 1608, de celle de Claude Deville en 1613, et de celle de Pierre Frizon dédié à Louis XIII en 1621. « Le [Pape] PauI IV ordonne que toutes les Bibles en langue vulgaire ne peuvent ni être imprimées ni être gardées sans une permission du Saint-Office. C'était en pratique la prohibition de la lecture des Bibles en langue vulgaire » (Dictionnaire de Théologie Catholique, 15, col. 2738). La quatrième règle de l’Index (des livres interdits) publié par le pape Pie IV déclare : "L'expérience prouve que si l'on permet indistinctement la lecture de la Bible en langue vulgaire, il en arrivera par la témérité des hommes plus de mal que de bien." Le pape Sixte-Quint fait savoir expressément que personne ne peut lire la Bible en langue vulgaire sans une « permission spéciale du Siège apostolique ». Merveilleux exemplaire relié par Luc-Antoine Boyet dont on reconnait les fers caractéristiques (Esmerian, Deuxième partie). Le contraste entre l'altière élégance de la doublure et des plats et la luxuriante richesse des coupes symbolise la primauté de Boyet dans l'art de la reliure française au XVIIe siècle. « Il fut sans doute le premier relieur qui s'attacha et réussit à si bien soigner cette façon du corps d'ouvrage. Il excelle notamment dans le choix du maroquin, la confection de la couture et de l'endossage, les chasses basses. » Précieux et extraordinaire exemplaire royal offert vers l’année 1678 à Louis de France, Dauphin, appelé Monseigneur et surnommé Le Grand Dauphin, fils aîné de Louis XIV et de Marie-Thérèse d'Autriche, né à Fontainebleau le 1er novembre 1661. Chacun des trois volumes comporte en queue du dos et sur la pièce de tomaison la marque reproduite par Olivier-Hermal (Manuel de l’amateur de reliures armoriées françaises, Paris 1934, pl. 2522, fer n° 17), la référence incontestée en la matière, ainsi analysée : « Nous estimons que ce fer (associant une fleur de lys et un dauphin, tous deux surmontés de la couronne des princes de sang) a dû primitivement être frappé sur des volumes destinés au Grand Dauphin (à compter de l'année 1678) et qu'ensuite, il fut très souvent utilisé comme simple ornementation sur de nombreuses reliures, recouvertes tant de maroquin que de veau. » Cette analyse était confirmée par Jean Toulet, l’ancien conservateur en chef de la réserve de la B.n.F. Quelques clercs contemporains contestent cette attribution et méconnaissent la science héraldique de l'âge classique. Aucun fer héraldique, à notre connaissance, comportant plusieurs emblèmes royaux ne fut créé au XVIIe siècle dans un but simplement ornemental. Ce fer armorié, composé d'une fleur-de-lys couronnée et de l'emblème du dauphin surmonté de la couronne des princes de sang fut « frappé dès 1678 sur des volumes destinés au Grand Dauphin » adolescent et ce n'est qu'ensuite, le dauphin majeur utilisant les armoiries reproduites par Olivier, planche 2522 fers 1 à 9, que ce fer n° 17 « fut très souvent utilisé comme simple ornementation sur de nombreuses reliures, recouvertes tant de maroquin que de veau » (Olivier-Hermal). Cette nuance héraldique, certes éloignée de nos préoccupations modernes, a apparemment échappé à la sagacité de certains amateurs contemporains les amenant à rejeter globalement l'appartenance princière de l'ensemble des volumes frappés du fer héraldique n° 17. Imaginer en effet qu'au Siècle de Louis XIV, un tel fer héraldique royal eut pu originellement être poussé sur des livres à titre simplement ornemental est une hérésie héraldique. M. J. - P. - A. Madden fut le premier à consacrer une étude historique à ce fer héraldique. (Voir «Le livre, année 1880 »). Au terme d'une analyse documentée, et qui fait autorité, il concluait que ce fer « se trouvait frappé au dos de nombreux volumes adressés au Dauphin et imprimés de 1678 à 1706, c'est-à-dire de sa dix-septième à sa quarante-cinquième année ». L'on sait qu'un demi siècle plus tard, en 1934, Olivier-Hermal confirmait la destination de ce fer héraldique en la réservant aux premières années de son apparition (à compter de 1678). «Nous avons rencontré ce fer n°17 sur des volumes dont la date de publication est tantôt antérieure, tantôt postérieure à la mort du Grand Dauphin (1711). Nous estimons que ce fer a dû primitivement être frappé sur des volumes destinés au Grand Dauphin, et qu'ensuite, il fut très souvent utilisé comme simple ornementation sur de nombreuses reliures, recouvertes tant de maroquin que de veau. » (Olivier-Hermal). Jean Toulet, ancien Conservateur en Chef de la Réserve des livres rares à la B.n.F. et autorité incontestée pour la période classique, considère que les très rares volumes de la fin du XVIIe siècle reliés en maroquin d'époque doublé de maroquin ornés d'une simple fleur-de-lys étaient bien évidemment destinés aux princes de sang royal. Les somptueuses reliures recouvrant cette bible censurée par la Sorbonne, décorées avec une extrême élégance, sont l'œuvre de l'atelier de Luc-Antoine Boyet. Boyet travaillait alors pour le Grand Dauphin et « la pratique du bon goût aristocratique, à la fin du XVIIe siècle, voulait que l'on minimise le plus possible la marque d'appartenance et la dimension des armoiries ornant les reliures. » Louis de France appelé Monseigneur, dit le Grand Dauphin, reçut en naissant la croix et le cordon de l'ordre du Saint-Esprit ; il eut pour gouverneur le duc de Montausier et pour précepteur Bossuet. Il épousa le 7 mars 1680, à Châlons-sur-Marne, Marie-Anne-Christine-Victoire de Bavière, décédée en 1690, qui lui donna trois fils. Reçu chevalier du Saint-Esprit le 1er janvier 1682, il fit quelque temps campagne en Allemagne et en Flandre (1688-1694), mais fut constamment tenu à l'écart des affaires par Louis XIV. Le Grand Dauphin épousa secrètement vers 1695 Marie-Émilie Joly de Choin. Il mourut le 14 avril 1711, de la petite vérole, au château de Meudon. Cet exemplaire prestigieux fut catalogué et reproduit en couleur il y a 20 ans par Pierre Bérès au prix de 450 000 FF (70 000 €) « Livres et Manuscrits significatifs et choisis, N°25 ». Pierre Berès cataloguait alors 275 000 FF l’édition originale de 1544 de « Délie » de Maurice Scève, 300 000 FF les Œuvres de Rabelais de 1556 et 675 000 FF (≈ 100 000 €) le fameux exemplaire en vélin de l’époque de l’édition originale de 1555 des Œuvres de Louise Labé Lionnaize. Ce volume cote aujourd’hui plus de 650 000 €, un exemplaire passé à New York en reliure moderne venant d’être vendu 450 000 € à un bibliophile européen.‎

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‎FONTANA, Domenico (1543-1607).‎

Reference : LCS-18538

‎Della trasportatione dell’ obelisco Vaticano et delle fabriche di Nostro Signore Papa Sisto V. Edition originale ornée de 40 estampes d’après les dessins de Domenico Fontana (1543-1607) illustrant le déplacement de l’obélisque du Vatican en 1590 ainsi que les autres projets que lui confia le Pape Sixte Quint visant à embellir la ville éternelle. ‎

‎Fort bel exemplaire en vélin ivoire de l’époque. Rome, Domenico Basa, 1590. In-folio, portrait-frontispice replié, titre illustré gravé, 108 ff. (certains numérotés en double et un feuillet 66bis), (4) ff. (tables, errata et colophon), et 2 planches dont une dépliante. Plein vélin ivoire, dos lisse. Reliure de l’époque. 407 x 272 mm.‎


‎[video width="1798" height="1080" mp4="https://www.camillesourget.com/wp-content/uploads/2024/07/FONTANA1.mp4"][/video] Première édition de la description illustrée d'un des événements marquants de la Rome papale du XVIe siècle. Brunet I, 1329 ; Mortimer n° 193 ; Fowler n° 124 ; Dibner, Heralds of Science, n° 174. Elle est illustrée de 40 planches gravées sur cuivre par Natale Bonifacio (1537-1592) d'après les dessins de Domenico Fontana, dont un portrait-frontispice replié du pape Sixte V, un titre gravé illustré d'un portrait de Fontana dans un encadrement richement architecturé, 2 planches hors texte in fine, dont une dépliante, et 36 planches incluses dans la pagination. 12 planches représentent le déplacement de l'obélisque, les autres, les travaux de Fontana pour Sixte V : la Villa Montalto, la chapelle de Santa Maria Maggiore, l'érection dans l'abside de cette chapelle d'un obélisque augustinien, la description de la cathédrale San Giovanni, et diverses portes de Rome. « Le projet consistait à disposer au centre de la place Saint-Pierre l'obélisque jusqu'alors situé au ras de l'abside de la nouvelle basilique. [...] Ce chantier s'inscrit dans une série de grands travaux entrepris dans la ville de Rome par le Pape Sixte Quint (1521-1590). [...] Le transfert de l'obélisque, précédemment évoqué, avait été jugé irréalisable y compris par Michel-Ange (1475-1564) consulté à ce propos par Paul III (1468-1549) ; l'idée avait par conséquent été abandonnée. Mais, quatre mois seulement après son avènement, Sixte V remet le sujet à l'ordre du jour, il nomme une commission, formée de quatre prélats, quatre cardinaux et du sénateur de Rome, en charge d'organiser le concours d'architectes. Le projet présenté par Domenico Fontana (1543-1607) fut retenu... [...]. Pour réaliser sa mission, Fontana décida de soulever l'obélisque et de le poser horizontalement sur un traîneau pour le transporter au centre de la place Saint-Pierre, là où il devait être érigé. Mais l'apparente simplicité de la procédure envisagée, ne doit pas faire oublier qu'il s'agit d'un monolithe de granit rouge haut de 25,36 mètres pesant plus de 700 tonnes ! Pour parvenir à ses fins, Fontana dut également concevoir toutes les machines nécessaires à une telle entreprise [...] Le transfert à proprement parler, qui nécessita plus de 900 hommes et 150 chevaux, se déroula devant une foule de spectateurs réduits à un silence absolu par édit du gouvernement. L'opération fut couronnée de succès et Fontana fut nommé noble citoyen de Rome par Sixte V». L'architecte publia « Della trasportatione dell'obelisco vaticano » en 1590 dont une dizaine de planches illustrent le transfert même de l'obélisque, le reste de l'ouvrage étant consacré à d'autres travaux que lui confia Sixte Quint : Villa Montalto, résidence sur le mont Quirinal, chapelle de Santa Maria Maggiore, cathédrale San Giovanni, etc. L'étroite collaboration entre Fontana et Sixte V fut fructueuse et l'architecte contribua largement à l'ambitieux projet du pape : reconstruire la Ville éternelle. Comme le soulignera plus tard le baron von Hübner, « faire tout ce que Sixte-Quint a fait en cinq ans, c'était arriver aux dernières limites du possible : concevoir, mûrir ces projets, au milieu de tant d'autres occupations, c'était les franchir, c'était faire des miracles », miracles rendus possibles par l'ingéniosité de Domenico Fontana. (Elodie Desserle, Déplacer des montagnes avec Domenico Fontana). “One of the most famous stories in engineering history” (Dibner). “The plates are an important example in the development of architectural drawing” (Fowler). Fort bel exemplaire en vélin ivoire de l’époque.‎

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‎Collectif‎

Reference : R110526084

(2005)

‎Pèlerin Magazine n° 6384 - L'Adieu a Jean Paul II, Les grands témoins nous disent leur émotion, Le pape de la réconciliation, Le pape du pardon, Le pape du courage, Ce pape est un don de Dieu, Vers l'élection d'un nouveau pape, Karol Wojtyla, fils‎

‎Bayard Presse. 3 avril 2005. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 100 pages. Nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎Sommaire : L'Adieu a Jean Paul II, Les grands témoins nous disent leur émotion, Le pape de la réconciliation, Le pape du pardon, Le pape du courage, Ce pape est un don de Dieu, Vers l'élection d'un nouveau pape, Karol Wojtyla, fils de la Pologne Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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‎[ Chez Boudet ; etc...] - ‎ ‎CLEMENT XIV ; CARACCIOLI ; GROSIER, Abbé Jean-Baptiste‎

Reference : 63907

(1776)

‎[ Recueil factice de quelques Pièces concernant des Lettres apocryphes du Pape Clément XIV, attribuées par l'abbé Grozier à M. Caraccioli ] Lettre à l'Editeur des Lettres de Clément XIV, sur la Crainte qu'on a que ce Pontife n'en soit par l'auteur [ Suivi de : ] Réponse de l'Editeur des Lettres de Clément XIV à l'Auteur de la Lettre à l'Editeur des Lettres de Clément XIV, sur la Crainte qu'on a que ce Pontife n'en soit par l'auteur [ Suivi de : ] Extrait de l'Année Littéraire n° 40 Tome VIII Année 1775, compte rendu de la "Lettre XIII. Lettres intéressantes du Pape Clément XIV (Ganganelli)" [ Suivi de : ] Extrait de l'Année Littéraire n° 12 Tome IX Année 1776, compte rendu de la "Lettre IV. Lettres intéressantes du Pape Clément XIV (Ganganelli)"; [ Suivi de : ] Remerciement à l'Auteur de l'Année Littéraire, de la part de l'Editeur des Lettres du Pape Ganganelli ; [ Suivi de : ] Manuscrit : Réplique de M. l'Abbé Grozier, Rédacteur de l'Année Littéraire au remerciement de M. Caraccioli ; [ Suivi de : ] Les Doléances du Colonel in partibus Editeur des Clémenti-Ganganelliques ; à l'Auteur des Nouvelles Ecclésiastiques‎

‎1 vol. in-12 reliure pleine basane marron, dos à 5 nerfs orné, [ Recueil factice de quelques Pièces concernant des Lettres publiées sous le nom du Pape Clément XIV par M. Caraccioli ] Lettre à l'Editeur des Lettres de Clément XIV, sur la Crainte qu'on a que ce Pontife n'en soit par l'auteur, Chez Boudet, Paris, 1776, 1 f. manuscrit, 21 pp. [ Suivi de : ] Réponse de l'Editeur des Lettres de Clément XIV à l'Auteur de la Lettre à l'Editeur des Lettres de Clément XIV, sur la Crainte qu'on a que ce Pontife n'en soit par l'auteur, Chez Boudet, Paris, 1776, 32 pp. [ Suivi de : ] Extrait de l'Année Littéraire n° 40 Tome VIII Année 1775, compte rendu de la "Lettre XIII. Lettres intéressantes du Pape Clément XIV (Ganganelli)", 1 f. manusrit, pp. 289-319 ; [ Suivi de : ] Extrait de l'Année Littéraire n° 12 Tome IX Année 1776, compte rendu de la "Lettre IV. Lettres intéressantes du Pape Clément XIV (Ganganelli)",1 f. manuscrit, pp. 73-114 ; [ Suivi de : ] Remerciement à l'Auteur de l'Année Littéraire, de la part de l'Editeur des Lettres du Pape Ganganelli, Chez Monory, Libraire de S.A.S. Mgr. le Prince de Condé, A La Haye, 1777, 80 pp. ; [ Suivi de : ] Manuscrit : Réplique de M. l'Abbé Grozier, Rédacteur de l'Année Littéraire au remerciement de M. Caraccioli, 16 ff. n. ch. et 1 f. blanc ; [ Suivi de : ] Les Doléances du Colonel in partibus Editeur des Clémenti-Ganganelliques ; à l'Auteur des Nouvelles Ecclésiastiques, 9 pp.‎


‎Remarquable recueil réunissant des titres peu commun qui documentent la fameuse controverse sur les lettres apocryphes publiées par Louis-Antoine Caraccioli sous le nom du savant Pape Clément XIV (Ganganelli), dans lequel ce dernier justifiait la suppression de l'ordre des Jésuites en 1773. L'abbé jésuite Jean-Baptiste Grozier (1743-1823) dénonça leur caractère apocryphe et les rendit à leur véritable auteur, Caraccioli. On y trouve notamment une rare pièce manuscrite précédée de l'avertissement suivant : "La pièce qui suit est une réplique de M. l'Abbé Grosier à M. Caraccioli. Elle n'a point été publiée, parce que dans le tems qu'on l'imprimoit pour le Tome VII de l'Année Littéraire 1776. Elle fut arrêtée par des ordres supérieurs ; et cela pour complaire, dit-on, à M Caraccioli dont le prétendu remerciement y est, on ne peut pas plus solidement réfuté. Il en échappa cependant quelques exemplaires , un entr'autres qui se trouvait entre les mains de l'Auteur lorsqu'on saisit le reste de l'Edition chez l'Imprimeur ; et c'est sur cet exemplaire qu'a été tirée la copie qui suit". Etat très satisfaisant (reliure frottée avec petits mq. en coiffes et mors, bon état par ailleurs).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR750.00 (€750.00 )

‎[Caraccioli (Louis-Antoine de)].‎

Reference : 41587

(1776)

‎Lettres intéressantes du pape Clément XIV (Ganganelli).‎

‎Paris, Lottin le jeune, Lyon, Bruyset-Ponthus, Rouen, Bénitier, 1776-1777. 3 vol. in-12 de (2)-XXIV-439 pp., frontispice ; (4)-446-(6) pp. ; XLII-311-VIII-401-(7) pp. À la fin du 2e volume : [Béthune (Chevalier de)]. Lettre à l'éditeur des Lettres de Clément XIV, sur la crainte qu'on a que ce pontife n'en soit pas l'auteur. Paris, Boudet, 1776. In-12 de 21 pp. Par le chevalier de Béthune, d'après Barbier II, 1087. [Caraccioli (Louis-Antoine de)]. Réponse de l'éditeur des "Lettres de Clément XIV" à l'auteur de la lettre sur la crainte qu'on a que ce pontife n'en soit pas l'auteur. Paris, Boudet, 1776. In-12 de 32 pp.Ensemble 3 vol. in-12, veau marbré, dos orné à nerfs, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge et brun, capitales dorées D'.H. répétées à chaque caisson, tranches rouges (reliure de l'époque). ‎


‎Deuxième édition après l'originale parue en 1775, augmentée d'un troisième tome en deux parties titré : Lettres du pape Clément XIV (Ganganelli), traduites de l'italien et du latin, avec des discours, panégyrique et autres pièces intéressantes de ce pape, nouvellement recueillies. On y a joint des particularités sur sa vie privée, et des anecdotes traduites de l'italien ; avec un éloge de ce même pape, imprimé en latin, à Rome. Tome troisième. Paris, Lottin le jeune, 1777 ; ce volume porte la signature autographe de l'éditeur Lottin au verso du titre. Fameuse supercherie du marquis Louis Antoine de Caraccioli (1719-1803) dont la première édition publiée en deux volumes rencontra un tel succès qu'elle suscita plusieurs contrefaçons et décida l'éditeur d'en proposer une nouvelle augmentée d'un troisième tome comprenant des pièces inédites, divers discours et textes du pape ainsi que des récits hagiographiques le concernant. « L’oeuvre la plus fameuse de Caraccioli, les Lettres intéressantes du pape Clément XIV, magistère épistolaire publié avec grand succès en décembre 1775, un peu plus d’un an après le décès du pape (septembre 1774), dans des circonstances fumeuses et dans un contexte religieux grave, celui de la suppression de la Compagnie de Jésus en 1773 (…) ce littérateur, qui fut régent de basse classe au collège de l’Oratoire à Vendôme, précepteur des fils d’un magnat polonais, l’auteur d’un Véritable Mentor en 1756, plusieurs fois réédité et traduit, et celui de La Vraie manière d’éduquer les princes publié à l’aube de la Révolution, fut toute sa vie un éducateur. Pour Caraccioli, « l’éducation est l’art des arts ». Ces lettres pédagogiques comptaient donc pour le pseudo-éditeur qui les signalait dès la préface. (…) C’est l’un de ces recueils épistolaires qui nous occupe ici, cette étonnante hagiographie, à la gloire de Clément XIV, peint sous les traits du Ganganelli philosophe qu’il ne fut sans doute pas, au travers de lettres en bonne part fictives que donna Caraccioli, orchestrant un véritable coup éditorial, décliné en biographie, supplément aux Lettres, mais aussi réponses aux détracteurs quand ceux-ci se firent plus audibles. (…) La figure du maître, directeur et éducateur, est ainsi un trait essentiel du personnage que crée Caraccioli en prêtant des lettres au défunt Clément XIV. Son entreprise, si elle est assurément mercantile et fondée en cela sur une bonne analyse du marché éditorial et de ses potentialités, est aussi une entreprise d’hagiographie catholique. Il s’agit de promouvoir la personne de Clément XIV, d’en faire une figure de pape exemplaire, discours propre à couper court aux calomnies et à édifier ces fidèles qu’il faut reconquérir, à une époque où l’incrédulité fait rage » (Stéphanie Géhanne Gavoty).Frontispice gravé d'après Queverdo : le Temps essaie vainement de détruire une pyramide érigée en l'honneur de Clément XIV. Très bel exemplaire dont les capitales fleurdelisées D'.H. sur le dos n'ont pu être identifiées. Ex-libris Alexandre Le Mareschal (1802-1875), de Beauvais, magistrat, conseiller d'arrondissement, maire de Warluis (Oise). Tome 2 : saut de page sans manque (pp. 432 à 441) : la "Table des lettres contenues dans ce Premier volume" paginée 433-440 (cahier Oo) est reliée au tome I.Quérard, Supercheries littéraires, I, 753 ; Stéphanie Géhanne Gavoty, Direction et éducation genrée dans Les Lettres du pape Clément XIV de Caraccioli - Université Paris-Sorbonne. ‎

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