Cercle du Bibliophile. 1965. In-12. Relié toilé. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 252 pages. Ouvrage comprenant en son début un dossier iconographique consacré à l'auteur et illustré de photos en noir et blanc. Reliure en pleine toile blanche ornée d'une illustration en couleurs sur les deux plats de la couverture.. . . . Classification Dewey : 843.1-Littérature et romans dans reliure d'éditeur moderne
Reference : ROD0026019
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1611 SÉVÈRE REMONTRANCE DE LA REINE-RÉGENTE QUI, DEPUIS LA MORT DHENRI IV L'ANNÉE PRÉCÉDENTE, GOUVERNE LA FRANCE. Elle dénonce au prévôt les entreprises de particuliers qui ont bâti entre les tours du Louvre, le long de la Seine : ...Ayant eu advis que vous avez donné permission à quelques particuliers de bastir le long des murs de l'enclos du Louvre entre les tours qui y sont du costé de la rivière, je vous fays la présente pour vous dire que cette permission ne peult estre que au préjudice et intherest du Roy monsieur mon filz et partant que vous luy ferez service bien agréable de révocquer vostre permission, empeschant aultant que vous pourrez que telles entreprises n'ayent lieu, et où il y auroyt quelque commandement de bastyment qu'il soyt promptement desmoly. Vous me ferez aussy plaisir de me mander tout ce qui sy est passé, et lordre que vous aurez tous pour remettre le tous en fon premier estat. Ce quatendant de vos soing accoutumé au bien des affaires du roy monsieur mon filz…La mort tragique du roi Henri IV, le 14 mai 1610, laissa inachevés les travaux commencés au Louvre le long de la Seine : entre 1595 et 1610 le Roi avait fait édifier la Galerie du bord de l'eau, un très long passage qui devait relier directement les appartements du roi au Louvre aux Tuileries, se terminant par le Pavillon de Flore. On en confia la réalisation à deux architectes, Louis Métezeau et Androuet du Cerceau. En 1611, le gros œuvre de la galerie était terminé, les toitures posées mais à l'intérieur, aucun décor réalisé. Trop jeune encore, Louis XIII ne s'intéressera au Louvre que plus tard pour mener à bien des travaux que Louis XIV achèvera.
Calmann-Lévy. 2006. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 239 pages.. . . . Classification Dewey : 843.081-Le roman historique
Roman. Classification Dewey : 843.081-Le roman historique
1 lettre affranchie de 2 ff., 24 juin 1838
1 lettre affranchie de 2 ff., 24 juin 1838 : Courrier privé adressé par M. Preyssac de Nogaret, Commissaire de Police de la ville d'Embrun, à M. Dubreuil à propos d'un De Nogaret surnommé Pantalion Armand, et daté du 24 juin 1838. Il ne le connaît pas et évoque ses propres origines dans la commune de Granges (Lot-et-Garonne). Mais sur le nom de Pantalion Armand, il peut préciser que "M. Dupleix, autrefois Gouverneur de St Domaingue avant le massacre des blancs & cousin à mon grand-père vint en France, n'ayant point d'enfant, emmena à son retour à St Domingue le frère cadet à mon père, se chargeant auprès de mon grand père de faire la fortune de son fils & de plus s'en occuper. Depuis cette époque, la famille n'en a jamais eu de nouvelles & nous avons tous pensé qu'il avait été du nombre des victimes qui succombèrent lors de la révolution des nègres, dans cette partie de l'amérique. Mon oncle pourrait avoir à présent e 85 à 90 ans & il pourrait être agé de 17 à 18 ans lorsque M. Dupleix l'emmena [... ]"
[Imprimerie Emile Flouret] - DE LA BATUT, Jeanne et Pierre
Reference : 44471
(1900)
1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]
Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.