Atlas et Vergeures. 1981. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 64 pages. Revue mensuelle de la technique, la pratique et l'image en photographie. Ouvrage orné d'une riche illustration avec de nombreux exemples de photos en couleurs et en n&b et des schémas explicatifs.. . . . Classification Dewey : 770-Photographie
Reference : ROD0018694
Notre maison, notre appartement, et tous les objets qui ous entourent nous sont devenus si familiers que, la plupart du temps, nous ne savons plus les regarder. Pourtant nous sommes très attachés à ces objets veus un à un construire notre unvers et qui reflètent si bien notre intimité. Ce numéro vous permettra de redonner vis à votre monde quotidien, vous apportera tous les conseils techniques nécessaires pour recréer, en images, la chaleur de votre intérieur. Sommaire : L'appareil et les objectifs, lentilles, filtres, caches, ieds, supports et éclairages, donner vie aux objets, choisir son sujet, la photo de télévision. Les maîtres et l'objet : Gia Luigi Sosio, Gianni Berengo Gardi, Paul STrand, Edward Westo, Sergio Petrelli, Brassaï, Edward Streichen. Classification Dewey : 770-Photographie
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Reference : LCS-17410
Rare et luxueux catalogue de vente d’un fabricant de parfums et produits cosmétiques parisien abondamment illustré de plus de 400 échantillons en couleurs et rehaussés d’or. Paris, milieu du XIXe siècle. Paris, [v. 1840-1856].In-4 oblong de 20 double-pages numérotées. Relié en chagrin vert, double filet or encadrant les plats, nom de l’entreprise de parfumerie ainsi que son adresse frappés or sur le plat supérieur. Reliure de l’époque présentant quelques traces d’usure.237 x 305 mm.
Superbe catalogue d’échantillons de parfums et produits cosmétiques du milieu du XIXe siècle, présentant la collection de produits proposés à la vente par la maison parisienne Maugenet et Coudray.Rare témoin de la richesse et du luxe des marchandises produites dans ce secteur au XIXe siècle, il était utilisé comme catalogue de vente par ce marchand français.Ce recueil unique présente plus de 400 produits cosmétiques reproduits en lithographie, tels que des savons multiples, des baumes à lèvres, des crèmes de Perse, des parfums, des huiles pour les cheveux, des huiles aux fleurs, de la brillantine, des pommades diverses, des lotions pour les cheveux, des extraits de senteur, des eaux de lavande et de Cologne, des eaux de toilette, des dentifrices, des poudres pour le teint, des crèmes pour la moustache, …Chacun des produits a été colorié et un grand nombre d’entre eux porte une étiquette gaufrée à l’or.Ils sont tous numérotés à la main afin de faciliter les commandes des clients, comme l’explique la note manuscrite inscrite au début du volume : “Carnet n°27348. Avoir soin de nous indiquer le numéro du carnet avec le numéro de l’article. ”La petite parfumerie M. Maugenet & E. Coudray s’établit à Paris vers 1810. Au cours du XIXe siècle, Maugenet & Coudray, anciennement appelé Dela Salle & Chaulin, devint l’un des plus grands exportateurs de parfums et cosmétiques de luxe.Edmond Coudray, un docteur-chimiste, voyageait dans le monde entier pour rapporter des produits exotiques. En 1837, la maison de Coudray devint le fournisseur officiel de la cour Britannique.Maugenet et Coudray restèrent associés jusqu’en 1856, date à laquelle Maugenet décida de quitter la compagnie. Ils ouvrirent ensuite un petit magasin de cosmétiques et de parfums situé au 348 rue Saint-Honoré à Paris en 1882. L’entreprise produisait de nombreuses présentations luxueuses et remporta de nombreux prix. Ils gagnèrent deux médailles d’argent à l’Exposition de 1882 pour leur eau de Cologne.Les Parfums Coudray restèrent une affaire familiale jusqu’en 1908, date à laquelle la compagnie fut acquise par Edouard Colmant.Après la seconde guerre mondiale la maison fut à nouveau très active grâce à des formules de parfums ayant survécu.Current Literature, Volume 5, 1890:"Coudray, Lubin and all cologne makers though the house of famous for extracts for the Coudray for sachet powders and soaps...The amber and distilled lavender waters made by Coudray are also excellent...The most famous French sachet powders are those made by Coudray. There is more violet powder sold than all other sachet powders put together. Heliotrope is next to violet in popularity and after that comes white rose and jockey club. In the original packages, Coudray's powders come in no smaller size than a quarter of a pound. Violet powder is not a lasting perfume but may be improved in fragrance and made more lasting by adding to it one-half its bulk of orrisroot powder. This is an excellent sachet for the linen closet and is considerably less expensive than pure violet powder...Lubin, Coudray, and Pinaud of Paris the most famous manufacturers of French soaps. Lubin's violet and other soaps need no recommendation. Coudray and Pinaud both make delightful lettuce soaps one which is just now among the most popular of fine perfumed soaps...All Coudray's soaps may be safely recommended..."Lorsque Coudray arrive, « la maison prend alors une extension extraordinaire : créations sur créations, le soin apporté aux articles même les plus simples, le bon goût remplaçant les objets criards et sans élégance qui caractérisaient autrefois l’article d’exportation, la publication d’un catalogue illustrée, fait tout nouveau en parfumerie, la fondation d’une usine modèle à Saint-Denis, à côté de cela les qualités du chef de la maison, sa rondeur en affaires, sa probité rigoureuse, une régularité sans démenti, voilà les principales traces de cet édifice commercial. »Dans le monde précieux de la Maison Coudray, tout n’est que luxe et douceur, fantaisie et volupté. Un univers féminin tout en délicatesse dédié à la beauté des femmes depuis 1822. Sous le règne de Louis XVIII, Edmond Coudray, médecin-chimiste, devient fournisseur en eaux de Cologne, crèmes, savons, onguents et autres pommades des cours royales d’Angleterre, de Belgique, d’Italie, d’Afrique, du Portugal, du Brésil et de Russie.Coudray devient l’une des cinq plus grandes parfumeries du 19ème siècle. Précieux et rare témoignage de l’engouement pour les produits cosmétiques de luxe en Europe au milieu du XIXe siècle.
[Schuiten , Peeters] - Marie-Françoise Plissart
Reference : 026120
(2004)
ISBN : 9782906131828
2004 Les Impressions nouvelles Hardcover
Reliure rigide, 29 x 23 cm, 95 pp., français, 1 volumes, illustrations, état du livre: Comme neuf. Premier édifice marquant de Victor Horta, la Maison Autrique est un élément majeur du patrimoine architectural bruxellois. D'abord parce que cette maison de 1893 représente une étape essentielle dans l'évolution du plus grand architecte belge. Ensuite parce que ce bâtiment vient de faire l'objet d'une restauration à bien des égards exemplaire, aidant à mieux comprendre la naissance de l'Art Nouveau. Le projet conçu par François Schuiten et Benoît Peeters est de faire de cet édifice une sorte de "maison des maisons", hommage à l'architecture privée bruxelloise en même temps que porte de l'imaginaire. Mise en scène de la cave au grenier, la Maison Autrique souligne l'intérêt historique et esthétique des maisons bruxelloises, les révélant dans leur séduction et leur mystère.
2009 Editions Aparté Soft cover
Couverture souple, 27 x 22 cm, 148 pp., français, 1 volumes, illustrations, état du livre: Très bon. Un livre pour découvrir, à travers l'une de ses plus spectaculaires réalisations, le talent remarquable du célèbre architecte Art nouveau, Paul Hankar. Un livre pour évoquer l'histoire de l'hôtel Ciamberlani, fleuron de l'Art nouveau belge, édifié en 1897 par Paul Hankar, rénové en 1927 par le non moins célèbre architecte Art déco Adrien Blomme et restauré dans les règles de l'art en ce début du XXIe siècle. C'est avec passion et énergie que spécialistes de l'Art nouveau, historiens de l'art, architectes, restaurateurs et propriétaires ont permis ensemble la renaissance de ce bâtiment au passé riche et tourmenté et lui ont redonné son âme. Palais déguisé en maison de ville, l'hôtel Ciamberlani a retrouvé tout son caractère et son originalité. Réanimé, il est devenu lieu de vie, maison de famille, espace muséal ...
Première édition complète du premier grand traité français d’agronomie dédiée au roi Henri IV. Exemplaire relié en vélin doré du XVIIe siècle, au frontispice enluminé. Paris, Abr. Saugrain, 1603.In-4 de (16) pp. dont le frontispice gravé, 907 pp., (1) p.bl., (26), (2) pp.bl. Vélin doré à recouvrement, plats ornés d’un double encadrement de filets et motifs géométriques sur les plats avec fleurs-de-lys et fleurons aux angles, dos à nerfs, tranches dorées, feuillets blancs réglés reliés en tête et en fin de volume. Quelques restaurations au vélin. Reliure ancienne du milieu du XVIIe siècle. 246 x 178 mm.
Édition originale définitive du premier grand traité français d’agronomie. Tchemerzine, V, 817. « C’est la première complète, elle est augmentée de nombreuses additions dans divers livres. Cette seconde édition, qui est également fort belle, est au moins aussi rare que celle de 1600. » (Thiebaud, 840). « Édition fort rare ». « Ce livre célèbre fut maintes fois réimprimé pendant le XVIIe siècle, et copieusement pillé et démarqué au coure du XVIIIe, par Liger et autres. Le chapitre vii du lieu huictième traite « De la Chasse et autres honnestes exercices du Gentilhomme ». La première édition est la plus belle de toutes et la seule de format in-folio. Elle présente, toutefois, l’inconvénient de ne pas être aussi complète que les suivantes, Olivier de Serres ayant apporté de nombreuses augmentations à son œuvre dans l'édition de 1603 » (Thiébaud). « Il s’agit là du premier grand traité français d’agronomie. La prose de Serres, dans le sillage de Montaigne et de Saint François de Sales, est claire et belle. Le titre du Théâtre d’Agriculture, composé de deux groupes de mots usuels unis de façon heureuse et inattendue, dénote une haute maîtrise de la langue. Plus de vingt éditions successives en attestent le succès. » En français dans le texte, n° 79. Olivier de Serres, seigneur du Pradel (1539-1619) est un gentilhomme paysan, attaché à sa terre. Il peut s’y installer paisiblement à partir de 1573 et multiplie dès lors ses efforts pour en faire une exploitation modèle, pratiquant la culture du maïs et du mûrier, amenant l’eau par des canaux d’irrigation, implantant la pomme de terre dans le sol du Vivarais, utilisant même des prairies artificielles. Il fut appelé à Paris par Henri IV. Pour encourager l’industrie de la soie, il publia en 1599, sur la demande du roi, un traité de La Cueillette de la soie. C’était un traité de l’éducation des vers à soie, propice à favoriser le désir que témoignait le roi de propager cette branche de prospérité, de manière à fournir non-seulement aux besoins de son peuple, mais à l’exportation. Il était déjà devenu un chapitre de son ouvrage en 1600 ; mais cette addition ne put paraître que dans la seconde édition de 1603, qui fut précédée d’un morceau détaché, sous ce titre : la Seconde richesse du meurier blanc, qui se trouve en son escorce, pour en faire des toiles de toutes sortes, non moins utile que la soie provenant de la feuille d’icelui. Un an plus tard, en 1600, son Théâtre d’agriculture et ménage des champs, où il consigne avec une simplicité savoureuse les résultats de 40 ans de recherche et de pratiques, lui apporta une gloire qui ne s’éclipsera qu’à la fin du XVIIe siècle, devant la vogue, alors, de La Maison rustique de Ch. Estienne et Liébault. Il vint à un moment décisif de l’économie française, alors que la vie rurale reprenait son essor, que les pillages et les dévastations, suites de la guerre, permettaient un renouvellement des instruments et des méthodes de culture restés inchangés depuis le moyen-âge. L’action d’Olivier de Serres, d’abord isolée, devint un symbole du relèvement économique qu’Henri IV s’efforça de susciter. « Il n’est pas besoin d’être un technicien de l’agronomie ni un historien pour trouver plaisir à lire Olivier de Serres : son livre, comme son action, marque bien le moment où la France retourne au calme, où elle retrouve un bon sens alerte, malicieux, la joie profonde d’être naturelle. » L’ouvrage est dédié à Henri IV, qui comprit aussitôt à quel point ce livre pouvait être un appui pour l’œuvre de pacification des esprits et de redressement économique qu’il entreprenait, aussi le roi ne lui ménage-t-il pas ses éloges. Souvent l’expression est ingénieuse et raffinée ; il appelle le jardinier « l’orfèvre de la terre ». Pendant plusieurs mois, Henri IV s’en faisait lire des passages, après chaque diner, une demi-heure durant, et il y eut, avant 1675, une vingtaine d’éditions. Olivier de Serres rendit un service éminent à son pays, en renfermant dans son Théâtre d’agriculture, tout ce qu’une longue pratique et une vaste érudition avaient pu lui apprendre sur le premier des arts Le Théâtre d’agriculture et mesnage des champs d’Olivier de Serres, imprimé à Paris en 1600 par Jamet Mestayer, est sans contredit la plus belle édition de celles qui ont été publiées du vivant d’Olivier ; mais c’est la plus incomplète, à cause des augmentations nombreuses qu’il a faites à la seconde édition, « revue et augmentée par l’auteur. Ici est représenté tout ce qui est nécessaire pour bien dresser, gouverner, enrichir embellir sa maison rustique. » Paris, chez Saugrain, 1603, in-4, de 907 pages de texte et 21 feuillets pour les pièces préliminaires et la table. Il est dit, à la fin, que la première impression a été achevée le dernier jour de juillet ; et dans l’in-folio, il y a le 1er juillet. Il s’y trouve donc beaucoup d’augmentations, entre autres la seconde cueillette de la soie, qui fait le quinzième chapitre du cinquième livre. » L’ouvrage est illustré d’un beau titre-frontispice gravé sur cuivre par Mallery, ici enluminé, avec portrait d’Henri IV, et de 15 figures sur bois de parterres dans le texte ; entre les pp. 554-555, planche hors texte dépliante représentant le « Corps du iardin medecinal carré. » Bel et précieux exemplaire relié en vélin doré du XVIIe siècle, avec le frontispice enluminé. Provenance : « Constant dans l’inconstance...- C. Blyenburch 1656 » (ex-libris manuscrit sur une des gardes) ; « Fuit Jan Rietmaier anno 1675 in Febriwari... » (ex-libris manuscrit face au titre) ; « J. F Schmidt m.dcc.lv [1755] » (ex-libris en marge du titre) ; ex-libris G. I. H. Mingardi V. D. M. » (ex-libris imprimé et collé au verso du titre).
Paris 1964 Durand Unbound
Encyclopedie genealogique des Maisons Souveraines du Monde, Tome IX, Branches Cadettes, premiere maison de Bourgogne sous enveloppe, in-4, non relier avec un grand depliants 900 x 560 mm pedigree de Les Bourgogne, 47 pg, en bonne etat