Bordas. 1965. In-8. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 320 pp. Illustrations n&b. Quelques annotations personnelles au crayon à l'intérieur.. . . . Classification Dewey : 470-Langues italiques. Latin
Reference : ROD0012300
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A Paris, de l'Imprimerie impériale, 1813. 1813 1 vol. fort in-folio (490 x 310 mm.) de : [3] ff. (faux-titre, titre, "Traduction en langue européenne des caractères chinois") ; LVI (introduction, Tableau de l'orthographe et de la prononciation, Préface, Méthode pour trouver les caractères au moyen de la table des deux cent quatorze clefs, Table des deux cent quatorze clefs) ; 1112 pp. ; [1] f. (errata). Ex-libris manuscrit au dos du premier plat Benj Stillwell. (quelques tâches aux marges). Demi-vélin à coins ancien, dos lisse, pièce de titre de maroquin rouge, plats recouverts de papier marbré, exemplaire non rogné à très larges marges. (Défauts d'usage, couture fragile).
Première édition de cet ouvrage majeur, le premier dictionnaire de ce type publié en France, dû à Chrétien-Louis-Joseph de Guignes (1758-1845), sinologue. Ce livre marque une grande avancée dans le progrès des connaissances occidentales de la Chine. Louvrage, chef duvre de typographie, est impressionnant, et sa publication le fait de différents acteurs. Finalement publié en 1813 sous le patronage de Napoléon Ier, sa création avait été entreprise dès 1715. Bien que la page de titre ne le mentionne pas, le présent ouvrage sappuie essentiellement sur le travail de Basile de Glemona Brollo (1648-1704) qui écrivit le premier dictionnaire chinois/latin. Son ouvrage, composé à Nan King entre 1694 et 1699 décrivait quelques 7 000 idéogrammes et en traduisait environ 9 000. Circulant sous sa forme manuscrite, il fut longtemps un outil indispensable pour les premiers sinologues européens, mais malgré quelques tentatives, aucune publication naboutit au 17ème siècle, les éditeurs étant découragés par le coût dune telle entreprise. Au 18ème siècle, à la demande de Louis XIV, Arcade Hoange, Chinois, assisté par Etienne Fourmont, entreprit de réaliser une grammaire et un dictionnaire chinois. Fourmont présenta en 1719 la première étape de leur travail : la table des 214 clefs, au régent qui lautorisa à faire graver tous les caractères nécessaires. A sa mort en 1745, les quelques 110 000 caractères quil a fait graver reviennent à la Bibliothèque du Roi. En 1802, ils sont transmis à la Bibliothèque impériale mais le projet ne prend pas encore de forme définitive. En 1808, cette publication est remise à lordre du jour. On pense la confier à Antonio Montucci de Sienne, mais pour que lofficialisation de cette uvre, commanditée par Louis XIV soir française, on sadresse à Guignes qui reçoit par décret lordre de rédiger et de suivre la publication du Dictionnaire français-latin-chinois. Chrétien-Louis-Joseph de Guignes, fils dun autre sinologue de premier rang, vécut, travailla et voyagea en Chine pendant 17 ans. Il fut le traducteur dIsaac Titsingh, lambassadeur hollandais à la cour de lEmpereur Quianlong de 1794 à 1795. Les membres de la mission de Titsingh étaient les seuls occidentaux acceptés en Chine à la fin de la dynastie Quianlong. Il est également lauteur dun guide de voyage intitulé « Voyages à Peking, Manille et l'île de France, faits dans l'intervalle des années 1784 à 1801 ». Pour la rédaction du présent ouvrage, il était convenu quil utiliserait les caractères gravés par Fourmont. Pour laider dans son travail, on lui confie un exemplaire manuscrit du Vocabulaire Chinois-Latin de Basilio de Gemona, ce texte, le Han-Tsé-sin-Yih (Interprétation occidentale des caractères chinois) étant considéré comme le meilleur lexique composé par des Missionnaires en Chine. De Guignes se contente de donner les traductions françaises, et supervise lédition du texte de Gemona avec les caractères de Fourmont quil fait paraître sous le titre de Dictionnaire chinois, français et latin, en passant sous silence le nom du véritable auteur. En 1814, Abel-Remusat et Klaproth reconnaissent le travail de Gemona et permettent alors quon rende justice à son travail. Malgré la controverse, De Guignes edt élu membre de lInstitut de France, de lAcadémie des Sciences (Géographie et Navigation) et de lAcadémie des Inscriptions et des Belles Lettres. Provenance : Benjamin Stillwell (inscription manuscrite en page de garde). Bel exemplaire à grandes marges de cet ouvrage de référence, chef duvre de typographie du 19ème siècle. 1 vol. in-folio (490 x 310 mm.) of : [3] ff. (faux-titre, title, Traduction en langue européenne des caractères chinois) ; LVI (introduction, Tableau de l'orthographe et de la prononciation, Préface, Méthode pour trouver les caractères au moyen de la table des deux cent quatorze clefs, Table des deux cent quatorze clefs) ; 1112 pp. ; [1] f. (errata). Handwritten bookplate on back cover Benj Stillwell. (some staining to margins). Antique half vellum with corners, smooth spine, red morocco title-piece, marbled paper-covered boards, untrimmed copy with very wide margins. (Worn binding, precarious seams). First edition of this major work, the first dictionary of its kind published in France, by sinologist Chrétien-Louis-Joseph de Guignes (1758-1845). The book marks a major advance in Western knowledge of China. The work, a masterpiece of typography, was impressive, and was published by a number of different people. Finally published in 1813 under the patronage of Napoleon I, its creation had been undertaken as early as 1715. Although not mentioned on the title page, the present work is essentially based on the work of Basile de Glemona Brollo (1648-1704), who wrote the first Chinese/Latin dictionary. His work, composed in Nan King between 1694 and 1699, described some 7,000 ideograms and translated some 9,000. Circulating in handwritten form, it was for a long time an indispensable tool for early European sinologists, but despite several attempts, no publication came of it in the 17th century, publishers being discouraged by the cost of such an undertaking. In the 18th century, at the request of Louis XIV, the Chinese Arcade Hoange, assisted by Etienne Fourmont, set about compiling a Chinese grammar and dictionary. In 1719, Fourmont presented the first stage of their work - the table of 214 keys - to the regent, who authorized him to have all the necessary characters engraved. On his death in 1745, the 110,000 or so characters he had had engraved returned to the Bibliothèque du Roi. In 1802, they were transferred to the Imperial Library, but the project had not yet taken on a definitive form. In 1808, this publication was put back on the agenda. The idea was to entrust it to Antonio Montucci of Siena, but to ensure that the work, commissioned by Louis XIV, would become official in France, Guignes was asked to write and supervise the publication of the French-Latin-Chinese Dictionary. Chrétien-Louis-Joseph de Guignes, son of another leading sinologist, lived, worked and traveled in China for 17 years. He was the translator for Isaac Titsingh, the Dutch ambassador to the court of Emperor Quianlong from 1794 to 1795. The members of Titsingh's mission were the only Westerners accepted in China at the end of the Quianlong dynasty. He is also the author of a travel guide entitled Voyages à Peking, Manille et l'île de France, faits dans l'intervalle des années 1784 à 1801. For this book, it was agreed that he would use Fourmont's engraved typefaces. To help him in his work, he was given a handwritten copy of Basilio de Gemona's Chinese-Latin Vocabulary, the Han-Tsé-sin-Yih (Western Interpretation of Chinese Characters) being considered the best lexicon composed by Missionaries in China. De Guignes confined himself to providing the French translations, and supervised the edition of Gemona's text with Fourmont's characters, which he published under the title Dictionnaire chinois, français et latin (Chinese, French and Latin Dictionary), without mentioning the real author's name. In 1814, Abel-Remusat and Klaproth recognized Gemona's work and allowed it to be published. Despite the controversy, De Guignes was elected a member of the Institut de France, the Académie des Sciences (Géographie et Navigation) and the Académie des Inscriptions et des Belles Lettres. Provenance: Benjamin Stillwell (handwritten inscription on title page). A fine, wide-margined copy of this reference work, a masterpiece of 19th-century typography.
Phone number : 06 81 35 73 35
Paris, Prault, 1771. 1771 1 vol in-12° (168 x 98 mm) de: [3] ff. (portrait gravé de J.N. Regnauld, f.t., t.), xxxx, 562 pp., [1] ff. de texte et 84, 116, 47 pp., [3] ff. de musique. Plein maroquin rouge d'époque (Derome), dos lisse orné, encadrements de filets dorés et fleurons sur les plats, tranches dorées, gardes de soie bleue (reliure de Derome). Provenance: ex-libris gravé Charles Edmund Merrill, Jr. (accidents aux coins).
Rare exemplaire relié en maroquin rouge par Derome, de cet office à lusage de lEglise. Les offices sont une partie intégrante de la vie religieuse et de la spiritualité catholique. Il y a office pour chaque moment de la journée : ordinaire de la messe, sexte, vêpres, matines, nocturne Le présent office, destiné à lusage de l'Eglise paroissiale de Saint Etienne du mont Latin-Francois, est orné dun portrait gravé de J.N. Regnauld, docteur en théologie, curré de St Etienne Dumont. Suivent les différents offices et in-fine plus de 250 pages de musique. 1 vol. in-12° (168 x 98 mm) of: [3] ff. (engraved portrait of J.N. Regnauld, f.t., t.), xxxx, 562 pp., [1] ff. of text and 84, 116, 47 pp., [3] ff. of music. Full period red morocco (Derome), decorated smooth spine, gilt fillet frames and fleurons on the covers, gilt edges, blue silk endpapers (Derome binding). Provenance: engraved bookplate Charles Edmund Merrill, Jr. (accidents at the corners). Rare copy bound in red morocco by Derome, of this office for the use of the Church. Services are an integral part of religious life and Catholic spirituality. There is office for each moment of the day: ordinary mass, sext, vespers, matins, nocturnal This office, intended for the use of the parish church of Saint Etienne du mont Latin-Francois, is decorated with an engraved portrait of J.N. Regnauld, doctor of theology, parish priest of St Etienne Dumont. The various services follow and at the end more than 250 pages of music.
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( Religion - Anti-Prostestantisme ) - Abbé Cordemoy - Isidore Liseux - J.Amiot.
Reference : 7181
Paris, Isidore Liseux, 5 , Rue Scribe, 1875. In-12 broché de 92 pages au format 9,5 x 15 cm. Couverture rempliée, avec titre imprimé en rouge et noir, et petite vignette illustrée. Dos carré, légèrement insolé. Plats légèrement brunis. Intérieur frais. Frontispice gravé à l'eau-forte par J. Amio. La Conférence entre Luther et le Diable au sujet de la Messe. Racontée par lui-même est un célèbre ouvrage de controverse antiprotestante, composé au XVIIème siècle par l'Abbé Cordemoy, réédité ici par Isidore Liseux dans une édition bilingue avec texte en Latin et en regard la traduction française. Le livre avait pour but d'accréditer la théorie d'une origine satanique du protestantisme et de la collusion entre Luther et le Diable. Le tirage est imprimé sur papier de Hollande, d'édition, non justifié. Superbe état général. Peu courant.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Librairie Ernest Flammarion 1899. In-12 relié de 364 pages au format 12,5 x 19 cm. Magnifique reliure demi chagrin bordeaux à coins. Plats & pages de garde en papier marbré. Dos rond à 4 nerfs avec titre & fleuron gravés & dorés. Belle couverture illustrée par Steinlen & 4ème de couverture, conservées. Essai sur le quartier Latin par Le Rouge & Renault avec de nombreuses illustrations de Ferdinand Bac, Barrère, Léandre, Daniel Monfreid, Odilon Redon, Steinlen, etc. Petite plissure brune en haut des pages 39/40 & de la page de la table des matières. Page de tirre remontée par le relieur. Livre très fragile en très bel état de fraicheur. Rarissime édition originale.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
, Brepols, 2020 Paperback, v + 299 pages, Size:160 x 240 mm, Languages: French, English, Italian. ISBN 9789492771322.
Summary Le XIXe si cle est connu comme l' poque o l'essor des nationalismes et des langues nationales en Europe a d finitivement rel gu le latin aux marges du monde social. Or, si le latin conna t alors un ind niable d clin, il n'en demeure pas moins tout un temps une langue importante pour les nations modernes. Le pr sent volume tudie les manifestations d'une tradition linguistique pluris culaire qui ne s'est pas teinte l'aube de la modernit . Fruit d'une collaboration internationale, il rassemble des contributions portant sur diff rents pays d'Europe occidentale et centrale. Les auteurs retracent l'histoire du latin au XIXe si cle, s'interrogent aussi bien sur les raisons de son succ s que sur celles de son d clin et pr tent une attention particuli re aux aspects th matiques et stylistiques des textes. La litt rature n o-latine, qui n'est pas indiff rente au surgissement des romantismes europ ens, est pass e la loupe. L'ouvrage met galement en vidence l'inflexion que l'inspiration latine antique a pu donner une oeuvre po tique en langue moderne. TABLE OF CONTENTS Christophe Bertiau, "Le latin, une mati re ?bourgeoise?? Sur le d clin du latin dans l'enseignement l' poque contemporaine" The article refutes the received idea of Latin being a "bourgeois" school subject. It states on the contrary that the political and economic rise of the bourgeoisie accounts for the decline of Latin in secondary education during the last two centuries. Although Latin kept its dominant position in the curriculums throughout the nineteenth century, its supremacy was increasingly challenged by certain exponents of the bourgeoisie, who demanded school learning to be more markedly connected to the professional world. Jan Spoelder, "The decline of Latin as the academic language at Dutch universities and its consequences for education in Latin" In the eighteenth century, Latin lost its status as the universal scholarly language in countries like France, Germany and Britain. However, the Royal Decree of 1815 provided that Latin remained the exclusive academic language in the Kingdom of the Netherlands. More and more tension arose between maintaining classical educational ideals and the with to use the vernacular. Only when the Act on Higher Education was passed in 1876, this meant in practice the end of the mandatory use of Latin at Dutch universities. This new situation also ended the raison d' tre of the Latin school, the kind of education that had prepared for university entrance in the towns of the Dutch Republic and the later Kingdom. This type of school was reorganised to meet the altered requirements of the modern time under the name of Gymnasium. This school, with compulsory Greek and Latin, is still flourishing magnificently at the moment. Patrizia Paradisi, "Il latino nelle cerimonie ufficiali del Regno d'Italia, dall'Universit di Bologna al Campidoglio a Roma (Gandino, Albini e Pascoli)" Patrizia Paradisi stresses the significance Latin displayed for the official ceremonies of the Kingdom of Italy at the time of Giovanni Battista Gandino, Giuseppe Albini and Giovanni Pascoli. It thus appears how Latin was used to compose speeches, letters, an inscription for a medal, a hymn or a journal on the occasion of various ceremonies. Giacomo Dalla Piet , "L'evoluzione stilistica del latino all'interno della curia romana nel secolo XIX" Giacomo Dalla Piet sketches how the Latin style of encyclical letters developed during the nineteenth century. He interprets the adoption of a high style, which was to become increasingly Ciceronian, under the pontificate of Leo XIII as testament to the latter's universalist project and new way of conceiving papacy. ?ime Demo, "Stubborn persistence at the outskirts of the West: Latin in nineteenth-century Croatia" The article gives an insight into the status of Latin in nineteenth-century Croatia. Latin retained there until the mid-century a decided importance as a means of international communication, as a political instrument, as a medium of instruction or as a literary language. However, Croatian tended towards more and more superseding Latin in its uses. As a result, Latin was hardly ever used outside Church and education in the second half of the century. Neven Jovanovi?, "Two gentlemen-translators from nineteenth-century Dubrovnik" The author analyses the Latin translations of Antonio Sivrich and Blasius Ghetaldi, two poets from Dubrovnik. He compares how both translators worked and reflects upon the reasons why they rendered into Latin Italian sonnets and anacreontic poems (Sivrich) or Ivan Gunduli?'s Croatian epos Osman (Ghetaldi). Svorad Zavarsk , "?Et meus vere paradisus audit: mandra, poesis?: The poetry of Antonius Faber" Svorad Zavarsk presents the work of the neo-Latin poet from Bratislava Antonius Faber. He affirms that the main interest of A.?Faber's little classical poetry is its originality. This poetry can be seen as a compromise between traditional neo-Latin poetry and the romantic revival. It epitomises quite good the linguistic situation of Hungary at that time, where the national language was more and more often preferred to Latin. Florian Schaffenrath, "Antonio Mazzetti's neo-Latin epic poem on Emperor Ferdinand I (1838)" Florian Schaffenrath tackles a panegyric (gratulatio) addressed by Antonio Mazzetti to Emperor Ferdinand?I and examines its reception. He highlights the enthusiasm this poem motivated by current political affairs elicited, even though Latin verses no longer were in fashion. Antonino Zumbo, "Scrivere una novella romantica in versi latini: il Polymetron di Giovanni Andrea Vinacci" The article deals with the Polymetron, a romantic short story written in Latin verses by Andrea Vinacci. The story displays a Byronian inspiration and is located in the nineteenth-century Italian independence wars. Both these characteristics suggest that far from a mere formal dialogue with the Ancients has neo-Latin literature always attempted to stay in tune with its time. Romain Jalabert, "Des vers latins romantiques, en France" Romain Jalabert shows that a whole part of nineteenth-century French neo-Latin poetry was opened up to Romanticism. Original Latin poems inspired by Romanticism and Latin translations of poems in modern languages were no oddities. Schools played a leading role in this new tendency. Alphonse de Lamartine enjoyed great success as a source of inspiration for Latin poets. Dirk Sacr , "Colonel William Siddons Young (1832-1901) as a Latin poet" Dirk Sacr presents the life and work of the atypical British neo-Latin poet Colonel William Siddons Young (1832-1901). Young was an army officer in the Bengal civil service. Although some Latinists considered him as the greatest living Latin poet, his Latin verses display imperfections and he rapidly fell into oblivion after his death. But because of his atypical profile, he could serve the cause of Latin as a universal language. Through the figure of Young, this article provides us with an overview of the evolution of living Latin in the late nineteenth century. Marie-France David-de Palacio, "Un epigrammaton liber fin-de-sie cle: les ?latineries? de Jean Richepin" This contribution demonstrates on the basis of Jean Richepin's "Latineries" how a writer can breath new life into his own poetic language by imitating ancient authors. Whereas the style models on the epigrams of Roman Antiquity, and more specifically of Martial, the content exhibits a "Gallic" character.