‎XAVIER, DUVERT et LAUZANNE‎
‎Riche d'amour‎

‎Non Renseigné. 19° siècle. In-8. Relié demi-cuir. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 45 pages. Titre et palettes dorées sur dos.. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre‎

Reference : ROD0009733


‎ Classification Dewey : 792-Théâtre‎

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‎MM Xavier, Duvert et Lauzanne‎

Reference : RO30364250

‎Riche d'amour- comédie vaudeville en un acte‎

‎Le magasin théâtral. Non daté.. In-8. Broché. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos abîmé, Papier jauni. 23 pages. Nombreuses rousseurs. Deux colonnes de texte.. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre‎


‎ Classification Dewey : 792-Théâtre‎

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‎[Imprimerie de J.-A. Quillot] - ‎ ‎Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD‎

Reference : 33946

(1848)

‎Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

‎1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎


‎Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

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‎Collectif‎

Reference : R110649216

(1935)

‎Ciné-miroir n° 516 - Charles Boyer, qui triomphe actuellement avec Gaby Morlay dans Le Bonheur, Les débuts de Lis Delamare, Le vertige, Une soirée a la comédie française, Un artiste épris de liberté : Laughton, Quadrille d'amour, Une riche affaire‎

‎Bureau du journal. 22 février 1935. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 113 à 128. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 791.43-Cinéma‎


‎Sommaire : Charles Boyer, qui triomphe actuellement avec Gaby Morlay dans Le Bonheur, Les débuts de Lis Delamare, Le vertige, Une soirée a la comédie française, Un artiste épris de liberté : Laughton, Quadrille d'amour, Une riche affaire, La croix des cimes, Une femme diabolique Classification Dewey : 791.43-Cinéma‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO10087518

(1995)

‎PARIS MATCH N° 2386 - Sarah Duchesse d'York, dans l'intimité de ses vacances avec Eugénie et Béatrice, Sophie Favier : mon bébé naitre en aout, Pierre Palmade : je suis un enfant de l'amour, choyé et adulé, Albert de Monaco, Mirjia, riche héritière‎

‎PARIS MATCH. 16 février 1995. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 122 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Sarah Duchesse d'York, dans l'intimité de ses vacances avec Eugénie et Béatrice, Sophie Favier : mon bébé naitre en aout, Pierre Palmade : je suis un enfant de l'amour, choyé et adulé, Albert de Monaco, Mirjia, riche héritière possède toutes les qualités d'une princesse, Jospin : courage papa Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : RO10087079

(1986)

‎PARIS MATCH N° 1947 - Comment la bombe A fut proposée au Maroc par Roland Jacquard, Sylvester Stallone : je n'ai pas honte d'être riche, mon argent ? J'en profite, Sabine Azema : A comme amour, Philippe Jeantot : une traversée en solitaire, c'est comme‎

‎PARIS MATCH. 19 septembre 1986. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 138 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Comment la bombe A fut proposée au Maroc par Roland Jacquard, Sylvester Stallone : je n'ai pas honte d'être riche, mon argent ? J'en profite, Sabine Azema : A comme amour, Philippe Jeantot : une traversée en solitaire, c'est comme entrer au couvent par Claude Brasseur, Josiane Balasko : je veux vivre comme tout le monde, Joel Robuchon mettra dans neuf ans la clé sous le fourneau par Philippe Bouvard Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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