‎Société de Gastronomie Médicale‎
‎Guide‎

‎Non Renseigné. 1962. In-12. Broché. Bon état, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 199 pp. - Guide des restaurants gastronomiques - Exemplaire numéroté, n°5399/12000. . . . Classification Dewey : 641.013-Gastronomie‎

Reference : ROD0003637


‎ Classification Dewey : 641.013-Gastronomie‎

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‎MICHEL, Claude Sidoine.‎

Reference : LCS-18501

‎L’Indicateur Fidèle ou Guide des Voyageurs, qui enseigne Toutes les Routes Royales et Particulières de la France, Routes levées Topographiquement dès le Commencement de ce Siècle, et Assujetties à une Graduation Géométrique, contenant Toutes les Villes, tous les Bourgs, Villages, Hameaux, Fermes, Châteaux, Abbayes, Communautés, Églises, Chapelles... Edition originale ornée de 19 cartes gravées et aquarellée en reliure de l’époque.‎

‎Le volume contient une carte générale et 18 cartes des routes, portant, en marge, une légende des distances, des heures de départ et d’arrivée. A Paris, Rue St Jacques, à l’Enseigne du Globe, 1765. In-8 : titre gravé par Aubin, dédicace à Cassini de Thury gravée d'après Baisiez, 19 cartes gravées, et aquarellées : traits surlignés, villes pointées de rouge, océans et fleuves en vert. 1. carte générale de la France ; 2.Banlieues de Pans avec les "grandes routes branchées sur Paris" et la minéralogie de la région parisienne (chiffré 1) ; 3. De Paris à Nantes, (ch. 2) ; 4. De Paris à Bordeaux et Toulouse, carte dépliante (ch. 3) ; 5. De Paris à Lyon par la Bourgogne et le Bourbonnais (ch. 4) ; 6. De Paris à Strasbourg (ch.5); 7. Routes de Champagne, Lorraine… (ch. 6) ; 8. Troisième route de Paris à Strasbourg [par Soissons] (ch. 7) ; 9. Troisième route de Paris à Strasbourg... [par]... Langres (ch 8); 10. Routes des Provinces de Picardie (ch. 9) ; 11. Route de Paris à Londres..., carte dépliante (ch. 10) ; 12. Route d'Amsterdam à Marseille (ch. 11) ; 13. Seconde partie de la Route d'Amsterdam à Marseille... , carte dépliante (ch. 12); 14. Grande route de Strasbourg à Vienne (n. ch.), carte dépliante ; 15. Routes et chemins de Bretagne (ch. 14), l'océan n'est que légèrement teinté ; 16. Routes et chemins... compris entre les 4 grandes routes de Paris à Nantes, Rennes, Toulouse, Bordeaux (ch. 15) ; 17. Continuation des routes occidentales et méridionales (ch. 16) ; 18. Routes et chemins... compris entre les deux grandes routes de Pans à Toulouse (ch. 17) ; 19. Continuations des routes orientales et méridionales de Pans à Marseille (ch. 18), la mer est teintée de vert ; Prospectus du Guide des Voyageurs pour les Routes Royales (2 pp.) ; Catalogue alphabétique du Supplément (10 pp.). Veau marbré, roulette à froid autour des plats, dos à nerfs orné. Reliure de l’époque. 210 x 113 mm.‎


‎Edition originale. «Nous reproduisons le N.B. qui se trouve au bas du titre et qui indique quel soin a présidé à la confection de cet ouvrage: ‘Personne ne doit ignorer Combien cet Ouvrage a coûté de Peines et de soins pendant plusieurs Années pour le rendre digne du Public. Le Sr. Michel persuadé de l’Avantage que l’Indicateur Fidèle ou Guide des Voyageurs peut procurer aux Commerçants, Navigateurs, Voyageurs et à tous ceux qui seront Curieux de s’instruire de la Distance d’un lieu à un autre, Se Flatte de l’avoir rendu si Complet que les Amateurs y trouveront tout ce qu’on peut désirer dans un Ouvrage où l’on n’a rien épargné pour le porter à la Perfection dont il Était susceptible.’ Le titre est suivi d’un très beau frontispice contenant la dédicace: ‘A Monsieur Cassini de Thury…’. En tête, les armes de M. Cassini de Thury; à la partie inférieure, un coche par eau trainé par des chevaux, une diligence, monuments et paysages dans le fond; le tout encadré d’arbres et de rochers. Le volume contient une carte générale et 18 cartes des routes, portant, en marge, une légende des distances, des heures de départ et d’arrivée. Il se termine par le Prospectus ou Guide des voyageurs, et le catalogue alphabétique des routes royales et particulières.» (Bulletin de le Société archéologique…, vol. 2, 1905). «Il n’est pas de voyageur un peu curieux de sa route qui ne s’avise d’aller, avant de s’aventurer, acheter un Joanne, un Badeker, ou, à tout le moins, un Indicateur Chaix. La précaution est sage, si sage même que nos pères, qui n’étaient pas plus mal avisés que nous, avaient aussi leurs Guides; et ces Guides fournissaient abondance de renseignements utiles. Nous avons trouvé l’Atlas dont suit le titre en respectant scrupuleusement la rédaction: ‘L’Indicateur fidèle ou Guide des Voyageurs, qui enseigne Toutes les Routes Royales…, Paris, 1765’. Ce titre est long, mais combien il est suggestif! L’Indicateur Fidèle est remarquablement gravé; c’est un travail consciencieux et artistique. Le pittoresque s’y joint à l’exactitude. Bois, rivières, côtes, sont rehaussés d’une teinte verte, bleue, bistre. Il est vrai qu’il avait son prix; car l’exemplaire in-4 se vendait 15 livres; et chaque route détachée, sur feuille particulière, valait 15 sous.» (Le Magasin pittoresque, vol. 61, p. 206). Le réseau français se trouvait dans un piteux état au début du règne de Louis XV. Tous les témoignages du temps sont unanimes sur ce point, et le pénible voyage de Marie Leczinska à travers les provinces de l'Est pour rejoindre Paris en 1725 en fut la meilleure illustration. Avec le développement régulier des transports terrestres, l'entretien des routes se présentait de plus en plus comme une entreprise insoluble, une sorte de rapiéçage sans fin qu'on pratiquait toujours à la dernière extrémité et qui craquait à nouveau presque aussitôt. Cette situation de sauvetage chronique, qui faisait des routes du royaume le pire des goulots d'étranglement pour l'administration et pour une économie en pleine expansion, ne pouvait se prolonger indéfiniment. Tout en ordonnant la réfection progressive de tous les grands axes routiers du royaume et d'abord de ceux qu'empruntait la poste, le contrôleur général Orry, et avec lui l'intendant Trudaine, décidèrent de créer des voies entièrement nouvelles partout où les nécessités politiques et économiques du temps l'exigeaient. C'était donc, envisager, en plein XVIIIème siècle, la mise en chantier de ce que nous pourrions appeler maintenant un réseau d’«hipporoutes », et décider que ce réseau devrait être capable de supporter un trafic régulier de voitures au galop. On se souvient des décisions qui furent à l'origine de cette patiente mais très profonde transformation des grandes routes françaises : la corvée des chemins, rendue obligatoire dans tout le royaume par l'Instruction du 13 juin 1738 du contrôleur général Orry, constituait le préalable à toute l'opération puisqu'elle devait procurer aux ingénieurs des Ponts et Chaussées de chaque province l'énorme, sinon très efficace, main-d'œuvre qui leur était nécessaire. La même instruction chargeait les ingénieurs, en accord avec les intendants des provinces, de commencer les ouvrages et de dresser les plans des routes à ouvrir ou à aligner. Leur plus grand effort, que l'on espérait cette fois-ci définitif, devait porter bien entendu sur les grands itinéraires partant de la capitale : il fallait avant tout qu'à travers ce très vaste royaume de France les ordres du gouvernement puissent parvenir plus rapidement et plus sûrement jusqu'aux provinces éloignées. Hors de cette priorité absolue pour un grand réseau centralisé, chaque ingénieur chercherait à améliorer les roules s'éloignant du chef-lieu de sa généralité, et particulièrement celles qui menaient aux chefs-lieux des généralités voisines. Enfin, on travaillerait également sur quelques routes de traverse présentant un grand intérêt économique ou stratégique. Daniel-Charles Trudaine, nommé à la Direction des Ponts et Chaussées en 1743, allait donner une impulsion vigoureuse à toute l'entreprise. Suivi plus tard par son fils, il coordonna avec autorité l'action des ingénieurs et veilla à élever leur niveau de recrutement et d'instruction. Son premier soin fut de créer à Paris en 1744 un bureau de dessinateurs, celui du géographe Mariaval, pour assurer la mise au net des plans de routes dressés par les ingénieurs. Le 14 février 1747, il confie la direction du bureau à Jean-Rodolphe Perronet qu'il a fait venir de la Généralité d'Alençon, et lui donne mission de former les futurs sous-ingénieurs. En 1750 enfin, au moment où les premiers élèves commencent à sortir de ce qui deviendra plus tard l’École des Ponts et Chaussées, Trudaine réorganise le corps des ingénieurs. Tout était alors en place pour le départ du plus large programme de travaux publics jamais entrepris jusqu'à ce jour en France. Cet Indicateur fidèle ou Guide du voyageur, véritable succès de librairie, offre un regard attrayant sur la France du XVIIIème siècle. Ses routes sont organisées; le pays est administré. Les grands travaux de construction d'un réseau routier moderne ont ici porté leur fruit. De la bibliothèque Maurice Lecomte.‎

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EUR4,500.00 (€4,500.00 )

‎CAILLOIS Roger‎

Reference : 115177

(1977)

‎Petit guide du XVe arrondissement à l'usage des fantômes.‎

‎ Fata Morgana 1977 Fata Morgana, 127 p., 13 janvier 1977, broché, environ 23x14cm. Couverture insolée, bon état pour le reste et intérieur bien propre.‎


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Reference : 81545

‎Guide du Voyageur à Grenoble et dans ses environs et aux Eaux Thermales du Département de l'Isère, contenant, Diverses notices historiques, une carte, neuf dessins lithographiés et Un tableau indiquant les heures de départ et retour de toutes les voitures à service régulier pour les courses indiquée dans le Guide.‎

‎ Grenoble, Ch. Vellot & Cie, Libraires de l'Académie, 1854, 1 volume de 245x155 mm environ de format à l'italienne, demi-basane fauve, dos lisse orné de filets dorés. Avec 10 planches gravées hors texte dont une carte des Environs de Grenoble. Avec un envoi sur la première garde. Un mors interne fendu mais structure solide, frottements sur le cuir et le cartonnage, intérieur bon état.‎


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EUR300.00 (€300.00 )

‎VERON DUVERGER DE FORBONNAIS‎

Reference : LCS-18605

‎Recherches et considérations sur les finances de France, depuis l’année 1595 jusqu’à l’année 1721. Edition originale de ce « guide si instruit, si sensé, si purement et si simplement patriote, et sans lequel l’histoire financière du dix-septième siècle nous eût été presque impossible. »‎

‎Précieux exemplaire conservé tel que paru, à toutes marges, dans ses brochures d’attente. Basle, Frères Cramer, 1758. 2 tomes en 2 volumes in-4 de: I/ (1) f.bl., viii pp., 594 pp., 3 tableaux dépliants; II/ (1) f.bl., viii pp., 662 pp., (1) f.bl., 13 tableaux dépliants. Conservé dans ses brochures d’attente, non rogné. Etuis. 275 x 210 mm.‎


‎Edition originale du grand ouvrage de Forbonnais sur les finances de la France. Barbier, Anonymes, 19; «Ici finit le grand ouvrage de Forbonnais, ‘Recherches et Considérations sur les finances de France’. Ce n’est pas sans regret que nous nous séparons de ce guide si instruit, si sensé, si purement et si simplement patriote, et sans lequel l’histoire financière du dix-septième siècle nous eût été presque impossible.» (H. Martin, Histoire de France, 1859). «François-Louis Veron de Forbonnais, inspecteur général des monnaies et conseiller au parlement de Metz, né au Mans en 1722, mort à Paris le 20 septembre 1800. Forbonnais fut initié dès son adolescence aux affaires commerciales. Son père, fabricant d’étamines au Mans, et dont les relations avec le midi de l’Europe étaient assez étendues, envoya son fils, à peine âgé de dix-neuf ans, voyager pour sa maison en Italie et en Espagne. A son retour, en 1743, Forbonnais alla habiter Nantes, chez un de ses oncles, riche armateur de cette ville. Là il put voir de près les grandes affaires d’exportation prendre des notes sur les habitudes, les besoins du commerce, et se préparer par une pratique utile aux travaux économiques et à l’administration des finances. C’est en effet dans cette direction que Forbonnais porta l’activité de son esprit. En 1752, il présenta au gouvernement des mémoires sur les finances, des plans, des projets: admis à les discuter devant le ministre, il soutint ses opinions avec la raideur d’un homme plus habitué à l’étude qu’aux usages des cours. Bien que le ministre auquel il avait tenu tête fût probe, éclairé, animé des meilleures intentions, Forbonnais fut éconduit. Il n’abandonna toutefois ni ses études ni ses relations à la cour. Les ministres qui, à cette époque, ne croyaient pas tout savoir, lui demandèrent plusieurs mémoires. Il devint inspecteur général des monnaies en 1750, et en 1758 il publia l’ouvrage qui devait être son premier titre au souvenir de la postérité, ses ‘Recherches et considérations sur les finances de la France’… Son grand travail sur les finances de la France, depuis 1595 jusqu’à 1721, résultat de longues et consciencieuses recherches, survit à presque tous les autres. On y remarque une intelligence assez forte pour dominer une telle matière, sans aller se perdre dans les détails. Un style qui est clair, simple, précis et grave jette de l’intérêt et de la lumière sur des faits arides et obscurs par eux-mêmes. On peut consulter les ‘Recherches et considérations sur les finances’ avec toute confiance pour le temps compris dans le plan de l’auteur; il faut se défier davantage des digressions relatives à l’origine et à l’ancienne histoire de certains impôts. Quelques écrivains modernes, qui doivent à Forbonnais une bonne partie de leur réputation, n’ont pas toujours rectifié les erreurs que cet auteur avait commises. Comme publiciste, Forbonnais se place, par la nature de ses idées comme par le temps où il vécut, entre Law et l’école de Quesnay. Il prit part à la réaction contre les modes, les idées, les exemples de l’Angleterre et de la Hollande, et alla chercher dans la tradition française les pensées d’amélioration et de réforme. ‘Cet ouvrage, dit-il dans son introduction, conservera à notre nation l’honneur d’avoir eu la première de bonnes lois en toutes choses, et peut-être la honte de les avoir mal exécutées.’ Les idées économiques les plus justes et les plus vraies abondent dans ses écrits; mais elles n’y ont point encore la forme exacte, scientifique». (C. Coquelin, Dictionnaire de l’économie politique, 1864). L’ouvrage est orné de 16 tableaux dépliants du plus haut intérêt montrant par exemple l’état des dépenses de l’année 1670, les dépenses effectives faites en 1682, etc. Précieux exemplaire conservé tel que paru, à toutes marges, dans ses brochures d’attente.‎

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EUR7,000.00 (€7,000.00 )

‎BOISSART, Jean-Jacques.‎

Reference : LCS-18539

‎Pars Romanae urbis topographiae & Antiquitatum, Qua succincté & breviter describuntur omnia quae tam publice quam privatim videntur anim adversione digna… Pars I [- VI]. The most influential travel guide of Renaissance Rome.‎

‎Bel exemplaire des bibliothèques du duc de La Valliere et de William Beckford. Francfort, Johann Feyrabend for Theodor de Bry, 1597-1598-1600-1602 6 parties reliées en 2 volumes in-folio de: I/ (8) ff. dont 2 portraits à pleine page de Boissard et de Bry, 1 carte dépliante de l’Italie, 161 pp. ch. 163, (1) f.bl., (3) ff. dont 2 portraits à pleine page, 211 pp., 13 pp. d’index ch. 9, (1) f., (11) ff., 42 pp., 4 planches sur double page, 2 cartes dépliantes et 141 planches à pleine page; II/ (2) ff., (4) ff., 47 pp., (1) f., (9) ff., 375 planches à pleine page, 5 planches inédites reliées à la fin. Chaque partie comporte un frontispice gravé. La 5e partie a été reliée par erreur après la partie 6: ses planches viennent immédiatement après celles de la IVe partie, son titre-frontispice a été inséré entre le texte et les planches de la 6e partie, et ses 10 ff. de pièces liminaires placés tout à la fin du volume, quelques rousseurs dans la VIe partie. Maroquin rouge, triple filet doré en encadrement, dos à nerfs à fleurettes, fleurons et annelets dorés, tranches dorées. Reliure du XVIIIe siècle. 310 x 195 mm.‎


‎[video width="1842" height="1080" mp4="https://www.camillesourget.com/wp-content/uploads/2024/07/BOISSARD-1.mp4"][/video] Edition originale de l’un des grands livres sur Rome. Adams, B, 2331-32-36-38-39-41; Cicognara 3626 ; Graesse I, p. 475 ; Brunet I, 1069 ; Kissner 54; Schudt 715; Rossetti II, 1160. L’ouvrage eut une influence considérable parmi les historiens. Winckelman l’appréciait encore comme source d’information. Le troisième plan, celui de la Rome « moderne », gravé par de Bry en 1597, dérive du plan Brambilla-Vanaest de 1590, avec une présentation différente de la basilique Saint-Pierre. Les figures ont été dessinées par le poète et antiquaire bisontin J.-J. Boissard (1528-1602) qui avait passé sa vie à étudier les chefs-d’œuvre de l’ancienne Italie. Elles ont été gravées par son ami Théodore de Bry. Quelques planches de la deuxième partie sont dues au buriniste français Jacques Granthomme, dont la signature figure sur sept d’entre-elles ainsi qu’au frontispice (cf. Inventaire du Fonds Français XVIe, I, p. 452-454, nos 26-33). The Antiquitates romanae were intended to offer scholars and visitors to Rome a guidebook of the city’s ancient monuments while also highlighting its Renaissance glory with information on its spectacular archeological collections. Boissard stayed in Rome between 1556 and 1559, sketching drawings of the Eternal City’s numerous antiquities, and taking precious notes on the collections of antique statues, steles, bas-reliefs, and inscriptions displayed by cardinals, princes and aristocrats in their Roman palaces and gardens. His monumental work is therefore considered not only a valuable primary source, but also the most influential travel guide of Renaissance Rome, since Part I offers an itinerary for a four-day tour around the city. Further, the work testifies to the vastness of Boissard’s readings, as he frequently makes use of accounts and inventories compiled by other authors including Flavio Biondo, Pomponio Leto, Bartolomeo Marliani, Onofrio Panvinio, Fulvio Orsini, and Ulisse Aldrovandi. Illustration : 521 gravures à l’eau-forte, 6 frontispices, une carte d’Italie, 3 plans dépliants de Rome, deux portraits répétés quatre fois de de Bry et Boissard. «Les six grands volumes d'Antiquitates Romanae urbis de Boissard sont l'œuvre d'un artiste et d'un savant. L'artiste a le souci du trait, des physionomies et du positionnement du regard par rapport aux objets...» (Alain Cullière, Bibliothèque lorraine de la Renaissance, catalogue d'exposition, Metz, 2000, n° 100). Pièces jointes : 5 gravures : la première reproduit le tableau de Raphaël dans l’église Saint-Augustin de Rome, les deux suivantes des sculptures antiques et les deux dernières deux molosses en marbre du palais du cardinal Vitellio, découverts en 1558 près du Tibre, via Vitellia. Bel exemplaire des bibliothèques du duc de La Valliere et de William Beckford. Exemplaire du duc de La Vallière, puis de Beckford, revêtu, probablement par Derome, de reliures en maroquin rouge, caractéristiques de la bibliothèque ducale. L’illustration inédite comportant dans le second volume cinq planches supplémentaires a sans doute été insérée par le relieur à l’instigation du duc de La Vallière. Provenance : Louis-César de La Baume Le Blanc, duc de La Vallière (Paris, 1783, n° 5484, acquis par Née de la Rochelle), William Thomas Beckford (Londres, 1882, I, n° 1027 : 24 £ pour Ellis & White).‎

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