Editions du Centre. 1962. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 111 pp., non coupé - Dédicace. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Reference : ROD0002350
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Paris, Maeght éditeur, 1967-1982. 7 volumes in-folio (380 x 280 mm) en feuilles, couvertures illustrées. ENSEMBLE DE 30 LITHOGRAPHIES D'ANTONI TÀPIES. - DERRIÈRE LE MIROIR n° 168. TAPIES. Novembre 1967 (7 lithographies originales en couleurs). - DERRIÈRE LE MIROIR n° 175 (5 lithographies originales en couleurs et 3 lithographies originales en noir). - DERRIÈRE LE MIROIR n° 180 (1 lithographie originale en couleur se déroulant sur 28 pages). - DERRIÈRE LE MIROIR n° 200 (4 lithographies originales en couleurs en double page). - DERRIÈRE LE MIROIR n° 210: MONOTYPES (24 pages entièrement réalisées en lithographie dont 4 lithographies originales et 3 d'interprétation). - DERRIÈRE LE MIROIR n° 234 (2 lithographies originales en couleurs en double page). - DERRIÈRE LE MIROIR n° 253 (1 lithographie originale en triple page. Ultime numéro de la revue). TIRAGES ORIGINAUX POUR TOUS LES VOLUMES. Très nombreuses reproductions d'œuvres et documents photographiques. Textes de: Michel Tapié, Jacques Dupin, Julio Cortazar, Pierre Volboudt, Georges Raillard, Poème de Joan Brossa.
Bel ensemble en parfait état de conservation.
s.l. [Londres] 24 mars 1900, 10x15,7cm, 6 pages sur 2 doubles feuillets.
Lettre manuscrite autographe de Renée Vivien signée «Pauline» et rédigée à l'encre noire sur un double feuillet à en-tête du 24 Hyde Park Street. Cette lettre contient un poème manuscrit en alexandrin intitulé «Le Miroir», jamais publié à l'initiative de la poétesse, mais ayant été retranscrit dans «Renée Vivien et ses masques»(in A l'Encart, avril 1980): «Je t'admire et ne suis que ton miroir fidèle Car je m'abîme en toi pour t'aimer un peu mieux ; Je rêve ta beauté, je me confonds en elle, Et j'ai fait de mes yeux le miroir de tes yeux Je t'adore, et mon cur est le profond miroir Où ton humeur d'avril se reflète sans cesse, Tout entier, il s'éclaire à tes moments d'espoir Et se meurt lentement à ta moindre tristesse Ô toujours la plus douce ô blonde entre les blondes, Je t'adore, et mon corps est l'amoureux miroir Où tu verras tes seins et tes hanches profondes, Ces seins pâles qui sont si lumineux le soir ! Penche-toi, tu verras ton miroir tour à tour Pâlir ou te sourire avec tes mêmes lèvres Où trembleront encore les mêmes mots d'amour, Tu le verras frémir des mêmes longues fièvres Contemple ton miroir de chair tendre et nacrée Car il s'est fait très pur afin de recevoir Le reflet immortel de la beauté sacrée Penche-toi longuement sur l'amoureux miroir !» Le reste de cette longue missive est en revanche resté inédit. Très belle lettre envoyée de Londres par la Muse aux Violettes qui se languit de son «tout-petit»: «Malgré sa lenteur le temps passe, tu vois, et amène l'heure que j'attends fiévreusement, l'heure de se revoir, Natalie ! Encore deux tristes soirs, et le troisième tu seras là pour me bercer entre tes bras ! [...] Aujourd'hui je me suis encore démesurément ennuyée... J'ai tant besoin de te revoir, que je compte les heures à mesure qu'elles passent... Je ne pense qu'à toi, obsédée, hantée, prise, possédée par toi et par nos souvenirs. Je suis une pauvre chose bien malheureuse loin de toi.» Lassée des mondanités («Nous avions la loge de la reine - quel chic, ma chère ! Lady Augustus Fitz Clarence nous avaient invitées. Elle descend d'un bâtard du roi, et est donc une parente illégitime de la souveraine !»), Renée s'attarde dans la contemplation d'un présent de sa «chérie»: «Ta bague, je l'aime tant, c'est un lien de notre amour qui ne me quitte jamais... J'ai tant regretté ton poignard, qu'au dernier moment j'ai oublié d'emporter. Ta bague, vois-tu, c'est ton souvenir à mon doigt je la regarde et une partie de notre tendresse s'incarne en elle.» C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette, Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographique Une Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon, Tes blessures sont plus douces que leurs caresses) Suivront deux années d'un bonheur inégal, rythmées par les infidélités récurrentes de Natalie et la jalousie maladive de Renée dont les lettres oscillent entre déclarations enflammées et douloureux mea culpa. «Renée Vivien, c'est la fille de Sappho et de Baudelaire, c'est la fleur du mal 1900 avec des fièvres, des envols brisés, des voluptés tristes.» (Jean Chalon, Portrait d'une séductrice) En 1901 survint une importante rupture qui durera presque deux années; Renée, malgré les sollicitations de Natalie et les intermédiaires qu'elle lui envoie pour la reconquérir, résiste. «Les deux amies se revirent, et se fut, en août 1905, le pèlerinage à Lesbos, qui constitua une déception pour Natalie Barney et demeura sans lendemain. [...] Le ressort était définitivement brisé. Les deux anciennes amies cessèrent de se voir dès 1907, et Vivien mourut sans qu'elles se soient revues. » (J.-P. Goujon, Ibid.) - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Miroir du Tour ( Miroir du cyclisme ) - Tour 92 - cyclisme / Tour de France
Reference : 14274
N° 458 H / 1992 - Poster Luc Leblanc
bel état
Miroir du Tour / Miroir du cyclisme - Tour 91 - cyclisme / Tour de France
Reference : 14278
N° 447 / H / 1991 - Poster Miguel Indurain
bel état
FLEURY (Jacques) / LESAGE (Alain-René) / DORNEVAL [ORNEVAL (Jacques-Philippe, d)]
Reference : 552
(1752)
s. l. s. n. 1752 In-16° (170 x 106 mm), 48 pp., plein veau marbré, dos lisse orné, tranches rouges, filet sur les coupes (reliure de lépoque)
LES 1001 VERSIONS D'UN CONTE DES 1001 NUITSÉdition originale de cette nouvelle adaptation donnée à lOpéra-comique en 1752. Les réadaptations successives de cette pièce à succès, donnée pour la première fois en 1720, fournissent un intéressant témoignage de lévolution des goûts du public du théâtre forain dans la première moitié du XVIIIe siècle. Cette comédie de Lesage et Dorneval, inspirée par un conte des 1001 nuits (Zyn Alasnam et le roi des génies), fut créée sous le titre La Statue merveilleuse en 1720 à la foire Saint-Laurent, où elle fut interprétée par « la troupe de danseurs de corde de sieur Francisque » (Oeuvres choisies de Lesage, vol. 14, p. 291). Pittenec (Le Sage le fils), en réduisit les 3 actes à un seul ; cette nouvelle version de la pièce fut donnée en 1734 sous le titre Le miroir sans fard ou Le miroir véridique. Jacques Fleury, enfin, y apporta de nouvelles modifications pour une représentation à lopéra-comique. Dans cette ultime version, la pièce apparaît « débarrass[ée] dune intrigue qui eût paru peut-être aujourdhui ennuyeuse ou du moins ridicule ».Fleury, en effet, en a considérablement élagué lintrigue : dans la version originale de la pièce, un génie demande au roi de Cachemire de lui offrir, en échange dun fabuleux trésor, une femme dont lhaleine « chaste » ne trouble pas la glace dun miroir magique. Le roi finit par découvrir une femme triomphant de lépreuve du miroir, mais il en tombe amoureux et ne la cède au génie quà regret. Ce-dernier révèle alors que le trésor quil lui avait promis nétait autre que cette épouse vertueuse. Dans la version simplifiée de Fleury, en revanche, il ny a pas de retournement final : le génie fait don au roi du miroir magique pour laider dans sa quête dune épouse. Ces coupes ayant entraîné un remaniement des scènes, les principales modifications apportées par Fleury sont indiquées en marge pas une astérisque. L'ouvrage fut imprimé à nouveau en 1753 et 1755 (dans le recueil publié par Duchesne). La première version de la pièce fut par ailleurs adaptée à lopéra par Ernest Reyer sous la titre La Statue (1861). Bibliographie : Bahier-Porte, Christelle. « Le conte à la scène ». In Féeries, 4. 2007, 11 34 ; Martin, Isabelle. « Usage et esthétique du miroir dans une pièce orientale: «La Statue merveilleuse» de Lesage ». In LEsprit Créateur, Vol. 39, No. 3, Automne 1999. pp. 47-55. Frottements, mors supérieur fendu en pied.