PIERRE JEAN OSWALD - SERIE THEATRE EN FRANCE. 1975. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 137 pages. Première de couverture illustrée d'un dessin en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie
Reference : RO90125973
Scènes et images tirées de la vie et des écrits d'Alexandra Kollontaï, révolutionnaire russe. Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie
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Reference : lom-MS000245
"In Russian. Short description: [Ortenburg, H.] Ortenburg, H. [Uro?m and the Chapel-Burial Vault of Her Royal Highness Archduchess Alexandra Pavlovna, built by His Royal Highness Archduke Joseph, Ruler of Hungary / compiled by Heinrich von Ortenburg]. U?ro?m and the Burial Chapel, the final resting place of Her Imperial Highness the late Archduchess Grand Duchess Alexandra Pavlovna, Consort of His Imperial Highness Archduke Joseph Palatine of Hungary. Published by Heinrich Ortenburg. Along with the portrait and 6 lithographic oil paintings. - Pest: H. Geibel, 1860. - [4], 19, [1] p., [1] frontispiece (portrait), [6] plates; 35.3x30 cm. The book is dedicated to the burial place of the daughter of Paul I - the Grand Duchess Archduchess of Austria Alexandra Pavlovna (1783-1801), the spouse of Archduke Joseph Habsburg, the ruler of Hungary. She was buried in the suburb of Budapest, in the town of Uro?m. Above her grave, an Orthodox church was built in the name of the martyr Tsarina Alexandra. The text is in the German language. The frontispiece with the portrait of Alexandra Pavlovna and six illustrations on separate sheets are done in the lithographic technique. Bound in period half-leather with gold embossing on the spine. Triple gilt edges. Small tear at the top of the spine; the paper on the binding covers and endpapers has been restored. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUMS000245"
Le Livre de Poche 1997 1997. Alexandra Ripley: Pour tout l'or du Sud/ Le Livre de Poche 1997 . Alexandra Ripley: Pour tout l'or du Sud/ Le Livre de Poche 1997
Bon état
THE NEWPORT (mon.) DEVELOPMENT ASSOCIATION LIMITED / WALTER F. POPE PRINTER. non daté. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Agrafes rouillées, Quelques rousseurs. environ 55 pages illustrées de nombreuses planches photos en noir/blanc (environ 27 photos) - 2 photos disponibles. . . A l'italienne. Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
The port of Newport - entrance to alexandra dock, aerial view of newport docks and the alexandra south dock, liner in the south lock, electric canes, quay crane, floating crane, new ferro concrete wharf, liner loading railway coaches, liner discharging cotton seed / spelter ect, liner loading general cargo, steamer loading cargo of tinplates, vessels laoding and discharging general cargo, steel tubes, cargo of telegraph poles, transporter bridge, portion of No. 9 transit shed, ... Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
Reference : albb4351d02eda68d53
Alexandra Tolstoy. Tolstoy. A Life of My Father. In Russian (ask us if in doubt)/Alexandra Tolstoy (Aleksandra Lvovna Tolstaya). Tolstoy. A Life of My Father. Translated from the Russian by Elizabeth Reynolds Hapgood. London Gollancz 1953. 544c. SKUalbb4351d02eda68d53.
MARIE FEODOROVNA (Sophie-Dorothée de Wurtemberg) princesse allemande qui devint en 1776 par son mariage, avec le futur tsar Paul 1er, impératrice de Russie sous le nom de Marie Féodorovna (née en 1759 et morte le 5 novembre 1828 à Pavlovsk).
Reference : 42gC27
Ces lettres datées du 3 août 1827 au 3 octobre 1828, comprenant la période de la guerre Russo-turque (1828-1829), sont les derniers témoignages avant sa disparition. Elles sont écrites en français, trois de ces lettres sont sans date, le billet est rédigé au crayon d’une écriture difficile. Belle et rare correspondance dévoilant un aspect de l’intimité des Romanov où l’on découvre la sensibilité d’une impératrice douairière, très proche de ses enfants et petits enfants. Elle est très attentive à la santé de l’impératrice Alexandra. « Nos deux lettres, chère Mademoiselle Wildermeth, se sont croisées de près et je vous remercie de tout mon cœur. Je suis persuadée que la saignée fera grand bien à notre chère Impératrice, elle se sentira défoulée, le mal passera et cela influera aussi sur la lourdeur des jambes … ». Elle la questionne de nouveau sur sa santé, en janvier 1827. « Je m’adresse à vous pour vous prier de me dire si notre chère Impératrice a passé une bonne nuit et si elle ne se désole pas de son mal de tête ; elle en soufrait hier, je le voyais quoiqu’elle eut voulu prendre sur elle. La promenade ne l’a-t-il pas augmenté… ». Pavlovsk, 9 Mai 1828, elle tient à informer la gouvernante du dernier voyage de l’impératrice, nouvelles qu’elle a reçues hier : « l’Imp. me parait satisfaite et de bonne humeur, elle me donne des détails de leur voyage… Elle me parle aussi d’une synagogue qu’elle a vue et de l’impression désagréable qu’elle lui a faite, tout comme à moi lorsque j’étais dans le cas d’un soir. Marie s’amuse beaucoup de ce voyage et écrit à sa sœur et à son frère… ». Elle lui demande également de communiquer ces nouvelles à « Guillaume », (Guillaume 1er, empereur allemand) ne pouvant lui écrire aujourd’hui, et lui raconte sa visite chez lui. Le souverain l’a trouvé « bien docile », entourée des petits enfants « qui faisait le train autour de moi ». Elle lui apprend que son fils Nicolas, arrive à Dresde le 11 mai (1828) et que l’impératrice espère le voir. Elle a supporté « admirablement bien le voyage », ainsi que la petite Alexandra. Le 16 juin 1828, de Pavlovsk, elle se sert « d’une main étrangère » pour lui annoncer sa grande peine, causée par la mort du Gand duc de Weimar, « en songeant que ce malheur accélère le départ de mes enfants, en m’ôtant en même temps l’espoir de les revoir ! Jugez de l’état de mon âme ». Toujours de Pavlovsk, le 27 juin 1828, elle lui apprend la reddition « de Brahilev » (pour Braïla), la forteresse de Matte Chine (pour Matchin), de Hirsova et finalement d’Anapa ». C’est l’impératrice qui lui a donné ces nouvelles, qu’elle avait appris par une lettre provenant « du même bâtiment à vapeur », qui avait permis l’acheminement du courrier et le débarquement de l’empereur Nicolas 1er. Sa joie est totale avec la soumission d’Anapa et lui annonce que c’est « une grande et importante nouvelle qui peut nous donner de grands résultats » 11 Juillet 1828, elle répond à son ancienne gouvernante qui l’avait félicité des succès de Nicolas 1er en Turquie. « Je vois que vous avez pris, ainsi que je l’ai prévu, beaucoup de part aux triomphes de l’Empereur… ». L’éloignement de l’Empereur concerné par cette guerre est bien pénible à Alexandra, très inquiète, le sachant « s’approcher toujours d’avantage des forces de l’ennemi ! La confiance seule dans la protection Divine, qui repose si visiblement l’Empereur peut seule donner des forces pour supporter une situation de l’âme aussi pénible… Que Dieu le protège… ». Saint-Pétersbourg, 15 septembre 1828. Au moment « même » de répondre à sa « chère Wildermeth », elle reçoit une lettre de l’impératrice qui lui précise la date de son départ. « Sa santé et celle de petite Marie (future Marie Nikolaïevna, grande duchesse de Russie qui épousa en 1839 Maximilien de Leuchtenberg) sont bonnes. Elle sera le 4 octobre à Gatchina où j’irai la recevoir avec le petit Alexandre… ». Elle attend des nouvelles de la chute de Varna « d’un moment à l’autre, c’est un temps d’angoisse et d’inquiétude, que les paroles ne peuvent dépeindre sur ce que l’âme l’éprouve trop vivement… ». Gatchina, 3 octobre 1828, l’impératrice est arrivée à Gatchina et elle a éprouvé un grand bonheur en retrouvant ses enfants. « Aujourd’hui nous allons en ville, où j’attends une nouvelle jouissance, celle de revoir chez nous son beau Constantin, avec son air de prospérité. Vous avez fait un des premiers sujets de notre entretien. J’ai parlé à l’Impératrice du plaisir que j’espérais avoir de vous revoir chez nous et elle le partageait vivement ». Elle lui recommande d’être prudente concernant sa santé, lors de sa venue, « mais je me dis quelque fois que le plaisir de revoir notre chère Alexandrine redonnera, je le crois certain et sera aussi d’un bien à votre santé et je me flatte que de vous embrasser ». Un mois après l’impératrice s’éteignait.