EDITIONS LIVRE DE POCHE N° 5532. 1981. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 125 pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : RO90078857
ISBN : 2253027227
Couverture des Ateliers Pascal Vercken. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
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Librairie illustrée.. 26 décembre 1886. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. Paginé de 401 à 416. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages
Sommaire : Un demi-sauvage - Son compagnon affilait son couteau dans le dessein de le tuer, Les chasseurs de caoutchouc, chapitre IX, Le chemin de fer transcaspien, Les mangeurs de feu, Le jour de l'an en Birmanie, Un drame au cap de bonne espérance, chapitre VIII Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages
GRASSET.. 1978. In-12. Broché. Bon état, Couv. fraîche, Dos impeccable, Déchirures. 185 pages. Couverture souple.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Livre de poche 1981 125 pages in12. 1981. Broché. 125 pages. 'Depuis que j'ai cessé de fumer je flotte je dérive je ne sais où. Ah ! où est-il le temps où je pouvais m'accrocher pas à pas minute après minute à ma cigarette... Ma cigarette mon radeau ma rame. Oui c'est ça... On la tirait doucement régulièrement comme on rame. On aspirait on tirait on tirait bouffée après bouffée la barque à bon port ici chez soi maintenant entre nous... J'entrais au bistrot demandais un café noir et savais alors qu'il était temps. Je m'adossais au comptoir j'ouvrais mon sac tirais lentement une cigarette du paquet et l'allumais le regard vers la rue les autos les mouvements les gens ; tout ce vacarme muet pressé toujours étrange. Et je tirais ma première bouffée. Et c'était comme si je voyais soudain ; ou comme si j'allais voir... Je ne sais pas si ce fut jamais l'aurore ou seulement son désir éperdu. En tout cas ce fut le plus beau. L'amour en sa première vague illimité... Nostalgie d'une immense page blanche d'un premier mot d'une première encre. D'une première écriture et qui serait de toute beauté. Intègre.'A.L