EDITIONS LIVRE DE POCHE N° 3652. 1973. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 567 pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : RO90076866
Couverture des ateliers Pierre Faucheux. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
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Publié en 1785, sans l’assentiment de l’auteur, «Le Diable au corps» a été condamné à la destruction par un arrêt de la cour d’assises de la Seine, en date du 9 août 1842 et par un jugement prononcé par la 6ème chambre du tribunal correctionnel de la Seine le 12 mai 1865. Londres, 1785. In-12, maroquin rouge, double filet doré, dos orné, dentelle intérieure, tranches dorées. Reliure de la fin du XIXè siècle. 131 x 80 mm.
Edition originale «introuvable aujourd’hui» de la première parution du «Diable au corps», imprimée dès l’année 1785, l’un des plus illustres romans érotiques parus simultanément avec les œuvres du Marquis de Sade. Ce titre sera repris par Raymond Radiguet (1903-1923) pour son roman autobiographique paru l’année de sa mort. Le Diable au corps est un tableau des mœurs parisiennes un peu avant la Révolution et ce tableau, Nerciat l'a complété par un autre: les Aphrodites, qui a lieu une quinzaine d'année plus tard, pendant les premières convulsions révolutionnaires. C'est sans aucun doute à propos du Diable au corps et Les Aphrodites que Baudelaire écrivit cette note qu'il avait l'intention de développer « La Révolution a été faite par des voluptueux ». Cette rarissime édition originale est ornée de 4 figures érotiques. Publiée de manière clandestine en 1785, sans l'assentiment de l'auteur, cette édition livre au public la première version de la première partie du Diable au corps (1803), dont le texte à l'époque était toujours en cours d'écriture par Nerciat. Ce récit très libre se présente sous la forme d'un dialogue au verbe croustillant et érotique entre plusieurs personnages: une superbe marquise, la comtesse de Motte-en-feu, véritable laidron piquant et blonde ardente qui porte un certificat non équivoque des plus nombreuses & des plus chaudes aventures, une soubrette, un prélat, etc. Le Diable au corps a été condamné à la destruction par un arrêt de la cour d'assises de la Seine, en date du 9 août 1842 et par un jugement prononcé par la 6ème chambre du tribunal correctionnel de la Seine le 12 mai 1865. Si Nerciat, qui joua sur les deux tableaux (royauté ou république), souvent par nécessité financière ou par simple sécurité pour sa personne, ne fut pas aussi fin politique ou chanceux qu'un de ses illustres patrons, Talleyrand, il laissa à la postérité une œuvre littéraire autrement moins périssable. Ses romans, si raisonnables et convenables en philosophie politique, fourmillent de joie de vivre et de santé heureuse, tout à l'opposé du cynisme et de la dureté de la vie politique de son époque, particulièrement corrompue et sanglante. Si son œuvre reflète sa vie, le chevalier, subtil libertin, dut connaître à travers tant de vicissitudes professionnelles de très joyeux moments. Si elle ne la reflète nullement, cette vie chaotique dut lui être particulièrement pénible pour soutirer de lui une telle compensation imaginaire. S'il faut trancher, son œuvre est largement autobiographique et propose un miroir très fidèle des mœurs fort libres (mais sans leur corruption et leurs violences) de l'aristocratie française que la réaction, lors de la Restauration post-napoléonienne, n'avait pas encore assombri de son implacable répression des mœurs. En somme, sa vie fut aussi dangereuse que son œuvre est joyeuse. «André et Nerciat aurait écrit Le Diable au Corps quelques années avant la Révolution et l’eût fait imprimer dès 1789 ou 1790, si les évènements n’eussent entraîné l’ajournement de son projet. Il s’est plaint d’avoir été victime dès 1785 d’un contrefacteur qui, avant même que la rédaction de l’ouvrage fût achevée, en aurait publié une partie en y introduisant beaucoup de fautes et en y apportant ça et là de désastreuses retouches: «Pas le moindre écart, pas la moindre addition, le moindre retranchement qui ne soit un contre-sens, une platitude, ou du moins une faute contre le goût, sans parler des innombrables difformités purement typographiques». Cette contrefaçon, ou plutôt cette pré-façon, introuvable aujourd’hui, avait pour titre: les Écarts du tempérament ou le Catéchisme de Figaro, esquisses dramatiques. Londres, 1785, in-18, et portait en épigraphe: Et flon flon, lure lure lure, Chacun à son ton et son allure, Elle fut réimprimée quelques années plus tard sous un titre différent: les Écarts du libertinage et du tempérament ou Vie licentieuse de la comtesse de Motte-en-feu, du Vicomte de Molengin, du valet Pinefort, de la Conbanal, d’un âne et de plusieurs autres personnages. Nouvelle édition. A Conculix, chez l’abbé Boujarron, bon bretteur, 1793, in-18 de 132 pages avec gravures. Il est peu probable que la première de ces deux éditions d’une partie du futur Diable au corps ait été vraiment publiée sans la complicité de l’auteur. Il est possible, certes, qu’elle ait été imprimée sans que Nerciat ait pu se relire sur épreuves et signer le bon à tirer, mais il va de soi que l’éditeur a disposé d’un manuscrit qui n’a pu être mis en circulation que par Nerciat lui-même. Les protestations de celui-ci ressemblent un peu aux plaintes de la prostituée dont la pudeur se trouve offensée». Pascal Pia, Les livres de l’enfer.
Paris Editions littéraires sans date Ensemble de sept plaquettes réunies en un volume in-4, demi-vélin bradel, dos orné d'une nef peinte en bleu, non rogné.Rare réunion de sept des douze plaquettes qui composent cette fantaisie caricaturale publiée sous le titre général Le Diable à Paris. Exemplaire sur papier vélin Aussédat.
précédé de sa vie, de son procès et de ses prophéties et révélations par Gérard de Nerval. 200 dessins de E. Beaumont "Le Diable amoureux" est un roman de Jacques Cazotte, un écrivain français du XVIIIe siècle. L'histoire raconte les aventures d'Alvaro, un jeune homme épris de philosophie et d'occultisme, qui invoque le diable lors d'un rituel et se retrouve lié à lui. Dans le roman, le diable, nommé Biondetta, apparaît sous la forme d'une belle femme et tente de séduire Alvaro. Cependant, Alvaro résiste à ses avances et refuse de céder à ses tentations. Au fur et à mesure de l'histoire, les rôles sont inversés et c'est le diable qui tombe amoureux d'Alvaro, le poursuivant sans relâche. "Le Diable amoureux" est un récit fantastique qui mélange des éléments de romance, d'humour et de surnaturel. Il aborde également des thèmes tels que la tentation, la morale et la lutte entre le bien et le mal. Le roman est considéré comme une œuvre importante du genre littéraire connu sous le nom de "diablerie" ou "démonomanie", populaire à l'époque de la fin du XVIIIe siècle. Jacques Cazotte était un écrivain français connu pour ses contes fantastiques et ses récits mystiques. "Le Diable amoureux" est son œuvre la plus célèbre et a contribué à sa renommée littéraire. Le roman a également été adapté dans d'autres formes artistiques, notamment au théâtre et à l'opéra. En résumé, "Le Diable amoureux" de Jacques Cazotte est un roman fantastique du XVIIIe siècle qui relate les aventures d'un homme lié au diable. Il explore les thèmes de la tentation, de l'amour et du surnaturel, offrant une intrigue captivante et pleine de rebondissements. Neuvième édition, ornée de gravures d'après les plus grands maîtres de l'école française vol gd in-8, 23x15, frottements et manque à la reliure, qq rousseurs, bon état intérieur, les gravures sous serpentes étant très bel état, 191p. Paris, Léon Canivet, 1845 ref/223
[Baldrich, Laborde, Mahn, Sennep, van Moppès, Vertès.] -
Reference : 171
ISBN : jpg
Paris, Editions Littéraires de France, sans date, 4 volumes, 21 X 27 cm., en feuilles, 104 + 31 pp. Ouvrages en feuilles, non coupées, sous chemises rempliées illustrées en couleurs, tous bien complets de 4 planches tirées à part chacun et tous sur papier Aravis. Le diable au Palais Bourbon : premier volume, texte de Georges SUAREZ, illustrations de Jehan SENNEP, un des 1200 exemplaires numérotés sur papier Aravis. La beauté du diable : texte de Violette LE ROY, illustrations de Roberto Martinez BALDRICH, Berthold MAHN, Marcel VERTES. Le diable dans la rue : texte de Pierre MAC ORLAN, illustrations de Chas LABORDE. Le diable en ménage : commence à la page 10, texte de Jacques DYSSORD, illustrations de Maurice VAN MOPPES. Petits frottements et déchirures sur les chemises. Intérieurs très frais.
La librairie fait une petite pause, mais vous pouvez continuer à réserver les ouvrages. Reprise des expéditions le mardi 18 février 2025.
[A. & P. Gonin, Lausanne 1960]. Lithographie originale 28 x 19 en noir, non signée.
Planche à choix (les deux dernières sont doubles recto-verso) du livre de C.F.Ramuz : Histoire du soldat. Prix à la pièce : [Giroud 26] > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <