EDITIONS FOLIO COLLECTION ESSAIS N°139. 16-03-1990. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 278 pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : RO90030638
ISBN : 2070325598
Editions Folio.Collection Essais. Couverture: Photo Gamma-Abril Liaison. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Gallimard, Folio-Essais, 2001, 285 pp., poche, passages signalés au crayon, état correct.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Delarge Alexandre Gaudin Pierre Spire Juliette Zuber Henri
Reference : 39831VPRT
ISBN : 9782913610385
Créaphis Broché D'occasion état correct 01/01/2004 280 pages
Gallimard. 2001. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 281 pages augmentées de quelques cartes en noir et blanc hors texte. Achevé d'imprimer le 29 octobre 2001. Annotations au crayon. Ex-libris à l'encre sur la page de garde.. . . . Classification Dewey : 710-Urbanisme. Art du paysage
"Collection ""Folio Essais"" Classification Dewey : 710-Urbanisme. Art du paysage"
1998, Mémoires à lire, territoire à l'écoute, in-8 broché de 316 pages, couverture blanche illustrée en couleurs, Territoires littéraires des îles à la ville Hyères-les-palmiers, écrits d'une ville, deux siècles d'écriture de la ville offrent, sur le thème du paysage hyèrois, une anthologie des genres littéraires. Au fil des pages, apparaissent, récurrents, les motifs qui fondent l'identité de la ville: la colline, la mer, la pinède, le château, l'oranger et ses jardins, puis le palmier, les îles mais aussi la campagne, le mistral, la lumière, le fort, le phare mais encore, paysage habité, l'hivernant... Comme le voyage extraordinaire, la balade [...] | Etat : Très bon état général, coiffes et coins légèrement frottés, (Ref.: ref80531)
Mémoires à lire, territoire à l'écoute
MICHAUD-FREJAVILLE Françoise - DAUPHIN Noëlle - GUILHEMBET Jean-Pierre (sous la direction)
Reference : QWA-17262
Presses Universitaires de Rennes, 2006, in-8 br., 326 p., coll. "Histoire", 32 planches ill. h.-t., bon état.
"Comment entre-t-on en ville? Cela paraissait simple au temps des bonnes murailles: sous l'œil vigilant des gardes, on franchissait une porte monumentale, on passait un pont. La beauté de l'entrée était signe de puissance. Mais les villes n'ont pas toujours eu murs, fossés et clefs et aujourd'hui n'en n'ont plus... En 2001 une vingtaine de spécialistes, urbanistes, historiens et juristes ont confronté à Orléans leurs points de vue sur le sujet. A la lecture de la quinzaine de communications proposées ici, on se rend compte, comme le souligne une introduction magistrale, qu'"" entrer en ville "" est un acte multiforme. Connaître l'endroit de la distinction entre le dehors et le dedans: est-ce si simple pour des cités où les différents seuils sont encore mal connus dans leur chronologie et leurs emplacements exacts? Rome, abordée ici par trois fois de l'Antiquité au XVIIe siècle, semble un cas d'école! L'historiographie souligne l'importance des liturgies des déplacements des souverains: les cérémonies d'entrée des magistrats italiens, des évêques (à Orléans) et même des cœurs des rois et des princes défunts enrichissent désormais l'analyse des anciens rituels d'accueil urbains. Le franchissement individuel festif ne saurait de toutes façons avoir les mêmes caractères que l'intrusion de phénomènes collectifs, qu'ils soit militaires juridiques ou religieux. La ville finit par englober les tentacules habitées qui accompagnaient les voies d'accès: les octrois firent sortir à la fin de l'Ancien Régime la ville de ses limites traditionnelles et, à l'inverse, des quartiers périphériques récemment réunis ou fraîchement édifiés ont dû assumer leur nouvelle urbanité. Nous savons que cela ne fut jamais sans tensions, sans perception de la différence. Entrer en ville, descendre ou monter en ville, sortir de la ville ne sont donc pas de simples déplacements dans un espace territorial défini. Nous avons ici une riche réflexion sur des mouvements complexes. Voir le sommaire sur photos jointes".