‎SALA PAUL‎
‎LE JOURNAL D'UN JUGE‎

‎Secret de guerre et autres récits ou le journal d'un juge d'instruction soviétique‎

‎Ed en langues etrangères in8. Sans date. Reliure pleine toile sous rhodoid. 349 pages. Bon Etat leger manque au rhodoid‎

‎Projet n° 252 - On demande justice, La crise du droit par Roland Kessous, Une démocratie de plaignants par Joel Roman, Scène judiciaire et scène médiatique, un pouvoir partagé ? par Daniel Soulez Larivière, Les juges par Denis Jardel, Journal d'un juge‎

‎CERAS. Décembre 1997. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 132 pages.. . . . Classification Dewey : 300-SCIENCES SOCIALES‎

‎Sommaire : On demande justice, La crise du droit par Roland Kessous, Une démocratie de plaignants par Joel Roman, Scène judiciaire et scène médiatique, un pouvoir partagé ? par Daniel Soulez Larivière, Les juges par Denis Jardel, Journal d'un juge des villes par Marielle Thuau, Le JAP, axe essentiel de la justice pénale par Godefroy du Mesnil du Buisson Classification Dewey : 300-SCIENCES SOCIALES‎

‎Esprit n° 219 - Justice pénale - Justice et société par Albert Béguin, Les personnages - Ces messieurs de la cour par Irène allier, La justice telle qu'elle se rend, Journal d'un juge par Rabi, Un coin du voile par Léon Durand, Une erreur judiciaire‎

‎Bureau de la revue. Octobre 1954. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 352 à 526.. . . . Classification Dewey : 80-Recueils généraux‎

‎Sommaire : Justice pénale - Justice et société par Albert Béguin, Les personnages - Ces messieurs de la cour par Irène allier, La justice telle qu'elle se rend, Journal d'un juge par Rabi, Un coin du voile par Léon Durand, Une erreur judiciaire par Louis Casamayor Classification Dewey : 80-Recueils généraux‎

‎Esprit N°219 : JUSTICE PENALE : Justice Société ( Albert Béguin ) // LES PERSONNAGES : Ces messieurs de la Cour ( Irène Allier ) - Les auxiliaires de la justice, Experts, Avocats ( René Héricotte, un Mercenaire, J.M théolleyre, Claude Aubertin ) // LA JUSTICE TELLE QU'ELLE SE REND : Journal d'un juge ( Rabi ) - Un coin du voile ( Léon Durand ) - Une erreur judiciaire ( Louis CAsamayor ) - Justice et publicité ( Kniaz Inka ) // PERSPECTIVES : La défense sociale ( Yvonne MArx ) - Le Droit ( Jean LAcroix ) - L'esprit de la réforme ( Louis CAsamayor ) // JOURNAL A PLUSIEURS VOIX : Le suicide de Vargas - Les choix de Mendès-France - Les catholiques et le gouvernement - Théâtre à Paris - CHRONIQUES : Août 54 en Tunisie ( Ch. E. Ravussin ) ‎

‎ 1954 N° 219 - Octobre 1954 - Vingt-deuxième année - In-8 broché - pp. 353-526‎

‎ Assez bon état ‎

‎L'Affaire Lally-Tolendal. Une erreur judiciaire au XVIIIe siècle. Le Journal d'un Juge. (Thèse).‎

‎ Klincksieck, 1976, gr. in-8°, 494 pp, 8 pl. de portraits et fac-similés hors texte, une carte dépliante hors texte, biblio, broché, couv. illustrée, bon état, envoi a.s.‎

‎"L'édition pour le grand public de cette thèse de doctorat suit, dans le détail, toute l'affaire Lally-Tolendal, depuis le départ du comte aux Indes (1757) jusqu'au procès de Dijon (1783). Il fallait un bouc émissaire à la perte des Indes : ce fut Lally, Irlandais jacobite passé au service de la France. Le procès de condamnation, instruit par le parlement de Paris et le conseiller Pasquier, aboutit à l'ignominieuse décollation du 25 mai 1766. Douze ans plus tard, la ténacité du fils de la victime et de ses alliés (dont Voltaire) amène la cassation du procès par le conseil d'Etat privé de Louis XVI et son renvoi devant le parlement de Rouen qui, galvanisé par la contre-attaque du parlementaire parisien Duval d'Eprémesnil, confirme la condamnation (1780). Nouvelle cassation en conseil du roi et itérative condamnation par le parlement de Dijon. C'est sur ce dernier épisode que l'ouvrage apporte le plus, car il utilise une source non encore exploitée, le journal que le conseiller dijonnais Jean-Baptiste Bouthier de Rochefort tint tout au long de 46 séances totalisant 151 heures. Alors que les conseillers bourguignons, dont Bouthier, penchaient pour blanchir Lally, les présidents, principalement Joly de Brévy, se firent un devoir de défendre, quelques années après l'orage Maupeou, la solidarité parlementaire ; ils emportèrent la décision. C'est tout le système judiciaire de l'Ancien Régime qui se trouve éclairé. Plus encore, l'ambiguïté politique parlementaire est dévoilée : car le coryphée du camp «anti-lallyste » est le d'Eprémesnil que Louis XVI fit arrêter en plein parlement en novembre 1787. Pour l'honneur du parlement de Dijon, tous les conseillers, lors de l'affaire Lally, ne s'appelaient pas d'Eprémesnil !" (Claude Michaud, Dix-Huitième Siècle, 1978) ‎