‎STERN RICHARD‎
‎LES FILLES DES AUTRES.‎

‎EDITIONS 10/18 N° 2389. 1995. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Mouillures. 266 pages. Couverture illustrée en couleur.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎

Reference : RO90002389
ISBN : 2264016183


‎"Traduit de l'Américain par Georges-Michel Sarotte.Série ""Domaine étranger"" dirigée par Jean Claude Zylberstein. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne"‎

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5 book(s) with the same title

‎Stern Richard‎

Reference : 100061167

(1993)

ISBN : 9782264016188

‎Les filles des autres‎

‎10 1993 267 pages 11x18x2cm. 1993. Poche. 267 pages.‎


‎couverture défraîchie intérieur propre‎

Un Autre Monde - Val Couoesnon

Phone number : 07.69.73.87.31

EUR4.00 (€4.00 )

‎FEIJOO (Benito Jerónimo), ISLA (José Francisco de), LA CRUZ CANO Y OLMEDILLA (Ramon de), FERNANDEZ DE MORATIN (Leandro).‎

Reference : 20575

‎Sommets de la littérature espagnole [du douzième au dix-neuvième siècle] - [Tome] X [XVIIIè siècle] - Défense ou Eloge des femmes - L'Enfance de Frère Géronde [de Campazas] - La Vie de garçon [et autres saynètes] - Le Oui des jeunes filles.‎

‎Lausanne, Editions Rencontre, "Sommets de la littérature espagnole", 1962 1 volume 12 x 17,7cm Cartonnage éditeur skivertex rouge; dos imitant une reliure ancienne, avec ornements dorés et 2 "bandes de titre" noires ("Le Siècle de Goya" et "Le Oui des jeunes filles"). 590p., 1 feuillet. Bon état. ‎


‎11è des 12 volumes de la série, consacré au XVIIIè siècle et réunissant "Défense ou éloge des femmes" (traduction de "Defensa de la mujer" par Jean de FERRERAS), extrait du "Teatro critico universal, o discursos varios en todo genero de materias, para desengaño de errores communes" (1726-1741), recueil du bénédictin Benito Geronimo FEIJOO, essayiste et critique littéraire (1676-1764); "L'Enfance de frère Géronde de Campazas", traduction, par F. CARDINI, de la 1ère partie de la "Historia del famoso predicador Fray Gerundio de Campazas, alias Zotes", roman satirique du jésuite José Francisco de ISLA, théologien et philosophe (1703-1781) qui en publia en 1758 une 1re partie qui fut interdite par le Conseil de l'Inquisition, et une 2nde clandestinement en 1768; "La Vie de garçon" et 14 "autres saynètes" tirées du "Teatro o colección de los saynetes" de Ramón de LA CRUZ CANO Y OLMEDILLA (1731-1794), traduites par Antoine de LATOUR; "Le Oui des jeunes filles" (traduction de "El Sí de las niñas" par G.-A. MONTAGNE), comédie en 3 actes, en prose, composée en 1805 par le dramaturge Leandro FERNANDEZ DE MORATIN (1760-1828); textes précédés d'une présentation de Georges HALDAS (1917-2010) et José HERRERA PETERE (1909-1977). [Une préface générale de Jean Cassou annoncée ne figurait que dans le 1er volume). ‎

Librairie Paroles - Avignon

Phone number : 06 09 18 58 78

EUR7.00 (€7.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO20200383

‎"LES ""FILLES VICTIMES DES HOMMES"" - MOISSONS NOUVELLES - N°27 - N° SPECIAL - adolescentes en proie aux hommes, des filles parmi tant d'autres, la prostitution signe de decadence, les souteneurs..."‎

‎IMP. DU VIVARAIS. NON DATE. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Agraffes rouillées, Intérieur frais. 88 pages - quelques photos en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire: adolescentes en proie aux hommes, des filles parmi tant d'autres, la prostitution signe de decadence, les souteneurs... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Collectif‎

Reference : R110655136

(1955)

‎Le patriote illustré n° 52 - L'énigmatique Dr John, Le duel Mendes-France - Edgar Faure, Une heure au nouveau musée de la dynastie, Le roi inaugure le pont de Tamise, La chaire d'argent, Aidez vous les uns les autres ou l'aventure de trois jeunes filles‎

‎Bureau du journal. 25 décembre 1955. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1657 à 1688. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 940-Histoire générale de l'Europe‎


‎Sommaire : L'énigmatique Dr John, Le duel Mendes-France - Edgar Faure, Une heure au nouveau musée de la dynastie, Le roi inaugure le pont de Tamise, La chaire d'argent, Aidez vous les uns les autres ou l'aventure de trois jeunes filles infirmes Classification Dewey : 940-Histoire générale de l'Europe‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

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