Editions du Périgord Noir. 1947. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 87 pages. Papier non coupé.. . . . Classification Dewey : 846-Lettres, correspondance littéraire
Reference : RO80260586
Classification Dewey : 846-Lettres, correspondance littéraire
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Editions du Périgord Noir, Editions du Périgord Noir(1947) ; in-12, broché. 87 pp., 2 ff., 2 ff. blancs.Tirage à 500 exemplaires numérotés. C’est grâce à Alcide Dusolier que le romancier périgourdin E. Le Roy (Jacquou le Croquant) a connu l’audience du grand public.DUSOLIER (Alcide)Ce Périgourdin né à Nontron (Dordogne) le 22 septembre 1836 était le fils d’un homme politique, député sous Louis-Philippe, commissaire de la République, représentant du peuple et membre du corps législatif. A sa sortie du séminaire de Pons, le jeune Alcide vint à Paris à l’âge d e18 ans pour y faire son droit. Ses premiers essais littéraires parurent dans une éphémère feuille d’étudiants, la Voix des écoles. A peine drapé de sa robe d’avocat il quitta à jamais le barreau et se fit journaliste. Sous son nom véritable, mais aussi sous divers pseudonymes (Etienne Maurice ou Jean de la Martille) il collabora avec un grand sens artistique à l’Artiste, au Figaro, au Monde illustré, à la Revue européenne, à la Revue fantaisiste, au Nain Jaune, etc.Poulet-Malassis publia son premier livre. En 1862, il édita également une plaquette adressée à Delvau.En septembre 1870, Dusolier devint sous-préfet de sa cité natale, avant de s’attacher comme secrétaire de Gambetta à Tours et à Bordeaux. Il fut battu lors des élections législatives de 1877, mais élu en 1881. Il siégea sur les bancs de l’Union Républicaine jusqu’en 1885 date à laquelle il fut élu sénateur de la Dordogne. Il mourut à Saint-Sulpice de Mareuil en 1918. Fidèle en amitié, Alcide Dusolier n’a pas oublié Malassis lorsque celui-ci fut dans la détresse. Au lendemain du procès du 22 avril 1863 Dusolier s’en inquiétera auprès de Champfleury.