Garnier Frères. 1859. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 411 pages. Titre doré au dos.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Reference : RO80255052
Appréciation tirée des causeries du lundi par M. Sainte-Beuve. Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
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Garnier frères 1859 In-18 demi-chagrin brun 18 cm sur 12, dos à nerfs orné de fleurons dorés. XX-411 pages. Bon exemplaire
Excellente édition collective qui rassemble les cinq pièces successives, parues de 1773 à 1774, et dans lesquelles Beaumarchais se défend contre l’accusation de corruption lancée contre lui par le conseiller Goëzman. Ce personnage était le juge de l’affaire qui opposait le dramaturge au comte de la Blache, héritier du fameux financier Pâris-Duverney, pour une dette contestée de 15000 livres. Bon état d’occasion
in-8 broché - 1974 - 431p - Ed. Nagel
bon état
P., Garnier Frères, 1859, in-12, xx-411 pp, reliure demi-chagrin noir, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés, tranches pennées (rel. de l'époque), bon état
Le 17 juillet 1770, le financier Pâris-Duverney meurt et les dispositions qu'il a prises dans son testament en faveur de Beaumarchais sont contestées par le comte de La Blache, son légataire universel. Un procès s'ensuit et les biens de Beaumarchais sont finalement saisis lorsqu'en 1773 il publie à propos des agissements du rapporteur à son procès, le juge Goëzman, quatre mémoires dont l'esprit et la dialectique ont un retentissement considérable et font condamner le juge, le 26 février 1774. Ces mémoires singuliers sont encore le plus beau titre littéraire de leur auteur ; ils l'environnèrent d'une réputation bruyante qui alarma Voltaire lui-même, jaloux de toute espèce de gloire et lui concilièrent je ne sais quelle faveur publique, dont il tira plus de force que de considération, mais qui n'en préparèrent pas moins le succés de tous ses ouvrages. (Michaud).
Nouvelle édition collationnée avec le plus grand soin sur les éditions originales et précédée d'une appréciation tirée des causeries du lundi par Sainte-Beuve. Le 17 juillet 1770, le financier Pâris-Duverney meurt et les dispositions qu'il a prises dans son testament en faveur de Beaumarchais sont contestées par le comte de La Blache, son légataire universel. Un procès s'ensuit et les biens de Beaumarchais sont finalement saisis lorsqu'en 1773 il publie à propos des agissements du rapporteur à son procès, le juge Goëzman, quatre mémoires dont l'esprit et la dialectique ont un retentissement considérable et font condamner le juge, le 26 février 1774. Ces mémoires singuliers sont encore le plus beau titre littéraire de leur auteur ; ils l'environnèrent d'une réputation bruyante qui alarma Voltaire lui-même, jaloux de toute espèce de gloire et lui concilièrent je ne sais quelle faveur publique, dont il tira plus de force que de considération, mais qui n'en préparèrent pas moins le succès de tous ses ouvrages. (Michaud) volume in8, 180x100, relié demi cuir, frottements, bel état intérieur, frais, 451pp. Paris, Garnier frères, 1878 ref/207
Paris, Garnier frères, 1873 in-12, XX-411 pp., demi-chagrin marine, dos à nerfs orné (reliure de l'époque). Bon exemplaire.
Excellente édition collective qui rassemble les cinq pièces successives, parues de 1773 à 1774, et dans lesquelles Beaumarchais se défend contre l'accusation de corruption lancée contre lui par le conseiller Goëzman. Ce personnage était le juge de l'affaire qui opposait le dramaturge au comte de la Blache, héritier du fameux financier Pâris-Duverney, pour une dette contestée de 15000 livres. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT