‎Ophuls Max & Collectif‎
‎Le plaisir‎

‎Théorie des sentimens agréables. où, après avoir indiqué les règles que la nature suit dans la distribution du plaisir, on établit les principes de la théologie naturelle, & ceux de la philosophie morale [Cinquième édition, augmentée de l'Eloge historique de l'auteur, de deux discours qu'il a prononcés à Reims, & de l'explication qu'il a donnée d'un monument antique, découvert dans la même ville]‎

‎Paris, Debure père, 1774 in-8, [4] ff. n. ch., pp. ix-xxxij, 352 pp., [2] ff. n. ch. de privilège, avec un frontispice allégorique et 4 vignettes en-tête gravés par J. Robert d'après de Sève, ainsi que deux planches archéologiques dépliantes "in fine", veau fauve marbré, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, pièce de titre cerise, simple filet doré sur les coupes, tranches rouges (reliure de l'époque). ‎

‎Edition définitive, bien complète de l'ajout archéologique (sur un mausolé exhumé à Reims en 1738). La première sortie de ce texte vit le jour en 1736 dans un recueil de divers écrits sur l'amour et l'amitié, sous le titre de Réflexions sur les sentimens agréables, et c'est encore sous ce titre que Jean-Vincent de Capéronnier de Gauffrecourt ou Gauffécourt (1692-1766), parent ou ami de l'auteur et de ses frères, en donna une édition particulière in-8 sur ses presses privées de Monbrillant (près de Genève) en 1748, limitée, dit-on, à 21 exemplaires. L'édition parisienne de la même année 1748 forme donc la première séparée et diffusée. S'ensuivirent de nombreuses rééditions.Le sujet en est formé par une réflexion sensualiste sur la conduite de l'homme non seulement par sa rationalité, mais aussi par les voies du sentiment et de l'instinct orientées vers la reconnaissance du plaisir et de la douleur. Cioranescu, XVIII, 40222. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Les Contemporaines.. On trouvera dans les trois volumes : une note de l'éditeur qui explique les raisons de cette publication ; des extraits d'un article du Journal de Neuchâtel qui fit tant plaisir à Restif ; les titres des nouvelles contenues dans les trois volumes ; et ensuite : le fac-similé qui donnera au lecteur le plaisir de découvrir cet ouvrage tel que les contemporains de Restif l'ont lu‎

‎Paris, Éditions Les Yeux ouverts, 1962 3 vol. in-12, 292 pp. ; 227 pp. ; 259 pp., avec reproduction des estampes de Binet correspondant aux nouvelles retenues, brochés dans emboîtage cartonné illustré (reliure de l'éditeur). ‎

‎Il s'agit d'un choix de 18 nouvelles parmi les 42 qui composent cette oeuvre foisonnante.Rives Childs, XXII (pp. 256-276), pour l'originale. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎La Théorie du plaisir.‎

‎Editions Allia Paris 1994 In-8 ( 220 X 140 mn ) de 253 pages, broché sous couverture imprimée. Edition établie et commenté par Giorgio PANIZZA, précédé de Le plaisir et l'art du bonheur par Adriano TILGHER, traduit de l'italien par Joel GAYRAUD. Bel exemplaire.‎

‎L'Oeuvre de John Cleland. Mémoires de Fanny Hill, Femme de Plaisir. Avec des documents sur la vie à Londres au XVIIIe siècle et notamment la Vie galante d'après les Sérails de Londres. Introduction et essai bibliographique par GUILLAUME APOLLINAIRE. Ouvra‎

‎Paris, Bibliothèque des Curieux, Les Maîtres de l'Amour, 1932, in-8°., Broché, 268 pages. Très bon état. L'Oeuvre de John Cleland. Mémoires de Fanny Hill, Femme de Plaisir. Avec des documents sur la vie à Londres au XVIIIe siècle et notamment la Vie galante d'après les Sérails de Londres. Introduction et essai bibliographique par GUILLAUME APOLLINAIRE. Ouvrage orné de 65 compositions d'après William Hogarth. Introduction suivi d'un essai bibliographique. ‎

‎Plaisir au temps de la Renaissance,‎

‎Turnhout, Brepols, 2011 Paperback, 192 p., 5 b/w ill., 15,6 x 23,4. ISBN 9782503532479.‎

‎Le Plaisir est-il le Bien ? La Renaissance reprend a son compte cette question debattue depuis le Philebe et le livre X de l' Ethique a Nicomaque. Au XVe siecle, Lorenzo Valla, dans son dialogue Sur le Plaisir de 1430 tranche dans le sens d'une identification entre le plaisir et le Bien suivi un siecle plus tard par Erasme qui n'hesite pas dans l'Epicurien (1533) d'assimiler le Christ a Epicure. Et Montaigne dans sa critique du stoicisme stigmatise le danger des vertus immoderees qui excluent le plaisir. Le probleme que posait Platon de la possibilite d?un faux plaisir a nouveau fascine les esprits. Et si le plaisir pense, imagine, reve pouvait reveiller les sens, toucher le corps ? Et si les barrieres s?effacaient entre le corps et l?ame ? Rehabiliter le plaisir, c?est pouvoir assumer sa part d?ombre, le deplaisir, refuser l?abstraction de leur dissociation. Accepter le plaisir, c?est accepter la mort. C?est l?une des lecons paradoxales de Peines d?Amour Perdues que la pensee baroque ne cessera d?illustrer. La Renaissance reste vigilante, comme l?avaient ete les periodes precedentes, car il est un plaisir auquel il ne convient pas de laisser libre cours : le bon plaisir du monarque absolutiste. Languages : English, French.‎