Société Française d'Imprimerie et de Librairie. Non daté. In-8. Cartonnage d'éditeurs. Etat d'usage, Coins frottés, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 91 pages. Nombreuses illustrations monochromes hors texte. Etiquette de prix scolaire sur la première page de garde, datée de 1937.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : RO80250479
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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AUX BUREAUX DU JOURNAL. 7 Décembre 1895. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 8 à 16 pages, paginé de 805 à 824 .Illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc dans le texte et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
Journal hebdomadaire. Sommaire : Alexandre Dumas fils sur son lit de mort. Aux funérailles d'Alexandre Dumas fils. Portrait d'Alexandre Dumas fils enfant, peint par Louis Boulanger. Alexandre Dumas fils - Sept portraits à différents ages. Une lettre d'Alexandre Dumas fils à J.-J Weiss, fac similé exécuté d'après la lettre original communiqué par M. le prince Georges Stirbey. La villa d'Alexandre Dumas Fils à Marly-le-roi. Ancienne habitation d'Alexandre Dumas Fils, avenue de Villiers. Le dernier volume d'Alexandre Dumas fils - Ilka, illustré par Marold. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
FONSEGRIVE, George (pseudo Yves LE QUERDEC, Philosophe et romancier, Saint-Capraise-de-Lalinde, 19 octobre 1852, Paris, mars 1917, Militant du catholicisme social) - Directeur depuis 1896, après le fondateur de La Quinzaine ( 1894) par Paul Harel E. FAGUET - J.-P. HEUZEY - E. BUISSON - C. EGREMONT - J. LIONNET - L. FELIX-FAURE - G. BABIN - P. PHILIPPON - E. de SAINT-AUBAN - Baron de BELCASTEL - Abbé L. Follioley - G. LE POITTEVIN - P. LORQUET - G. AUBRAY - P. THIRION - M. TURMANN - MERVEILLEUX du VIGNAUX - E. DUTHOIT - P. LORQUET - P. LORQUET - J. GUIBERT - L. ARNOULD - A. COQUARD - L. OLLE-LAPRUNE - L. FLANDRIN - V. GIRAUD - M. BLONDEL - H. JOLY - L. BOUR - Baron J. ANGOT des ROTOURS - H. SIENKIEWICZ - J. de BUSCA - A. BARTHE - A. LAIR - E. FARJENEL - G. AUDIAT - J. LIONNETM. BARRES - R.P. BREMOND - E. VEUILLOT - P. SOUDAY - H. WELSCHINGER - M. SANGNIER-LACHAUD - M. SALOMON - V. GLACHANT - P. BAUGAS - A. PRAT - P. RENAUDIN - J. LEFEVRE - L. LABERTHONNIERE - Ch-.M. des GRANGES - G. SYVETON - J. J.-B. PIOLET, S.J..
Reference : 25806
PARIS, Revue In-8 - Broché - 6 è Année - N° 130 du 16 Mars 1900 au 13 du 1 Août 1900 - Pagination145 à 584,584 pages & 428 pages - quelques mouillures - Exemplaires non coupés
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Flammarion, 1961, in-12, 426 pp, broché, bon état. Edition originale, un des 315 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches, tirage de tête, celui-ci un des 30 ex. numérotés de I à XXX (n° XXV), enrichi d'un envoi a.s. "Pour ..., avec mon affection reconnaissante. Paris, la veille de mon départ pour Bangkok, 21.X.61"
Les Fils de la Lumière est un roman de Roger Peyrefitte portant sur la franc-maçonnerie et ses rapports avec l'Église. Georges de Sarre a dit adieu au monde des Ambassades et abandonné sa particule en même temps que la diplomatie pour devenir écrivain. Si quelques fils gris argentent ses tempes, il a gardé le goût de mordre à la vie à belles dents et de ne refuser aucune expérience. Aussi, après les premiers étonnements, écoute-t-il le mentor de ses jeunes années, le père de Trennes, qui voudrait le voir devenir franc-maçon. Pourquoi cette surprise, c'est que la franc-maçonnerie ne passe pas pour être en odeur de sainteté auprès des autorités ecclésiastiques. Georges connaissait quelques-uns des préjugés qui s'attachent à cette société secrète ; il en étudie, guidé par l'élégant jésuite, les arcanes et la puissance. Comme son amie Françoise s'oppose à ses projets et que la fille de Françoise, l'acide et vive Osmonde, s'y intéresse, cela lui est l'occasion de rompre des lances en faveur de ces « fils de la lumière » qui défendent la fraternité universelle sous le symbole de l'équerre et de la truelle – et de brosser un de ces tableaux où se mêlent ombres et lumières auxquels excelle le talent satirique de Roger Peyrefitte. — Dans ce roman, Roger Peyrefitte fait intervenir Charles Hernu sous les traits du député radical Leblond, maçon des deux obédiences principales de l'époque, la Grande Loge de France et le Grand Orient de France, l'une acceptant l'idée d'une transcendance, l'autre plutôt laïque, même laïcarde diraient certains. À cet égard, il faut noter la cérémonie d'adoption de ses fils, les deux Jean (jumeaux) et l'aîné (Patrice) dans la loge des Stuarts de Saint-Germain-en-Laye où Charles Hernu a précisément résidé. Notamment « Patrice » Leblond (alias Patrice Hernu), ainsi adopté à l'âge de sept ans, se retrouvera dès 1970 aux côtés de Fred Zeller, Grand Maître du Grand Orient de France (également peintre proche des surréalistes et ex-secrétaire pour l'Europe de Léon Trotsky), pour tenter de créer une maçonnerie d'ateliers républicains. On le retrouvera plus tard à la GLNF, une obédience « croyante » dans la loge créée par Yves Trestournel, alors assistant député grand-maître de la GLNF, un ancien jésuite et inspirateur de la doctrine qui est à l'origine du développement de la GLNF. Yves Tristournel fut bloqué dans son ascension par les instances anglaises lui reprochant son origine jésuite. Il est l'interlocuteur « du Charles », George Leblond (Hernu), dans le livre de Roger Peyrefitte. Leurs discussions, relatées dans le détail, visent à renouer les liens entre l'Église et la maçonnerie et dissoudre tout doute sur la prétendue excommunication de ses membres. Bien après la parution du roman, en 1999, Yves Tristournel présidera à la création (en fait un réallumage) d'une loge de « commémoration » à laquelle est confiée l'objectif de penser la franc-maçonnerie du troisième millénaire, en fait en conformité avec l'esprit d'universalité qui présidèrent à ces échanges. Assez curieusement, le fils Hernu fut appelé à en tenir le maillet des destinées par la suite. Quant à l'intrigue, laquelle sous-tend ce document d'archives sur le radicalisme et à ses manœuvres pour conduire l'Église – l'histoire de la gauche montrera avec quel succès – à faire cause commune avec la tradition humaniste malgré les démêlés de la Troisième République, elle raconte une seconde histoire, plus proche du vécu de Roger Peyrefitte. Georges de Sarre a dit adieu au monde des Ambassades. Il a abandonné sa particule en même temps que la diplomatie pour devenir écrivain. Si quelques fils gris argentent ses tempes, il a gardé le goût de mordre à la vie à belles dents et de ne refuser aucune expérience. Aussi, après les premiers étonnements, écoute-t-il le mentor de ses jeunes années, le père de Trennes (le fameux Yves Tristournel dans la réalité, lequel a gravi la plupart des échelons de la franc-maçonnerie dite régulière – reconnue par la Grande Loge Unie d'Angleterre, elle-même sous la gouverne de l'archevêque de Canterburry et de la Couronne Royale-), qui voudrait le voir devenir franc-maçon. Pourquoi cette surprise ? C'est que la franc-maçonnerie ne passe pas pour être en odeur de sainteté auprès des autorités ecclésiastiques. Georges (Charles Hernu) connaissait quelques-uns des préjugés qui s'attachent à cette société secrète; il en étudie, guidé par l'élégant jésuite, les arcanes et la puissance...
Londres, 25 novembre 1796. 3 pp. in-4 (22,8 x 18,2 cm) sur une feuille double, en français.
Le remplacement du gérant de l’habitation Mérot à Saint-Domingue. Originaire de Nantes, la famille Mérot possédait une habitation-sucrerie au Boucassin, dans la paroisse de l’Arcahaye, au nord de Port-au-Prince. Au moment de la Révolution, une partie de la famille émigra en Angleterre et continua à suivre les affaires de Saint-Domingue par l’intermédiaire de la maison Simond, Hankey et fils, de Londres, auteur de la présente lettre. Il est d’abord question du courrier reçu et envoyé, d’un crédit non encore utilisé, d’un « paquet » en provenance de Saint-Domingue et qui n’est pas arrivé, du départ du général britannique Simcoe, des renforts attendus (3 000 hommes) et de la guerre que l’Espagne veut déclarer au Portugal. Viennent ensuite les nouvelles de l’habitation : « [On] vient de recevoir à l’instant lettre […] annonçant que […] Mr Guy de Mareil gérant votre habitation est décédé dans la nuit du 28 au 29 août dernier avant que la fièvre dont il étoit attaqué lui ait laissé le tems de consommer ses dispositions en faveur de Mr Goyon des Murlières. [Cependant] après un mûr entretien avec notre ami commun [celui-ci] pense que Mr de La Tullaye major des vaisseaux & à son défaut Mr de La Tullaye lieutenant des vaisseaux frère du susdit, méritent votre confiance entière, ils avoient celle de leur famille ainsi que de Mr Drouet général des finances, qui habitoit souvent la Ville-au-Blanc, mais dont l’habitation à Léogane est au pouvoir des brigands ; ils sont à la tête de l’artillerie à St Domingue, jouissent de la réputation & du crédit le plus distingué, sont vos concitoyens nantais & sûrement capables de tenir une place de confiance dont dépend le bonheur de votre famille respectable… ». Une procuration va être envoyée à Mérot qui devra la remplir et la retourner à Simond, Hankey et fils ; il devra aussi donner des instructions précisant que son nouveau gérant aura pour correspondant la maison E.J. Guieu Bion & Cie, négociants à Port-au-Prince. Le destinataire de la lettre est probablement Jean Mérot (1754-1843), qui confia la gestion de ses biens à Saint-Domingue à la famille de La Tullaye. Il était le frère de François Mérot du Barré (1761-1843), dont l’un des fils, Edouard, naquit à Londres en 1796. Rentré en France en 1802, François devint alors entreposeur des tabacs et poudres à Nantes (source : Archives départementales de Loire-Atlantique). La maison Simond, Hankey et fils (ou Simond, Hankey et Cie) était une banque nouvellement créée qui accordait de nombreux crédits aux réfugiés des Antilles. Cf. Chevalier (G.A.), Debien (G.), Dermigny (L.) et al., Les Papiers privés de l’Amérique française (suite et fin), in « Revue d’histoire de l’Amérique française », 1953, 7 (2), p. 279.
0 1 lettre autographe d'une page signée par Alexandre Dumas Fils, papier filigrané original Stair's Mill. feuillet double de format in 8: 200x125mm. Tettre relative à la Comédie française. Ce document original est présenté à plat sur un montage ancien du début du XXème siècle, la lettre est collée au verso par un fin onglet posé le long de l'extrémité de la marge inférieure et sur un feuillet de beau papier vergé fort (format: 250x325mm). Alexandre Dumas fils, fils naturel d'Alexandre Dumas, auteur de la Dame aux camélias
Très bon Pas de couverture Signé par l'auteur