Albums du père castor flammarion. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Environ 40 pages illustrées en couleurs (pas de texte) .Exemplaire de bibliothèque recouvert d'un film transparent. Etiquette sur le premier plat et au dos. Tampon sur certaines pages. Range fichette sur la dernière page.. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
Reference : RO80231723
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Précieux et magnifique exemplaire, très grand de marges (hauteur 157 mm) conservé dans son maroquin rouge de l’époque. A Paris, Imprimerie Antoine-Urbain Coustelier, 1723. 1 volume petit in-8 de (3) ff., 184 pp., (2) ff. Plein maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, dos à nerfs finement orné de même, filet or sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure de l’époque. 157 x 98 mm.
Première édition complète. L’exemplaire relié en maroquin strictement de l’époque des Œuvres de Guillaume Coquillart (1452-1510), lecteur de François Villon dont Jean-Paul Barbier écrit à propos d’une édition rare : « Un des volumes poétiques les plus précieux qui soient ». « Guillaume Coquillart brode avec une verve très débridée et nous a tracé ainsi un tableau de la vie bourgeoise et galante de son temps qui est riche en caricatures alertement dessinées. Coquillart a visiblement imité Villon et lui a pris les caractères les plus extérieurs de son style ». « Auteur comique important dans sa jeunesse, Guillaume Coquillart mourut en 1510, personnage considérable et considéré de Reims. Son œuvre théâtrale même semblerait avoir ajouté à son autorité. La production de Guillaume Coquillart valut à son auteur la renommée auprès du public et des écrivains. Ainsi est-il cité par Clément Marot aux côtés de Villon, Jean Molinet et Jean Le Maire. Autre preuve, peut-être, de cette influence : la composition des Droits nouveaulx establis sur les femmes, imitation des Droitz nouveaulx. » Guillaume Coquillart descend d’une famille versée dans le droit, occupée des affaires municipales (d’autres Coquillart figurent dans les archives de la ville) qui compte, avec son père, un traducteur, poète à l’occasion. Il naquit vers 1452. En 1477, il est reçu bachelier en droit canon à Paris. C’est dans ces années d’études qu’il convient de situer la plus grande partie de son œuvre, une œuvre de théâtre comique surtout. Le Plaidoié et l’Enqueste d’entre la Simple et la Rusee sont les deux parties d’un même procès parodique, dont l’enjeu est un jeune homme, le Mignon, que se disputent deux femmes. Ces deux pièces furent écrites pour le carnaval de 1478 et 1479. De la même veine sont les Droitz nouveaulx (1480). Il ne s’agit plus d’un texte dramatique, mais d’un divertissement. Usant d’un code scabreux, l’auteur y résout des cas parfois proches de ceux des Arrêts d’amour de Martial d’Auvergne. C’est à la même période (vers 1480) qu’appartient le Monologue Coquillard ou de la botte de foin. Cette fois, il n’y a pas de procès et aucun comique d’inspiration juridique. Un jeune amoureux vantard et élégant vient débiter sur scène sa déconvenue : le mari de sa maîtresse rentré à l’improviste, il a dû passer la nuit au grenier, caché sous une botte de foin. Il est considéré comme l’inventeur du monologue théâtral. La critique moderne s’intéresse beaucoup à Coquillart, ainsi qu’en témoignent les essais suivants : . Balsamo, Jean, « Galliot du Pré, éditeur de Guillaume Coquillart », Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), éd. Jean-Frédéric Chevalier, Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, pp. 95-112. . Bernard, J.-M., « Guillaume Coquillard, la poésie bourgeoise au XVe siècle », Revue critique des idées et des livres, 22, pp.429-442. . Chevalier, Jean-Frédéric, éd., Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, 197 pp. . Dérens, Jean, La vie et les œuvres de Guillaume Coquillart, diplôme d'archiviste paléographe, École nationale des chartes, Paris, 1967. - Résumé dans Positions des thèses de l'École des chartes, 1967, pp. 17-20. Thèse consultable aux Archives nationales à Paris sous la cote AB XXVIII 408. . d'Héricault, C., « Un poète bourgeois au XVe siècle, Guillaume Coquillart », Revue des Deux- Mondes, 7, pp. 970-1000; 8, pp. 508-537. . Freeman, Michael, « Guillaume Coquillart ou l'envers de la sagesse », Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), éd. Jean-Frédéric Chevalier, Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, pp. 11-26. . Koopmans, Jelle, « Esthétique du monologue : l'art de Coquillart et compagnie », Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), éd. Jean-Frédéric Chevalier, Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, pp. 27-44, etc… Cette édition est la plus correcte de toutes celles qui aient été faires des œuvres de Coquillart. (Viollet-le-Duc). Précieux et magnifique exemplaire, très grand de marges (hauteur 157 mm) conservé dans son maroquin rouge de l’époque.
Edition originale rare représentant les «Instrumens Aratoires inventés, perfectionnés, dessinés et gravés par Charles Guillaume» sous l’empire et la restauration. Paris, Imprimerie de Madame Huzard, Janvier 1821. In-folio oblong de (28) pp. et 12 planches numérotées. Rares rousseurs sur les planches. Plein maroquin vert à grain long, plats ornés d’une dentelle droite en encadrement, armes au centre surmontant la mention frappée en lettres d’or «Atlas d’Instruments Aratoires», dos lisse orné, roulette intérieure et sur les coupes, tranches dorées. Reliure armoriée de l’époque. 275 mm. x 417 mm.
Edition originale rare représentant les «Instrumens Aratoires inventés, perfectionnés, dessinés et gravés par Charles Guillaume» sous l’empire et la restauration. La mise au point de sa «Charrue à la Guillaume» améliora la productivité agricole française à la veille de la révolution industrielle et permit par là même le premier exode rural qui fournit les ouvriers de l’industrie nationale. «Cet ouvrage, que M. Guillaume dédie à MM. les cultivateurs, est le fruit de son amour pour le premier et le plus utile des arts, et de son zèle ardent pour sa prospérité. Fils de cultivateur, il résolut de se consacrer entièrement au perfectionnement des instrumens aratoires connus, et à l’invention de quelques autres dont il sentit le besoin et l’utilité pour l’agriculture. Il présenta au concours de la Société central d’Agriculture du département de la Seine, une charrue qu’il avait perfectionnée dans toutes ses parties, et particulièrement en ce qui regarde le soc, le versoir et la ligne de tirage. Le 5 avril 1807, cette charrue fut couronnée, et la Société décerna à son auteur une médaille d’or et un prix de 3000 francs. Cet instrument fut considéré principalement sous le rapport le plus important, le ligne de tirage, comme le meilleur non seulement de ceux qui avaient été envoyés au concours, mais encore de tous ceux qui avaient été connus et mis en usage jusqu’à ce jour. Depuis, on en a parlé avec distinction, dans plusieurs ouvrages, sous le nom de charrue à la Guillaume. Dans cet ouvrage, il a réuni la collection de toutes les machines et outils qu’il a inventés dans le seul but de contribuer à rendre la culture des terres plus parfaites, plus économique, plus facile, et conséquemment plus agréable. Il a cherché par tout à joindre la solidité à la simplicité.» Le volume, orné de 12 estampes à pleine page, décrit la Charrue à la Guillaume, celle dite «Tourne-oreille», «l’Araire perfectionnée, la Houe à Cheval, la Charrue à deux et quatre raies, le Ratissoire de jardinier, la Herse triangulaire, l’Extirpateur, le Scarificateur, le Brise-Mottes, la Hache paille, le Ratissoire à cheval, le Coupe-Racines, le Moulin à bras, la batterie à battre toutes sortes de grains, le rouleau cannelé pour battre le bled». Exemplaire imprimé sur grand papier vélin relié en maroquin vert de l’époque aux armes du Tsar Alexandre Ier, Paulowitz, petit-fils de Catherine II, empereur de toutes les Russies, né en 1777, mort en décembre 1825 à Taganroy.
( Bandes Dessinées ) - Guillaume Sorel - Charles Lutwidge Dodgson dit Lewis Carroll - Henri Parisot.
Reference : 8942
(2014)
Editions Toth / Editions Rue de Sèvres 2014. In-4 cartonnage éditeur de 128 pages au format 29,5 x 23,5 cm. Couverture illustrée. Dos carré. Plats et intérieur frais. Voilà le texte original de Lewis Carroll, traduit par Henri Parisot, illustré par Guillaume Sorel, avec sa version d'Alice, imaginée auparavant dans le recueil d’illustrations Univers fantastiques. Dossier graphique en fin d'ouvrage avec illustrations et croquis inédits. Tirage unique à 220 exemplaires numérotés et signés par Guillaume Sorel. Edition originale en état de neuf. Epuisé
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Editions Toth 2005. In-4 cartonnage éditeur, pleine toile bordeaux, de 128 pages au format 24,5 x 24,5 cm. Couverture avec illustration inédite collée et gravage à chaud de la signature de Guillaume Sorel. Dos carré avec titre. Plats et intérieur frais. Contient une interview exclusive de Guillaume Sorel, sa bibliographie détaillée et plus de 150 illustrations en grande majorité inédites, présentant la totalité des illustrations réalisées pour des couvertures de romans principalement chez Denoël, Mnémos et Fleuve Noir ( Edgar Poe, Michael Moorcock, Anne Rice, Fritz Leiber, Roger Zelazny, Dan Simmons, Ray Bradburry, Thomas Day,…) ainsi que quelques unes réalisées pour des magazines, comme Cassus Belli ou Bifrost. On trouve aussi toutes les propositions alternatives faites aux éditeurs pour ces mêmes projets, et de nombreux dessins inédits, toujours en rapport avec la littérature…Tirage de luxe à 199 exemplaires numérotés et signés par Guillaume Sorel, enrichi d'un ex-libris inédit et d'un portofolio contenant huit illustrations inédites représentant de " fausses " couvertures des romans préférés du dessinateur. Ces 2 bonus sontaussi numérotés et signés. Rare édition originale, épuisée, en état de neuf, scellée sous blister.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Reference : LCS-18408
Exemplaire d’une grande pureté conservé dans sa reliure en vélin d’origine à recouvrement, condition rare. Imprimé sur la copie faite à Poitiers, 1585. Petit in-12 de (16) ff., 790 pp. Vélin souple à recouvrement, dos lisse avec le titre en tête, traces de liens. Reliure de l’époque. 115 x 77 mm.
Seconde édition très rare de ce célèbre recueil de conversations et de veillées, «dont les interlocuteurs sont bien les élèves de Rabelais». Tchemerzine, I, 924; Rahir, Bibliothèque de l’amateur, p. 338; Bibliothèque de Backer, 1926, n° 517. Cette collection de discours et digressions de soirées («sérées»), faite de discours érudits et pittoresques tenus à Poitiers dans la maison de Guillaume Bouchet, fut publié pour la première fois en 1584. Riche libraire-éditeur de Poitiers, Guillaume Bouchet (1513-1594), joyeux vivant et causeur subtil, conçut à la fin de sa vie cet ouvrage réunissant les propos de table souvent grivois ou licencieux des bons bourgeois et intellectuels de la ville, occupant leurs soirées ou «serées». Guillaume Bouchet, ami de Jacques du Fouilloux, appartenait au petit groupe de poètes poitevins formé vers le milieu du XVIe siècle autour de Jean Bastier de la Péruse et de Jacques Tahureau. Il fut lu par Montaigne dont il tenta de s’inspirer. La publication de deux autres volumes suivra en 1597 et 1598. Cet ouvrage est un recueil de contes de veillées, d'anecdotes, de bons mots, classés par sujet et qui sont censés reproduire les conversations tenues après le dîner par un cercle de bourgeois auquel appartenait l'auteur. Cette sorte de littérature eut un grand succès au Moyen Âge et pendant toute la Renaissance: qu'on songe, par exemple, aux Propos rustiques de Noël du Faïl. Les propos sont souvent gaillards, parfois savants, Bouchet tenant à montrer une érudition qui sent parfois la pédanterie. L'intérêt de l'ouvrage, qui est surtout d'ordre historique, réside dans la peinture vivante et animée de la bourgeoisie marchande de province. «Je regarde ce livre comme un des plus curieux de cette espèce perdue» dit Viollet le Duc. Bouchet se livre à un commentaire dialogué, sérieux et facétieux, qui n’exclut pas les traits gaillards et obscènes: ‘les discours libres, fort plaisants, & gaillards contenus en iceluy, se ressentent encore de l’ancienne preud’homie du bon vieux temps…’ Et Brunet de remarquer : «Un de ces livres remplis d’obscénités grossières, et de quolibets qu’on est convenu d’appeler facétieux, quoiqu’ils ne soient rien moins que plaisans. On les recherche beaucoup, et il est difficile d’en trouver des exemplaires bien conservés». Les Essais de Montaigne: “The practitioners of the late sixteenth-century form of the ‘conte’, the ‘discours bigarrés’ or hybrid form of tale and discourse clearly counted Montaigne in their number, as they cite the ‘Essais’ and take up the same topics […]. One point in common between the authors of the ‘discours bigarrés’ or the ‘propos de table’, where conversation and anecdotes play off against one another is the ‘ordo neglectus’, the loose structure piecing discourse to narration, argument to illustration that we find in the ‘fricassee’ of Montaigne’s ‘Essais’, the ‘Sérées’ of Guillaume Bouchet, and the ‘Bigarrures du Seigneur des Accords’ of Etienne Tabourot. Jeanneret is quick to point out, however, that although Montaigne owned a copy of Bouchet’s work, and Bouchet borrowed unabashedly from Montaigne, Bouchet recreates entire passages from great Greek and Latin works, while Montaigne selects, reflects, and sets himself apart from his sources” (Deborah Losse, Montaigne and Brief Narration Form: Shaping the Essay). Véritable panorama satirique et moral de la société de son temps, ce recueil constitue également une source philologique et historique que Viollet-le-Duc et Charles Nodier et considéraient comme «le répertoire le plus complet (...) depuis qu'il existe des conteurs et des écrivains qui trouvent plaisir à recueillir des contes». Les “Sérées” renferment également plusieurs notes relatives à l’Amérique, telle la rencontre au Brésil entre un marchand français et un «sauvage Ameriquain», de même que des remarques sur les danses indiennes, l’usage du tabac, etc. Exemplaire d’une grande pureté conservé dans sa reliure en vélin d’origine à recouvrement, condition rare.