‎COLLECTIF‎
‎Votre mémoire et vous‎

‎INSTITUT IPSEN. Non daté. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Plaquette de 12 pages, illustrées de dessins en couleurs.. . . . Classification Dewey : 150-Psychologie‎

Reference : RO80155386


‎ Classification Dewey : 150-Psychologie‎

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‎ASSOCIATION COMMUNAUTAIRE POUR UNE CULTURE ENRACIN‎

Reference : RO30144566

‎DEPLIANT :EN ENTREPRENANT LA QUETE DE LA PLUS LONGUE MEMOIRE, C EST VOTRE IDENTITE QUE VOUS VOUS REAPPROPRIEZ‎

‎TERRE ET PEUPLE. Non daté. In-8. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 1 depliant en 3 voletsaugmentees d illustrations en couleur dans le texte - non date. . . . Classification Dewey : 909-Civilisation‎


‎ Classification Dewey : 909-Civilisation‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎Collectif‎

Reference : R110392369

(1952)

‎Noir et blanc n° 369 - A bout de souffrance, madame auriez vous abattu Don Juan par H.G., Dans tignes qui meurt par Gérard Deville, Le roman de l'or par François Guillaume, Pour améliorer votre mémoire retenez ceci, Le tailleur unifie sa ligne‎

‎Bureau du journal. 19 mars 1952. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 177 à 192. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎ Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎BOURRELY, Marius‎

Reference : 63977

(1841)

‎[ 3 lettres autographes signées adressées à Melchior Barthès : ] 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]‎

‎3 L.A.S. adressées à Melchior Barthès, à savoir : 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]‎


‎3 très belles lettres autographes signées adressées par l'écrivain d'expression provençale et majoral du Félibre Marius Bourrely (1820-1896) à son confrère le poète occitan de Pons-de-Thomières, Melchior Barthès (1818-1886). Ces lettres sont d'autant plus remarquables que Marius Bourrely fut le préfacier des "Flouretos" de Berthet, et qu'il s'y exprime sur les difficultés rencontrées dans la publication de la littérature occitane, et s'y justifie de sa traduction en provençal des "Contes" de La Fontaine.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR375.00 (€375.00 )

‎[De l'Imprimerie D'Everat] - ‎ ‎DUPIN ; MARECHALE BRUNE ; [ VEUVE du MARECHAL BRUNE, Angélique ]‎

Reference : 66581

(1819)

‎Requête de Mme la Maréchale Brune au Roi [ Edition originale ] "Sire, …Un horrible attentat a été commis sous le règne de Votre Majesté. Un des grands officiers de la Couronne, un Maréchal de France, a été lâchement assassiné ; et, depuis près de quatre ans, ce crime, si public, si notoire, si révoltant, n'a pas été puni […] Pourquoi, à l'insu de Votre Majesté, dans son propre palais, la mort du Maréchal a-t-elle reçu une sorte de ratification ? On a craint apparemment que son image resté dans le salon des Maréchaux ne vous rappelât le forfait, et qu'en traversant cette salle pour aller prier Dieu qui protège la France, il ne vous vint à l'esprit de faire punir les coupables…. [ ... ] Je demande justice, Sire : Justice du meurtre de mon époux ; Justice de l'outrage fait à son cadavre ; Justice de l'insulte faite à sa mémoire par ceux qui ont osé l'accuser de suicide [... ]"‎

‎1 brochure in-4, De l'Imprimerie D'Everat, rue du Cadran [ Paris ], s.d. [ 1819 ], 12 pp.Requête de Mme la Maréchale Brune au Roi [ Edition originale ] "Sire, …Un horrible attentat a été commis sous le règne de Votre Majesté. Un des grands officiers de la Couronne, un Maréchal de France, a été lâchement assassiné ; et, depuis près de quatre ans, ce crime, si public, si notoire, si révoltant, n'a pas été puni […] Pourquoi, à l'insu de Votre Majesté, dans son propre palais, la mort du Maréchal a-t-elle reçu une sorte de ratification ? On a craint apparemment que son image resté dans le salon des Maréchaux ne vous rappelât le forfait, et qu'en traversant cette salle pour aller prier Dieu qui protège la France, il ne vous vint à l'esprit de faire punir les coupables…. [ ... ] Je demande justice, Sire : Justice du meurtre de mon époux ; Justice de l'outrage fait à son cadavre ; Justice de l'insulte faite à sa mémoire par ceux qui ont osé l'accuser de suicide [... ]"‎


‎Le Maréchal Brune avait été tué par la foule à Avignon le 2 août 1815, mais la presse repris l'hypothèse infâmante du suicide. Son épouse, défendue par le célèbre avocat Dupin, obtint du roi le droit de poursuivre les assassins, la reconnaissance que le maréchal n'avait pas porté la tête de la princesse de Lamballe comme on l'en accusait injustement et le retour de son portrait parmi la galerie des Maréchaux de l'Empire. Etat très satisfaisant (dos et couv. frottés avec petites mouill., bon état par ailleurs). ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR150.00 (€150.00 )

‎Hadol, Paul ‎

Reference : 25484

‎UNE LEÇON D'HISTOIRE. Nous l'avons eu votre Rhin Allemand. Si vous oubliez votre Histoire, Vos jeunes filles sûrement, Ont mieux gardé notre mémoire. / Elles nous ont versé votre petit vin blanc.- Lithographie ‎

‎ Le Charivari, trente-cinquième année, samedi 8 septembre 1866- Lithographie - Hauteur: 43.5cmx Largeur: 31cm - Trait carré : Hauteur: 22.3cmx Largeur: 19.3cm- 1 feuillet (4 pages) ; illustration page 3 - Au-dessus de l'image, au centre : "ACTUALITÉS", et à droite : "167." ; signé dans l'image en bas à droite : "HADOL", sous l'image à gauche : "A.de Vresse, R. Rivoli, 55." et à droite : "LITH DESTOUCHES Rue Paradis Pre" ; au-dessous, au centre : "UNE LEÇON D'HISTOIRE. / Nous l'avons eu votre Rhin Allemand. / Si vous oubliez votre Histoire, / Vos jeunes filles sûrement, / Ont mieux gardé notre mémoire. / Elles nous ont versé votre petit vin blanc. (A. de Musset)" -- texte imprime au dos,bon etat.‎


Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

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