IMP. DE MONTSOURIS - COLLECTION PRINTEMPS N°296. Non daté. In-16. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Mouillures. 96 pages. Quelques illustrations en noir et blanc, hors-texte. Couvertures illustrées en couleurs.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : RO80125071
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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L'Ancre de Marine Editions l'Ancre de Marine, 1988, 230 p., broché, de menus frottements d'usage en bordure de couverture, bon état pour le reste et intérieur bien propre.
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Saint-Malo, Editions Cristel, 2009, in-4 rel. cart. oblong ( 29,5 x 23,5), 125 p., nombreuses ill. photos, dessins, bon état.
Tous les marins l'appelaient le Victor. C'était le dernier terre-neuvas. Jusqu'en 1992, ce chalutier-usine malouin perpétua la tradition de la Grande Pêche sur les Bancs de Terre-Neuve. Bateau mythique, il devint l'inoubliable héros de la Guerre de la morue. Il fut ensuite transformé en musée à Lorient, avant d'être récemment démantelé. Très documenté, émouvant, ce beau livre témoigne de cette formidable aventure. Grâce à des photographies originales, souvent prises par les pêcheurs eux-mêmes, il raconte le Grand Métier, les mers mauvaises, les pièges de la banquise, la lumière irréelle des eaux glacées et les jours sans fin : toute la vie rude de ces hommes courageux, authentiques. Tous les marins l'appelaient le Victor. C'était le dernier terre-neuvas. Jusqu'en 1992, ce chalutier-usine malouin perpétua la tradition de la Grande Pêche sur les Bancs de Terre-Neuve. Bateau mythique, il devint l'inoubliable héros de la Guerre de la morue. Il fut ensuite transformé en musée à Lorient, avant d'être récemment démantelé. Très documenté, émouvant, ce beau livre témoigne de cette formidable aventure. Grâce à des photographies originales, souvent prises par les pêcheurs eux-mêmes, il raconte le Grand Métier, les mers mauvaises, les pièges de la banquise, la lumière irréelle des eaux glacées et les jours sans fin : toute la vie rude de ces hommes courageux, authentiques.
Reference : 400026510
Sans date. Simenon: Œuvres complètes III: Au rendez-vous des Terre-Neuvas. / Rencontre . Simenon: Œuvres complètes III: Au rendez-vous des Terre-Neuvas. / Rencontre
Bon état
Ouest-France, 1997, in-4 br. (19,5 x 25,5), 127 p., préface de Jean Recher, abondante iconographie, couverture à rabats, nom manuscrit en page de garde, bon état.
L'histoire de la pêche à la morue dans l'économie de plusieurs régions du littoral français, les conditions de vie des pêcheurs français qui partaient vers les eaux froides de Terre-Neuve (Canada) ou d'Islande, l'évolution des techniques et méthodes de cette pêche commerciale, au cours des cinq derniers siècles. Pendant plusieurs siècles, la pêche à la morue a tenu une place essentielle dans l'économie de plusieurs régions de notre littoral. Chaque année, en février ou en mars, des milliers de pêcheurs partaient en direction de Terre-Neuve ou de l'Islande pour de longues campagnes, vers les mers froides et dangereuses, où la menace de mort était permanente. A bord des morutiers ou sur les "graves" de Terre-Neuve, les cadences de travail étaient infernales et la vie quotidienne des plus pénibles. En dépit de ces souffrances et malgré les successions de désastres, armateurs et capitaines n'avaient aucune difficulté à recruter des équipages. Parce que la motivation des matelots, dont beaucoup étaient des ruraux, était simple : il s'agissait ni plus ni moins que d'échapper à la misère. Voir le sommaire sur photos jointes.
Ouest-France, 1997, in-4 br. (19,5 x 25,5), 127 p., préface de Jean Recher, abondante iconographie, couverture à rabats, bon état (on joint une carte postale "Le déchargement des chalutiers à Fécamp")
L'histoire de la pêche à la morue dans l'économie de plusieurs régions du littoral français, les conditions de vie des pêcheurs français qui partaient vers les eaux froides de Terre-Neuve (Canada) ou d'Islande, l'évolution des techniques et méthodes de cette pêche commerciale, au cours des cinq derniers siècles. Pendant plusieurs siècles, la pêche à la morue a tenu une place essentielle dans l'économie de plusieurs régions de notre littoral. Chaque année, en février ou en mars, des milliers de pêcheurs partaient en direction de Terre-Neuve ou de l'Islande pour de longues campagnes, vers les mers froides et dangereuses, où la menace de mort était permanente. A bord des morutiers ou sur les "graves" de Terre-Neuve, les cadences de travail étaient infernales et la vie quotidienne des plus pénibles. En dépit de ces souffrances et malgré les successions de désastres, armateurs et capitaines n'avaient aucune difficulté à recruter des équipages. Parce que la motivation des matelots, dont beaucoup étaient des ruraux, était simple : il s'agissait ni plus ni moins que d'échapper à la misère. Voir le sommaire sur photos jointes.