CALMANN-LEVY. 1913. In-12. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 358 pages. Reliure de bibliothèque : étiquette de code sur la coiffe en-tête et tampons sur la page de titre.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
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Paris, Pierre Rocolet, Veuve Damien Foucault, 1680. In-4 de (12)-306 pp., (1) f. d’errata, 13 planches hors texte dont 10 dépliantes et 4 figures gravées dans le texte, veau brun, dos orné à nerfs (reliure de l'époque).
Édition originale illustrée par l'auteur Joseph-Guillaume Grelot de treize plans et vues de Constantinople « qui passent pour être fort exacts. C’est Grelot qui a dessiné les figures du voyage de Chardin » (Brunet). Ce dernier, qui se rendait en Perse, lui proposa alors de l'accompagner. Grelot le suivit lors de ses explorations, relevant avec minutie sites, monuments, costumes et cérémonies des pays qu'ils visitèrent. Après s'être brouillé avec Chardin, il revint à Paris en 1676. Les planches qui illustrent son récit ont été gravées d'après ses dessins et représentent, entre autres, deux vues panoramiques de Constantinople ainsi que des vues de Sainte-Sophie. « Grelot was the first to prepare detailed plans of St. Sophia and other monuments in Constantinople » (Blackmer). Provenance : Albert Tissandier (ex-libris) dessinateur, illustrateur, aérostatier et grand voyageur, 1839-1906. Dos de la reliure discrètement restauré, rature.Brunet, II, 1733 ; Atabey, 527 ; Blackmer, 750 ; Destailleur, 1521.
A Lyon, par les Héritiers de Benoist Rigaud, 1600. Le Second livre de Primaléon de Grèce, fils de Palmerin d'Olive Empereur de Constantinople, auquel les faicts héroïques et merveilleuses amour d'iceluy sont proprement dépeintes, et naïvement exprimées par une histoire autant belle, profitable et exemplaire, comme elle est plaisante et agréable. Mis en françois par Gabriel Chappuis. A Lyon, par Benoist Rigaud, 1588. Le Troisième livre de Primaléon de Grèce, fils de Palmerin d'Olive Empereur de Constantinople. Auquel les faits héroïques, mariages et merveilleuses amours d'iceluy, sont tant bien déduites et exprimées, que le Lecteur, outre le profit, n'en peut recueillir sinon plaisir et contentement. A Lyon, par Benoist Rigaud, 1587. Le Quatriesme livre de Primaléon de Grèce, fils de Palmerin d'Olive Empereur de Constantinople. Auquel les faits héroïques et les merveilleuses amours du Prince Darinel, yssu du sang de Primaleon de Grèce, et celles de la belle Richarde de Paris, sont proprement dépeinctes, et naïvement exprimées, avec occurences belles, gentilles, et agréables sur toutes autres semblables subjets. Lyon, par les héritiers de Benoist Rigaud, 1597. 4 vol. in-16 de (10)-404-(10) ff. le dernier blanc ; 442-(4) pp. ; 420 pp. (mal chiffrées 426) 10 pp. 1 f. blanc ; 595-(12) pp., maroquin citron, dos ornés à nerfs, pièces de titre et de tomaison en maroquin brun, triple filet doré d'encadrement sur les plats, filets sur les coupes, dentelle intérieure, tranches dorées (reliure du XVIIIe siècle).
Précieuse réunion d'éditions lyonnaises formant la série complète de ce célèbre roman de chevalerie, chef d'oeuvre du genre, qui constitua longtemps un modèle.Provenance : Ex-libris Bibliothèque de S.E.M. le Comte François Potocki (1788-1853), dont la bibliothèque se trouve en grande partie au château d'Oron. Les livres qui la composent ont été achetés au moment de leur parution par Hélène Massalska (1763-1815). Élevée à Paris au couvent de l'Abbaye-aux-Bois, elle épouse le prince Charles de Ligne, puis le comte Vincent Potocki. Lectrice passionnée de romans, elle recevait de divers libraires de Paris, de Moscou ou de Saint-Pétersbourg toutes les nouveautés. Un inventaire dressé par elle-même vers la fin de sa vie indique 20.000 volumes de romans et 20.000 volumes précieux. Après son décès, ses héritiers (sa fille Sidonie de Ligne et François Potocki) rapportèrent la bibliothèque dans leur château. C'est là qu'Adolphe Gaiffe, propriétaire d'Oron depuis 1870, en fit l'acquisition.Très bel exemplaire relié en maroquin au XVIIIe siècle.Baudrier III, 454, 408, 399, 450.
Précieux exemplaire relié à l’époque pour le Baron de Longepierre, orné de l'emblème de la Toison d'Or. Paris, Imprimerie Royale, 1717.2 tomes en 2 volumes in-4 de : I/ (9) ff., 544 pp., 83 planches à pleine page, 4 planches sur double-page, tache brune p. 467, mouillure en marge des pp. 529 à 535 ; II/ (2) ff., 526 pp., (20) ff., 63 planches à pleine page et 1 planche sur double-page. Reliés en plein veau marbré, triple filet doré, emblème de la Toison d’Or au centre et aux angles des plats, dos à nerfs ornés du même emblème répété dans les caissons, pièces de titre et de tomaison de maroquin olive, double filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées sur marbrures. Reliure de l’époque.254 x 190 mm.
Édition originale du « plus intéressant voyage sur le Levant » (Chadenat, 195) imprimée sur les presses royales du Château du Louvre.Cette édition ornée de « nombreuses gravures, plans, vues, costumes, figures d’histoire naturelle, etc., est la plus recherchée et la plus belle de ce curieux voyage ». (Chadenat).Pritzel, 321.Joseph Pitton de Tournefort, célèbre botaniste français (1656-1708) fut présenté à Louis XIV en 1700, et reçut alors de ce prince l’ordre de se rendre dans le Levant avec le dessinateur Aubriet et le médecin Gundelsheimer pour y remplir une mission scientifique. De 1700 à 1702, il visita successivement Candie, l’Archipel, Constantinople, la côte méridionale de la mer Noire, l’Arménie, la Géorgie, le mont Arurat, l’Asie Mineure, Angora, Pruse, Smyrne, Éphèse, envoya à Paris, des lieux qu’il visitait, des produits zoologiques, botaniques, minéralogiques, s’occupa en même temps d’étudier les antiquités, les mœurs, les coutumes, les productions commerciales, et fut nommé, à son retour, professeur de médecine au Collège de France.La ‘Relation d’un voyage au Levant’, écrite sous forme de lettres, se lit avec beaucoup d’intérêt et contient une foule de détails extrêmement curieux sur Candie, sur Constantinople, sur les mœurs et les coutumes des Turcs, etc. La partie sur la Géorgie est d’autant plus intéressante qu’alors ce pays n’était connu que par les récits déjà vieux de Chardin et de Della-Valle. Le ton du récit en est simple et agréable ; Tournefort y déploie une vaste érudition sans jamais ennuyer.L’abondante illustration se compose de 151 planches gravées en taille-douce, dont 5 doubles, dessinées par Claude Aubriet.Parmi celles-ci, 101 sont consacrées aux vues de villes, paysages, costumes, animaux, mollusques,… et 50 aux plantes.Le nombre de planches semble varier d’un exemplaire à l’autre, fluctuant de 150 à 152 gravures.Précieux exemplaire relié en veau de l’époque pour le baron de Longepierre (1659-1721), orné de l’emblème de la Toison d’Or.Hilaire-Bernard de Roquelyne, baron de Longepierre naquit à Dijon au mois d’octobre 1659 et mourut à Paris le 31 mars 1721.Le Baron de Longepierre était un savant helléniste et auteur dramatique, précepteur du comte de Toulouse et du duc de Chartres, homme de confiance du Régent et ami des Noailles. Considéré comme l’un des bibliophiles les plus raffinés de son temps, son goût strict et épuré rompt avec celui de son époque.« Fils d’un maître des comptes, Longepierre fut un de ces petits prodiges qui, à l’âge où l’on joue aux quilles, étonnent le monde par leur précocité et qui plus tard ne font que de médiocres individualités. Il se distingua tellement de ses condisciples dans ses études classiques que Baillet le plaça parmi les ‘Enfants célèbres’. Il composa plusieurs tragédies qui toutes, à l’exception de Médée, eurent une fin tragique. Peu habitué au succès, quoique noble, celui de sa ‘Médée’ l’enfla au point qu’il ne voulut avoir d’autre signe héraldique sur ses livres que la ‘Toison d’or’, afin de porter jusqu’à ses derniers neveux le souvenir d’un fait aussi rare.L’amour des livres contribua peut-être plus à sa notoriété que ses pièces de théâtre.L’auteur dramatique est presque oublié aujourd’hui, tandis que le bibliophile est resté en grande réputation parmi les amateurs.Ses volumes, reliés avec goût, sont tous ornés de la ‘Toison d’or’ aux angles et sur les plats. » (Guigard, Armorial du bibliophile, p. 73).
Paris, Challamel Ainé, 1872, , in-12 de (4), X, 495 et (3) pages, exemplaire broché (bas du premier mors fendu), Première édition de cette mission catholique de la "caravane française", pèlerinage pieux à travers le nord de l'Afrique jusqu'à Constantinople. Rocquigny Du Fayel effectua son voyage en bateau, en chemin de fer, en barque, à cheval et en caravane. Il visita Alexandrie, Le Caire, Suez, Port Saïd, Jaffa, Jérusalem, Naplouse, Nazareth, le mont Thabor, Tibériade et ses environs, le mont Carmel, Saint Jean d'Acre, Tyr, Saïda, Beyrouth, Damas, Rhodes, Smyrne et Constantinople. Sur la page de titre, l'ex-libris de "M. Henri de France. Chev[alier] du S[aint] Sépulcre". Quelques rousseurs Couverture rigide
Bon in-12 de (4), X, 495 et (3)
, Brepols, 2020 Paperback, xiv + 231 pages, Size:156 x 234 mm, Languages: English, Greek. ISBN 9782503584485.
Summary Traditional representations of Constantinople during the period from the First Council of Constantinople (381) to the Council of Chalcedon (451) portray a see that was undergoing exponential growth in episcopal authority and increasing in its confidence to assert supremacy over the churches of the east as well as to challenge Rome's authority in the west. Central to this assessment are two canons - canon 3 of 381 and canon 28 of 451 - which have for centuries been read as confirmation of Constantinople's ecclesiastical ambition and evidence for its growth in status. However, through close consideration of the political, episcopal, theological, and demographic characteristics unique to early Constantinople, this book argues that the city's later significance as the centre of eastern Christianity and foil to Rome has served to conceal deep institutional weaknesses that severely inhibited Constantinople's early ecclesiastical development. By unpicking teleological approaches to Constantinople's early history and deconstructing narratives synonymous with the city's later Byzantine legacy, this book offers an alternative reading of this crucial seventy-year period. It demonstrates that early Constantinople's bishops not only lacked the institutional stability to lay claim to geo-ecclesiastical leadership but that canon 3 and canon 28, rather than being indicative of Constantinople's rising episcopal strength, were in fact attempts to address deeply destructive internal weaknesses that had plagued the city's early episcopal and political institutions.