LEMERRE Alphonse. 1907. In-12. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 319 pages. Reliure de bibliothèque : étiquette de code sur la coiffe en-tête et tampons sur la page de titre et dans quelques marges.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : RO80113866
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Paris, Ernest Flammarion 1912 In-12 18,5 x 12 cm. Broché, couverture beige, auteurs & titre en noir sur le dos et le premier plat de couverture orné du portrait de Aimée Tessandier, 300 pp., 4 planches hors texte, table des matières. Exemplaire en bon état.
Actrice française, Aimée Tessandier (1853-1923) reprit L'Arlésienne qui n'eut pas moins de 500 représentations. À la fin de sa carrière, elle tourna dans quelques films. Ses” Souvenirs”, sont recueillis et rédigés par Henri Fescourt (1880-1966), d’abord journaliste, puis réalisateur, entre 1912 et 1942, de nombreux films, entre autres : une version des Misérables (1925, avec Gabriel Gabrio en Jean Valjean). Bon état d’occasion
Editions Tallandier 1982 1982. Doris Faber: Adieux à la bien-aimée/ Editions Tallandier Arc-en-Ciel 1982 . Doris Faber: Adieux à la bien-aimée/ Editions Tallandier Arc-en-Ciel 1982
Très bon état
Editions de l'Olivier 2013 2013. Aimee Bender: La singulière tristesse du gâteau au citron/ Editions de L'Olivier 2013 Référence: LMA16W. Aimee Bender: La singulière tristesse du gâteau au citron/ Editions de L'Olivier 2013
Comme neuf
Sans date. Frank G. Slaughter: Noirs sont les cheveux de ma bien-aimée/ Presses de la Cité . Frank G. Slaughter: Noirs sont les cheveux de ma bien-aimée/ Presses de la Cité
Bon état
Varsovie 27 novembre [1807], 18,6x23cm, Trois pages sur une double feuille.
"ce nouveau bienfait de mon souverain ne pouvoit venir plus à propos" Lettre autographe signée du maréchal Davout, alors gouverneur général de Pologne, adressée à son épouse Aimée Leclerc,belle-soeur de Pauline Bonaparte. Trois pages à l'encre noire sur une double feuille, avec son adresse autographe au verso, ainsi que le tampon de la Grande Armée, et un cachet de cire brisé, armorié au chiffre « LD » sur grand manteau et bâtons de Maréchal sous couronne. Déchirures dues à l'ouverture avec atteinte à deux mots de la troisième page. Après l'éclatante victoire personnelle de Davout à Auerstaedt, les batailles de Iéna, d'Eylau et de Friedland qui mettent fin à la guerre contre la quatrième coalition, Davout récolte les fruits de sa réussite. Couvert d'honneurs et de bienfaits par l'Empereur, iljouit de ses vastes terres en tant que nouveau gouverneur général de la Pologne. Bénéficiant de la générosité de Napoléon qui fait de lui le maréchal le plus doté de l'Empire, Davout a l'intention d'acquérir l'hôtel de Monaco rue Saint-Dominiquejusque là occupé par l'ambassadeur de la Sublime Porte : "Tu as dû recevoir déjà les 300.000 F que l'empereur me fai[t] donner précisément pour faire l'acquisition d'un hôtel à Paris. Ainsi ce nouveau bienfait de mon souverain ne pouvoit venir plus à propos". Il en confie l'achat et l'aménagement à sa chère épouse Aimée Leclerc : "je m'en repose sur ma petite Aimée pour cette acquisition, je çais, qu'elle partage mes goûts [...]Je le trouverai d'autant plus beau que ce sera ma chère Aimée qui l'aura embelli et qui en aura fait une des plus belles habitations des environs de Paris". Disposant de pas moins de 18% des territoires polonais repris à la Prusse, Davout lui écrit vouloir vendre un moulin qui faisait partie de l'antienne principauté de Lowicz, à l'ouest de Varsovie, afin de couvir les dépenses de son achat parisien.Profitant également de l'inaliénabilité attachée aux donations de l'Empereur, Davout compte protéger le château de sa femme à Savigny sur Orge en employant les fonds donnés par l'Empereur pour en payer les dettes. "Je viens de recevoir ta lettre de Savigny. Celle que tu m'annonces m'avoir écrit la veille ne m'est point parvenue ma chère amie, ainsi tes craintes se sont réalisées et le commissionnaire l'aura perdue. Tu me dis que si mon projet étoit d'acheter un hôtel le moment seroit assez favorable. Tu as dû recevoir déjà les 300.000 F que l'empereur me fait[t] donner précisément pour faire l'acquisition d'un hôtel à Paris. Ainsi ce nouveau bienfait de mon souverain ne pouvoit venir plus à propos ; je m'en repose sur ma petite Aimée pour cette acquisition, je çais, qu'elle partage mes goûts et qu'elle donnera la préférence à un hôtel propre qui n'exigera pas une grande représentation à un autre qui en exigerait une. Nous passerons certainement la plus grande partie de notre tems à ton Savigny [leur château, à Savigny-sur-Orge, dans l'actuel département de l'Essonne]. Je le trouverai d'autant plus beau que ce sera ma chère Aimée qui l'aura embelli et qui en aura fait une des plus belles habitations des environs de Paris. Je désire vivement voir terminer l'agraire du moulin je compte et j'en regarde la vente comme à peu près certaine. Ces 106.000F deveront peut être employé[s] suivant les intentions de l'empereur pour faire partie du fief. Ton intention est-elle que devant 540.000F sur Savigny on emploie les fonds qui provienderont de la principauté de Lowicz à payer [cette] somme ? Dans cette supposition, Savigny ferait partie du fief et ne pourroit jamais être aliéné. Cependant à la jalousie que montre déjà notre Joséphine serait bien allarmant [sic] si son extrême jeunesse et les joies et peurs que tu prendrais de la guérir de ce défaut ne me donnerait pas la certitude qu'elle en serait totalement guérie. Auparavant le [...] deviendrait lorsqu'elle prendrait d'autant plus sa petite soeur favorite qui paraît que celle-ci aura l'avantage de la beauté. J'envoie mille caresses à mes deux petites et mille et mille baisers à leur excellente et belle Maman. Tout à toi pour la vie. ton bon mari. LDavout" - Photos sur www.Edition-originale.com -