NRC ( Nouvelle Revue Critique). 1937. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 285 pages. 1er plat de couverture brochée, conservé. Ouvrage de bibliothèque : étiquette de code sur la coiffe en-tête et tampons sur la page de titre et dans quelques marges.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Reference : RO80112389
Souvenirs de Guerre. Traduction de Henri Thies. Bibliothèque d'Histoire politique, militaire et navale. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
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P., Editions de la Nouvelle Revue Critique, 1937, in-8°, 285 pp, traduit de l'anglais, reliure demi-basane mordorée, dos à 5 nerfs soulignés à froid, pièce de titre carmin, couv. conservées (rel. de l'époque), un mors lég. abîmé, bon état
Second volume des Souvenirs de guerre. D. Lloyd George qui présida aux destinées de la Grande-Bretagne victorieuse et qui fut peut-être le principal artisan de son triomphe, dans ses deux volumes de souvenirs de guerre Les heures décisives et La Victoire, nous dépeint d'une façon frappante ses angoisses et ses scrupules. Il nous permet de mesurer la multiplicité des obligations majeures incombant à une grande puissance engagée dans une guerre titanesque, la tâche immense imposée à l'homme d'État dont le rôle n'est pas seulement de décider et d'agir, mais plus encore de prévoir, de comprendre et de composer. Aménager les ressources nationales, répartir les efforts, vaincre les résistances des groupes et des partis, convaincre les masses, sans cependant ne rien négliger qui puisse accroître le potentiel de guerre du pays et de ses Alliés. Calmer les alarmes sans tomber dans l'optimisme de commande, soutenir moralement et matériellement les chefs militaires tout en délimitant avec soin le champ de leurs activités : labeur incessant, tâche épuisante dont la seule récompense sera le plus souvent l'amertume de la critique injustifiée et l'oubli des services rendus. Si, dans l'action, le Premier ministre britannique a su montrer, au cours de ces dures années de guerre, la prudence obligée, il n'en a pas moins gardé son franc-parler de Gallois. Il dépeint avec vivacité ses luttes contre l'opposition parlementaire et militaire. Sa critique est acerbe, passionnée même, et le lecteur ne pourra s'empêcher détablir un parallèle entre D. Lloyd George et Clemenceau.