ALCAN Félix. 14ème édition. 1912. In-18. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 223 + 10 pages. Etiquette sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 370-Education
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Exemplaire de présent royal. Paris, Panckoucke, Hôtel de Thou, 1779-1780. 4 tomes reliés en 5 volumes in-8. Plein maroquin citron, somptueuse dentelle dorée aux oiseaux et à la lyre autour des plats, dos lisses ornés du fer aux oiseaux, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge et vert, filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Superbes reliures parisiennes de l’époque attribuables à Derôme le Jeune réalisées selon les instructions de l’auteure. 200 x 128 mm.
Exemplaire de présent royal. Édition originale de la première œuvre d’éducation moderne tournée vers le vrai, le réel et le beau de l’une des femmes de lettres les plus célèbres du XVIIIe siècle, à laquelle la « Biographie universelle » de Michaud ne consacre pas moins de 23 pages in-folio. Barbier, IV, 686 ; Solleinne, Bibliothèque dramatique, II, 2254. « Le ‘Théâtre à l’usage des Jeunes personnes’ fut célébré dans l’Europe entière ; l’œuvre fut traduite immédiatement en Russie et en Allemagne. Madame de Genlis reçut les félicitations de plusieurs souverains européens et de l’ensemble de gens de lettres, avec une mention particulière pour les éloges appuyés de D’Alembert, Marmontel et Fréron. La marquise de Saint-Aubin, mère de madame de Genlis (1746-1830), eut l’habileté de s’introduire dans les salons des grands financiers du temps, où sa fille se fit remarquer par son talent de harpiste. Ce furent ses concerts qui remirent à la mode cet instrument, qu’on avait cru oublié depuis la Renaissance. Quatre fois par semaine, la mère et la fille se rendaient à des dîners à l’issue desquels Félicité de Genlis donnait son récital. Par l’entremise de sa tante, la marquise de Montesson, Félicité de Genlis rencontra Charles-Alexis Brûlart, comte de Genlis, filleul et héritier d’un ancien ministre d’État, Louis Philogène Brûlart de Sillery, marquis de Puisieulx, colonel des Grenadiers, qui devint par la suite marquis de Sillery. Félicité qui cherchait un mari aisé et bien portant sauta sur l’occasion. Les jeunes gens se marièrent en 1763 mais monsieur de Genlis n’interférera jamais dans les ambitions sociales de sa femme. Grâce à sa position dans la société, la comtesse de Genlis fut présentée à la Cour deux ans après son mariage. En 1772, elle accepte d’être dame d’honneur de la duchesse de Chartres. Grâce à sa culture, à son charme, à ses talents musicaux, le ton va changer au Palais-Royal. Elle règne dans ce milieu, habile à diriger et à organiser. En 1776, elle voyage en Italie avec la duchesse de Chartres. Sur le chemin du retour, Ferney, pour une visite à Voltaire. En août 1777, elle s’installe dans un pavillon que contient l’enclos du couvent des dames de Bellechasse. Elle va se consacrer à l’éducation des enfants du duc de Chartres, une éducation fondée sur des idées libérales. On s’est étonné qu’elle se retire ainsi du monde. En réalité, elle trouvait dans cette retraite une plus grande tranquillité et surtout elle se soustrayait aux ragots de la Cour. Elle recevait d’ailleurs beaucoup : Buffon, Marmontel, Rulhière, Bernardin de Saint-Pierre, La Harpe, parfois d’Alembert. Et naturellement le duc d’Orléans, le duc de Chartres, Lauzun. Le duc de Chartres la nomma « gouverneur » de ses enfants, au nombre desquels le futur Louis-Philippe, roi des Français, qui lui voua toute sa vie une adoration. L’ensemble de ces princes et princesses la préférèrent d’ailleurs toujours à leur propre mère. Félicité de Genlis se fit connaître par ses principes sur l’éducation des jeunes gens et notamment par son célèbre « Théâtre à l’usage des jeunes gens » imprimé en 1779-1780. Elle rencontra Rousseau et Voltaire et fut l’amie de Charles-Pierre Claret de Fleurieu, de Bernardin de Saint-Pierre, de Talleyrand, de Juliette Récamier, et composa une œuvre riche de quelque cent quarante volumes. Son premier essai ‘Théâtre à l’usage des jeunes personnes’ reçut les éloges de Marmontel, d’Alembert et Fréron. De 1789 à 1791, elle tient un salon, que fréquente le duc d’Orléans, où se retrouvent Talleyrand, David et de jeunes députés de la Constituante comme Lameth, Barère et Barnave. Tour à tour adulée, honnie, admirée, calomniée, Madame de Genlis demeure une des figures les plus intéressantes de cette période troublée. On lui a prêté beaucoup de liaisons, beaucoup d’ambition ; on lui a reproché de mettre « les vices en actes et les vertus en préceptes ». Elle avait une forte personnalité qui tranchait dans ce milieu versatile où les hommes n’avaient pas toujours des caractères bien trempés. Excellente pédagogue, inventeur de l’éducation moderne tournée vers le vrai et vers le réel autant que vers le beau, soucieuse d’éveiller les jeunes esprits, elle a mérité ce jugement de Stendhal qui la considérait comme « une femme d’infiniment d’esprit ». Dans ses Mémoires sur Joséphine, publiés sous le voile de l’anonyme en 1829, du vivant de madame de Genlis, sa tante, mademoiselle Ducrest dit beaucoup de bien de celle-ci. Dans un parallèle entre madame de Staël et madame de Genlis, tout l’avantage est à sa tante. « Le mot aimable, dit-elle, semble avoir été fait pour la conversation de madame de Genlis. » Rien de plus vrai ; car, jusqu’à la fin, l’auteur du « Théâtre à l’usage des Jeunes personnes » exerçait sur ceux qui la voyaient dans le monde cette puissance de fascination qui lui a fait tant d’admirateurs. « (D.R.R). Exceptionnel et merveilleux exemplaire de présent, comptant parmi les rares imprimés sur grand papier vélin, somptueusement relié en maroquin citron de l’époque à large dentelle ornée, selon les instructions de Madame de Genlis, de lyres – l’instrument qui lui avait permis d’entrer à la Cour – et de couples d’oiseaux destiné vraisemblablement à son royal élève, le futur Louis-Philippe alors âgé de sept ans. Cet ouvrage fut l’un des fleurons du catalogue Martin Breslauer n°110 avec reproduction en couleurs sur double page porté au prix de 32 000 $ en décembre 1992 il y a près de trente ans (n°151).
Bel exemplaire à grandes marges, partiellement non rogné, conservé dans ses élégantes reliures de l’époque avec les couvertures bleues conservées. Paris, Michel Lévy, 1870. 2 volumes grand in-8 de : I/ (2) ff., 427 pp.; II/ (2) ff., 331 pp., 32 pp. (catalogue de l’éditeur). Qq. discrètes rousseurs. Demi-maroquin fauve de l’époque à coins, dos à nerfs ornés, tête dorée sur témoins, couvertures bleues et dos conservés. Reliure de l’époque signée de Marius Magnin. 227 x 149 mm.
Edition originale. Vicaire, Manuel de l’amateur de livres du XIXe siècle, 726. Histoire d’un jeune homme, commencée à la fin de 1863 et écrite de septembre 1864 à mai 1869, « L’Education sentimentale » a paru en novembre 1869. Bien que riche de nombre détails autobiographiques, l’œuvre n’a rien de commun avec le roman de jeunesse écrit sous ce titre en 1845. La présence enchanteresse de Madame Arnoux qui domine l’œuvre entière comme Madame Schlesinger domina la pensée de Flaubert font assurément de ce roman un témoignage irrécusable sur la vie sentimentale de l’écrivain, avec les interférences et les recoupements du rêve et de la réalité dont cette œuvre est le fruit amer et brûlant. Tissée de réel et d’imaginaire « L’Education » est aussi l’histoire morale des hommes qui vécurent sous la monarchie de juillet, et l’évocation de toute la vie parisienne de la cinquième décade du XIXe siècle, cette fermentation politique et sociale qui conduisit à la révolution de 1848 et au coup d’état. « Comment aujourd’hui ne pas reconnaître en ce livre flaubertien par excellence et en cette œuvre goethéenne par son ampleur, un des livres capitaux de la littérature moderne qui a vu, par la suite, tant de copies de ce héros mélancolique. Certaines pages comme celles décrivant la rencontre des deux amants, à la fin du roman, comptent parmi les plus pures et les plus lyriques de toute l’œuvre flaubertienne ». Bel exemplaire à grandes marges, partiellement non rogné, conservé dans ses élégantes reliures de l’époque avec les couvertures bleues conservées.
Première édition de cet ouvrage publié sur ordre du ministère de l’Agriculture, illustré de 2 planches pliantes et 10 figures hors pagination. Paris, Imprimerie royale, 1837. In-8, xxii pp., (1) f., 1 planche et 1 tableau pliés, 224 pp., 10 planches hors pagination. Maroquin rouge à grain droit, nombreux filets dorés autour des plats, armes dorées au centre, dos plat décoré de motifs dorés, encadrement intérieur doré, doublures et gardes en soie bleu moirée, tranches dorées. Reliure contemporaine. 229 x 140 mm.
Première édition de cet ouvrage publié sur ordre du ministère de l’Agriculture, illustré de 2 planches pliantes et 10 figures hors pagination. Asian Journal 1837, série III, Tome III, p.478 ; Le sinologue français Stanislas Julien (1797-1873) occupa la chaire de langue et littérature chinoises et mandchoues au Collège de France de 1832 à 1873. « Depuis l’Antiquité, la qualité supérieure de la soie chinoise faisait l’objet d’un commerce international. Désireux de bénéficier des avantages financiers liés à cette activité, les souverains de plusieurs pays ont tenté de percer les secrets de cette industrie typiquement chinoise. De nombreux voyageurs, missionnaires et commerçants ont recueilli les traités chinois de sériciculture et mené des enquêtes sur place. Cette recherche a atteint son apogée avec la publication par Stanislas Julien, en 1837, de Résumé des principaux traités chinois sur la culture des mûriers et l'éducation des vers à soie, un ouvrage traduit dans plusieurs langues européennes dès sa publication. Le rédacteur de la préface, Camille Beauvais, soulignait qu’il pratiquait lui-même la sériciculture selon deux méthodes chinoises qui lui permettaient d’obtenir des résultats plus satisfaisants que les méthodes françaises.» (Mau Chuan-Hui). Magnifique exemplaire de présentation spécialement imprimé sur grand papier vélin et relié en maroquin rouge pour le roi Louis-Philippe. « Louis-Philippe reçut à sa naissance le titre de duc de Valois qu’il échangera en 1785 contre le titre de duc de Chartres, puis en 1793 contre le titre de duc d’Orléans. Imprégné de nouvelles idées, il devint populaire à Paris à l’époque de la Révolution. Il voyagea beaucoup à travers l’Europe et l’Amérique. Il reçut la royauté qu’il accepta le 7 août 1830 en prenant le nom de Louis-Philippe Ier. Très intelligent, il cherchait toujours à gouverner par l’entremise de ses ministres. Très cultivé et très artistique, Louis-Philippe possédait deux bibliothèques remarquables par la qualité des ouvrages qu’elles contenaient.» (Olivier Hermal, pl. 2499). En 1843, le roi Louis-Philippe ordonna l’organisation d’une mission pour renouveler les relations commerciales avec la Chine. Provenance : bibliothèque de Geronimo, marquis d’Adda, avec ex-libris.
1828 Paris: A. Sautelet, 1828 - Paulin, 1832-1838. 3 vol. in-8: 13,5 x 21,5 cm. I/ XV-408 pp.; II/ VII-440 pp.; III/ XII-420 pp. Première édition. Reliures en demi-basane marron, dos lisses avec titre et tomaison en doré, plats recouverts de papier marbré. Reliures frottées par endroits. Piqûres éparses. En bon état général.
Contenu. I/ Étude de la première enfance; II/ Étude de la dernière partie de l'enfance; III/ Étude de la vie des femmes. Adrienne Albertine de Saussure (1765-1841) était la fille du célèbre savant Horace Bénédicte de Saussure. Elle épousa Jacques Necker, neveu du ministre de Louis XVI, et devint ainsi, par alliance, la cousine de Mme de Staël avec qui elle était très liée d'amitié. L'Éducation progressive, parue sur dix ans, entre 1828 et 1838, demeure son oeuvre capitale. Comme l'écrit P. Guy, elle restera "l'une des plus intéressantes productions de la littérature pédagogique dans notre langue" (Buisson (éd.), Nouveau dictionnaire de pédagogie, 1911).
LA DOCUMENTATION FRANCAISE. 1950. In-4. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos frotté, Papier jauni. 2 livrets sous chemise sans rabat - 28 + 20 pages -agrafes rouillées - chemise tachée.. . . . Classification Dewey : 0-GENERALITES
SOMMAIRE LIVRET 1 : Introduction : La Direction Générale de la Jeunesse et des Sports 3I.-—Etablissements de formation de cadres pour l’Education physique 'et les Sports 4II.—Education physique et sportive scolaire 0III.—Education physique et sportive post-scolaire 9a)L’organisation des sports 10b)Rôle de l’Etat vis-à-vis du sport 11c)Contrôle médical des activités physiques et sportives extra-•scolaires 14/IV.—L’équipement sportif 15V.—Information, documentation, propagande enfaveurdessports 17VI.—Le Conseil supérieur de l’Education populaireetdesSports 18Annexes :Ordonnance du 28 août 1945 sur l’activité des associations et groupements sportifs 19Arrêté du 25 novembre 1946 relatif à la délégation de pouvoirs aux fédérations sportives 19 -SOMMAIRE LIVRET 2 :Avant-Propos de M. André Morice, Secrétaire d’Etat à l’Enseignement technique, à la Jeunesse et aux SportsI.— L’Etat de l’Education populaire 3a)Exigences actuelles de l’Education . .3b)Le service public d’Education popu-laire 4e)Moyens d’action de la Direction générale de la Jeunesse et des Sports. .5II.— Panorama générai de l’Education populaire 7a)Maisons des jeunes et Foyers ruraux. 7b)Œuvres péri et post-scolaires 8c)Mouvements de jeunesse9d)Associations d’étudiants 10e)Associations d’éducationouvrière ....11f)Associations culturelles 11g)Auberges de Jeunesse 12h)Colonies de vacances 13i)Contacts avec les Territoires d’Outre-Mer et l’étranger 15III.— Principaux centres d’intérêt de l’Education populaire 16a)Education professionnelle 16b)Formation économique, sociale et po-litique 16c)Activités scientifiques 16d)Art et jeu dramatique 17e)Chant, Musique, Danse 19f)Arts plastiques 19g)Exposition 20h)Vie pratique. Vie personnelle 20IV.— L’Education populaire et les grandsmoyens modernes d’expression ... 21a)Radio 21b)Cinéma 21c)Presse 23V.— Aide et contrôle de l’Etat vis-à-vis de l’Education populaire 24a) La formation des cadres 24b)Le régime juridique des organisationsde jeunesse 26c)Le Conseil de l’Education populaire etdes Sports 27Conclusion .' 28Série Française CCLXXXl — Série Culturelle VIII Classification Dewey : 0-GENERALITES