GOUNOUILHOU. 1854. In-12. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 308 pages. Titre et filets dorés sur le dos cuir vert. Tranches dorées.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : RO80059730
Eloges de M. le Comte de Marcellus, Mgr d'Aviau, l'Abbé Lacroix, l'Abbé Lalanne, Mgr du Bourg, l'Abbée Rauzan, le Vicomte de Chateaubriand, Mgr Frayssinous, l'Abbé Duburg, le Cardinal de Cheverus. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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Paris, Jh chaumerot libraire , 1812; in-8, cartonnage de l'éditeur. Les 2 volumes. En 2 volumes précédé de l'essai sur les éloges par thomas reliure frotté composé : des éloges de marc-aurele, d'aguesseau, dugauy-trouin et descartes, par thomas, de la fontaine et moliere, par chafort, de fenelon, racine et catinat , par laharpe, de suger, fontenelle et montausier, par m.garat, et de louis XII par noel précédé de l'essai sur les éloges par thomas.
En 2 volumes précédé de l'essai sur les éloges par thomas reliure frotté composé : des éloges de marc-aurele, d'aguesseau, dugauy-trouin et descartes, par thomas, de la fontaine et moliere, par chafort, de fenelon, racine et catinat , par laharpe, de suger, fontenelle et montausier, par m.garat, et de louis XII par noel précédé de l'essai sur les éloges par thomas.
1912 volume publié par le Comité du jubilé scientifique de M. Gaston DarbouxP., Hermann, 1912; in 8, 1 PORTRAIT, (, 525pp., brochéles discours et les éloges académiques prononcés par M. Darboux, les discours et les adresses de la fête du jubilé et les noms de tous les adhérents. Eloges historiques de J.L.F. Bertrand, de F. Perrier - Notice historique sur C. Hermite, A. D'Abbadie, le Général Meusnier - L'Académie des sciences et l'Association internationale des Académies - L'Académie des Sciences et la carte du ciel - L'Unité de la science - Fulton et l'Académie des sciences parfait etat comme neuf , non coupé
Ray A6*
Conservée dans sa fine reliure de l’époque. Paris, Antoine de Sommaville, 1661.In-12 de (1) f.bl., (5) ff., 162 pp. Bandeaux, culs-de-lampe et nombreux petits fleurons gravés sur bois. Exemplaire rogné un peu court dans la marge latérale, à certaines pages au raz des manchettes. Relié en plein veau granité de l’époque, dos à nerfs richement orné, coupes décorées, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 145 x 81 mm.
Édition originale de ce beau recueil de panégyriques du célèbre poète normand Georges de Brébeuf. Brunet, I, 1215. Le présent ouvrage comporte des pièces poétiques circonstanciées : ‘Sur le mariage du Roy’, ‘A Monseigneur le Cardinal Mazarin. Panégyrique de la paix’, ‘Sur la maladie et la guérison de Monseigneur le Cardinal Mazarini’, ‘Histoire de la dernière campagne du Roy, en l'Année 1658’, ‘A Monseigneur Foucquet, procureur général au Parlement de Paris, Sur-Intendant des Finances et Ministre d'Etat’, ‘Pour la Reyne de Suede’... «C’est dans les ‘Eloges poétiques’ et dans les ‘Entretiens solitaires’ que Brébeuf montre le plus de qualités personnelles; c’est pour lui l’époque de la maturité, et si nous retrouvons dans ces poèmes les défauts déjà signalés, un goût trop marqué pour l’emphase, l’hyperbole, l’antithèse, jamais son inspiration n’a été plus forte, sa phrase plus vigoureuse, plus pleine et plus sonore, son vers mieux rythmé. Ces deux ouvrages offrent des caractères communs, qui les rapprochent l’un de l’autre et leur assurent une place à part dans l’œuvre de Brébeuf. Les ‘Eloges’ sont des panégyriques; ce genre, à la fois lyrique et épique, avait de quoi éveiller l’ardente imagination du poète; il célèbre les grands événements contemporains, la prodigieuse fortune et la gloire de Fouquet et de Mazarin, les exploits du roi et de son armée, les bienfaits de la paix que négocie le ministre; il prend ainsi sa part de la joie et de la prospérité du pays; mais toutes ces pièces et surtout celles qu’il adresse à l’évêque Auvry, à Fouquet ou à Mazarin, marquent aussi le désir de leur plaire, de se concilier leur bienveillance et d’obtenir un appui solide, sentiment qu’il concilie fort bien, comme nous le verrons, avec une admiration sincère pour les grands hommes et les grandes choses. Tous ces panégyriques ont été composés, semble-t-il, de 1653 à 1658.» (Essai sur la Vie et les Œuvres de Georges de Brébeuf, pp. 224 à 227). Georges de Brébeuf (Sainte-Suzanne-sur-Vire, Calvados, 1618 – Venoix, près de Caen, 1661) est un poète français descendant d’une illustre famille de la noblesse normande. «Son oncle, Jean de Brébeuf, missionnaire, fut martyrisé par les Iroquois en 1649. Après avoir fait ses études à Caen puis à Paris, Brébeuf, sans fortune, dut se consacrer à des tâches serviles; il fut pendant plusieurs années précepteur du futur maréchal de Bellefonds, puis il se fit poète à gages. A Rouen, il avait fait la connaissance de Pascal; à Paris, il se lia avec Conrart, Ménage, Chapelain, Mézeray et Corneille pour qui il eut toujours la plus vive admiration. Avec ‘LA Gageure’, recueil de cent cinquante épigrammes et madrigaux dirigés contre les femmes fardées, il se fit un grand succès dans les salons dont il fut un des favoris avec Balzac et Voiture [...]. Dans ses ‘Eloges poétiques’ (1661), Brébeuf a réuni des pièces écrites à la gloire de Fouquet, de Mazarin, du jeune roi, ou à l’occasion des victoires françaises, la bataille des Dunes en particulier. En 1660, Brébeuf avait quitté la cour et les salons et s’était retiré près de son frère, curé de Venoix.» (Dictionnaire des auteurs, I, 415). «Brébeuf avait le mérite rare en son temps d’écrire des vers beaux et énergiques.» (Dictionnaire des Œuvres, p. 436). «Georges de Brébeuf, ce poète normand qui a connu Pierre Corneille et sans doute subi son influence [...] ne mérite pas l’oubli où nous l’avons laissé tomber. Faguet, sui se plaisait à réhabiliter les poètes de ce temps, avait baptisé Brébeuf le Lamartine du XVIIe siècle» (H. Du Manoir, Maria, p. 56). Bel exemplaire très pur conservé dans sa reliure de l’époque. Provenance: ex libris manuscrit sur le titre.
Strasbourg et Paris, F.G. Levrault, 1819-1827, in-8, 3 vol, VIII-430-[1] + [4]-484-[1] + [4]-506-[1] pp, Demi-basane de l'époque, dos lisses, filetés et fleuronnés, pièces de titre et de tomaison rouges, tranches jonquille, Tome I : 1800 à 1810. Dont les éloges à Daubenton, Charles Bonnet et de Saussure. Tome II : 1811 à 1818. Dont les éloges à Fourcroy et Werner. Tome III : 1820 à 1827. Dont les éloges à Haüy, Berthollet, André Thouin, Corvisart et Pinel. En outre, le recueil contient le Discours de Cuvier prononcé ors de sa réception à l'Académie française, ainsi que plusieurs extraits. Un quatrième volume paraitra en 1832, année de la mort du célèbre naturaliste. Charnières usées, rousseurs. Bon exemplaire, au demeurant. Couverture rigide
Bon 3 vol., VIII-430-[1] +
1730 -1799. Un volume in-12 relié en demi-veau brun, dos lisse orné de filets, roulette et fleurons dorés, pièce de titre en chagrin rouge, tranches marbrées.
Le recueil est constitué des 8 ouvrages suivants: [Albert Henri Sallengre]: Éloge de l'ivresse. A Bacchopolis, de l'imprimerie du vieux Silène, l'an de la vigne 5555, et à Paris, chez Michel, an VI. 250 pages. [relié avec] [Abbé Pierre Jaubert]: Éloge de la roture dédié aux roturiers. A Londres, et se trouve à Paris chez Dessain junior, 1764. 94 pages. Édition originale. " La roture peut, aussi bien que la noblesse, faire valoir son ancienneté; sa puissance, son nombre, ses moeurs et ses richesses lui confèrent, au même titre qu'elle, la place d'un corps politique. Corps qui, en outre, est le plus utile à l'État." INED, 2350. [relié avec] [Louis Coquelet]: Éloge de la goute. A Paris, chez Antoine de Heuqueville, 1737. [2]-29-[1] pages. Édition originale. [relié avec] [Louis Coquelet]: L'éloge de quelque chose; dédié à quelqu'un. Avec une préface chantante. A Paris, chez Antoine de Heuqueville, 1730. 34-[2] pages. Édition originale. [relié avec] [Louis Coquelet]: L'éloge de rien dédié à personne. Avec une postface. id. [2]-35-[1] pages. Édition originale. [relié avec] [Louis Coquelet]: Le triomphe de la charlatanerie. Dédié au grand T***. id. 45-[1] pages. Édition originale. [relié avec] Éloge des normands ou histoire abrégée des grands hommes de cette province. A Paris, chez Charles Guillaume et Charles Robustel, 1748. [6]-145 pages. Première partie seule de cette réimpression de l'ouvrage de l'abbé Rivière avec addition par Philippe Le Cerf de la Vieville. [relié avec] [Jean Marie Deguerle]: Éloge des perruques, enrichi de notes plus amples que le texte. Par le Docteur Akerlio. De l'imprimerie de Crapelet. A Paris, chez Maradan, 7. X-215 pages. Édition originale. Ou en effet, l'auteur fait preuve d'érudition et commente dans les notes son texte. L'ouvrage se termine par une longue liste alphabétique de toutes les éloges que l'on a pu imprimer (16 pages tout de même). Pâle mouillure aux derniers feuillets. Des bibliothèques d' Albert Bart-Walser, avec son tampon, et d'Henri Joliet avocat et bibliophile dijonnais avec son ex-libris portant le monogramme CBMHI et la devise "Plus penser que dire". Rousseurs.