CALMANN LEVY. 16ème édition. 1885. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 145 pages. Dos consolidé. Bords des couvertures, abîmés.. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre
Reference : RO80057873
Pièce en 4 actes. Classification Dewey : 792-Théâtre
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Superbe ensemble de 3 photographies originales prises par Zola à la fin de sa vie, représentant sa fille Denise alors âgée de 11 à 13 ans. Entre 1897 et 1902. 3 photographies originales, tirages argentiques d’époque. 230 x 167 mm.
Superbe ensemble de 3 photographies originales prises par Emile Zola entre 1897 et 1902, présentant des portraits de sa fille Denise alors âgée de 11 à 13 ans. Les 3 portraits regroupés ici sont les suivants : -Denise de trois quarts profil, tête appuyée sur ses mains jointes, en robe fleurie. (1900-1902). -Denise de trois quarts profil, assise dans un fauteuil, col de dentelle blanche. (1900-1902). -Denise de face, le visage tourné vers la gauche, en bonnet de dentelle (1897-1902). Emile Zola (1840-1902) est un photographe méconnu. Ce n’est qu’à partir de 1895 qu’il s’est mis à la photographie : il a achevé le cycle des Rougon-Macquart et est l’écrivain le plus célèbre de l’époque. C’est avec passion qu’il devient photographe, après avoir acheté dix appareils et installé chez lui un laboratoire. Il pratique la photo en toutes circonstances : en famille et dans les rues de Paris, mais aussi lors de l’exil à Londres consécutif à l’affaire Dreyfus, ou encore, peu avant sa mort, à l’occasion de l’exposition universelle de 1900. Jusqu’à sa mort, il prendra environ 6000 clichés pour la plupart disparus ou inédits, c’est dire l’intensité du travail photographique de l’écrivain et de l’énergie qu’il y déploya. L'œuvre photographique d'Emile Zola, révélée en 1979 par l'étude que lui consacra François-Emile Zola, puis par diverses expositions, montre l'acuité du regard que l'écrivain porta sur la ville et le monde contemporain. La photographie de famille tient une place importante dans la production photographique de Zola. Les photos d’Emile Zola sont très rares sur le marché. La majorité d’entre elles sont conservées au Musée d’Orsay et au Musée de Médan. Le Musée d'Orsay a fait l'acquisition de vingt-six portraits de Denise, la fille que l'écrivain eut de Jeanne Rozerot ; ceux-ci ont été réalisés entre 1898 et 1902, date de la mort de l'écrivain. Ces portraits témoignent de l'attachement sensible qu'il portait à sa fille. Zola opère ici en artiste, faisant adopter à Denise de nombreuses attitudes méditatives et gracieuses, avec la conscience d'un photographe professionnel. Ces pièces illustrent l’immense passion que Zola eut pour la photographie. « Zola est photographe comme il est écrivain : à la recherche de la vérité, il écarte les accessoires, refuse les poses théâtrales alors à la mode, ne pratique aucune retouche. Sa recherche concerne avant tout le cadrage ou la perspective, et il explore tous les formats, utilise tantôt les plaques, tantôt la pellicule qui vient de faire son apparition. » Denise Le Blond-Zola (1889-1942), la fille de Zola et de Jeanne Rozerot, lingère et maitresse de l’écrivain, garda de son père un impérissable souvenir. Après la mort du romancier, Alexandrine Zola, l’épouse légitime du romancier, s'occupa de son éducation et lui fit connaître tous les habitués des jeudis de la rue de Bruxelles. Elle épousa à l'âge de 19 ans, un des plus fervents admirateurs de Zola, Maurice Le Blond, et eut trois enfants, Aline (1909), Françoise (1911) et Jean-Claude (1914). Dotée d'un réel talent littéraire, elle publia dans la célèbre collection de la Bibliothèque rose, sous le pseudonyme de Denise Aubert, plusieurs romans pour enfants, dont La Villa dans les dunes (1921) et La Maison forestière (1925). Après avoir collaboré, avec son mari, à la documentation de l'édition Bernouard des Oeuvres complètes de Zola, elle fit paraître, en tête du premier volume, une étude biographique de son père; ce travail, développé, devint en 1931 Emile Zola raconté par sa fille. Elle fit partie, avec Judith Cladel et Lucie Delarue-Mardrus, d'une académie féminine des lettres, et participa à la préparation d'une anthologie des femmes françaises, qui demeura inédite. La même dévotion pour Émile Zola unissait la maîtresse et la femme légitime. Ainsi cette dernière fit reconnaître les enfants, après la mort de Zola qui, dès 1906, purent porter le nom de leur célèbre père. Précieux ensemble de trois tirages originaux faits par Zola lui-même, dans un état de conservation exceptionnel. Provenance : Famille Zola, avec authentification des tirages.
(Neuchatel - Val-de-Travers), 1947-1998, gr. in-8vo, pages remplies d’extraits, qqs lettres autographes, plusieurs photos signées par Général Guisan, carcicatures au crayon + qqs documents anciens (du XIXè), la deuxième moitié de l’album est remplie de textes, encre rouge et noire, par Denise sur Clésio: Diego Rivera et Frida Kahlo et leur exposition à Martigny en 1998, avec découpages et autres textes e.a. sur Sissi Impératrice d’Autrice ...., nom écrit sur p. de garde „ Denise Nagel“, reliure en cuir bleu, dos à cinq nerfs avec traces d’usure.
Photo-portrait de Guisan avec signature: „Général Guisan Couvet 9 avril 1947“ / Carte de visite „Le général Guisan“ (autographe:) vous remercie de votre aimable message... 1 janv. 1949. Pully Lausanne / portrait figure 3/4 Photo Luscher Nyon avec signature autogr. „Général Guisan Couvet 9 avril 1947“ / Général (François) Ingold, Portrait découpé d’un journal . Avec lettre autographe: A Mademoiselle Denise Nagel... le 6/2/46 avec sa signature / Abel Jacquin, acteur, photographié dans son role de „Cyrano de Bergerac“, avec lettre de 11 janv. 46, signé: „en souvenir de ce „Cyrano“ Abel Jacquin“ / + autre photogr. pièce jouée par Jacquin avec notice de remerciément le 31 déc. 45 / Charles Panzera. Notice signée le 25 . 3. 46 / André Maurois, notice signé / Elvire Popesco: photogr.-portrait orig., signée / André Maurois, notice avec signature (et portrait ) / Gabriel Cattand 2 portraits, une sur carte postale avec envoi et signature / Edwin Fischer portrait et mélodie en écriture musique avec signature 10. IV. 1946 / Georges Bernanos, portrait (découpé d’un revue), + lettre autographe de 14 lignes avec sa signature / Couvert de lettre du Général Guisan Pully Lausanne, pour Mademoiselle Denise Nagel . Couvert Val-de-Travers avec timbre 12-IV-1947 / Carte de visite de la Comtesse de Montijo (future Impératrice Eugénie femme de Napoléon III) / Lettre autographe(10 lignes) d’Eugénie de Montijo Duchesse de Penaranda avec son cachet de cire au dos / Lettre notice à La Princesse de la Fremiville à Paris avec cachet 1825 / Lettre du Cabinet du Roi Louis-Philippe à Mons. le Maire de Vaudoeuvre (Meurthe) signée par le secretaire du Cabinet / qqs japoneries (enveloppes - images e.a. / 2 ff. de caricatures / 10 caricatures au crayon papier pour Denise Gaudy (Gardy ?). Nous avons trouvé Mme Nagel (bibliothécaire) comme auteur du: Catalogue de biographies neuchâteloises, par Denise Nagel & Claire Rosselet: Neuchâtel : Bibliothèque de la Ville, 1950. image disp.
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Paris 1990, photographie : 18x26,5cm ; feuille : 23,9x30,3cm, une feuille.
Portrait photographiqueen noir et blanc de Nicolas de Staël par Denise Colomb, en tirage argentique réalisé par la photographe dans les années 1990 d'après ses négatifs de 1954.Signature manuscrite de Denise Colomb en angle inférieur droit du cliché. Au dos du cliché mention "N. D. S. 1954" et envoi autographe signé de Denise Colomb adresséau photographe Serge Tamagnot : "Pour mon cher ami Serge/ Le roi des collages. Denise Colomb 7-5-2000 Bon anniversaire à Serge, je penserai à toi le 9 mai." Très beau cliché du peintre en grand format, les yeux perdus dans le lointain, dans son atelier de la rue Gauguet à Paris,un an avant sa fin tragique. Assis devant une de ses oeuvres, on aperçoit les amoncellements de toiles du peintre dans la pièce derrière lui. La photographie fut prise par Denise Colomb,grande portraitiste du XXe siècle, qui immortalisa Antonin Artaud, Giacometti, Picasso, Soulages et Miro. "On dit que son atelier était une caverne de potier paléontologique. A sédiments, couches du paléo... Un creuset, un grand puits matériel, criblé de pigments, de pinceaux, de pots de truelles plâtrées, de seaux, de chiffons. Dans une forte odeur de térébenthine. Un atelier gorgé, souillé, empanaché de crasses, des pâtes de la maçonnerie. Son envergure, sa force, sa hauteur de hunier s'élançent dans ce cratère de Vésuve. Légèrement déboussolé, il incline, il verse. Peindre, pour lui, c'est être en proie au vertige, à des bifurcations imprévisibles d'accident, de hasard." (Patrick Grainville,Les Yeux de Milos). - Photos sur www.Edition-originale.com -
1980 Dix photographies en noir et blanc, de formats divers.
RARE ENSEMBLE DE PHOTOGRAPHIES prises par la photographe Denise BELLON (1902-1999) durant le voyage en Espagne qu'elle effectua début 1953 en compagnie de Joseph et Caroline DELTEIL, Henry MILLER et sa femme Eve, la soeur de celle-ci, Louise, et son mari le peintre israélien Bezalel Schatz. Henry Miller a décrit les péripéties de ce voyage dans un ouvrage qui ne sera publié qu'en 2012 intitulé "Mejores no Hay !", illustré de photographies de Denise Bellon. Trois photographies comportent au verso le tampon encré «Photo Denise Bellon / Tous droits réservés / Cliché n°» et trois autres photographies comportent au verso des mentions manuscrites de la main de Joseph Delteil: «Eve et Miller / Tuilerie / mai 53» - «Delteil et Miller» et «Moisson en Andalousie / mai 53». BEL ET RARE ENSEMBLE. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
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[1928] 6 vol. Ces 6 dessins originaux sur des épisodes de la vie de Victor Hugo sont reproduits dans l’Album Breton (Paris, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, 2008, pp. 162-163) qui les attribue de la manière suivante : - f° 1 Enfance - Janine Queneau- f° 2 Bataille d’Hernani – Max Morise- f° 3 Pair de France – Raymond Queneau- f° 4 Guernesey - Denise Naville - f° 5 Porte piétonne - Simone Breton- f° 6 Enterrement – Pierre NavilleIls semblent avoir été exécutés pendant le séjour des trois couples d’amis dans le sud de la France, à La Ciotat, à partir du 20 septembre 1928, quelques mois seulement après la parution de la biographie de Raymond Escholier, La Vie glorieuse de Victor Hugo par Raymond Escholier (Plon, 1928). .Janine Queneau célèbre le jeune poète royaliste lauréat en 1819 de l’Académie des Jeux floraux de Toulouse pour son poème « La statue de Henri IV » (f° 1). Max Morise se consacre à l’épisode de la Bataille d’Hernani révélant le poète chef de bande du mouvement romantique accompagné par Théophile Gautier avec son fameux gilet rouge (f° 2). Raymond Queneau représente Hugo pair de France à la tribune de la Haute Assemblée du Palais de Luxembourg (f° 3). Denise Naville le montre déchu sur son rocher, l’île de Guernesey, exilé et concentré sur l’écriture (f° 4). Simone Breton représente la promenade en voiture à cheval du poète avec Juliette Drouet évoquée en tête de Nadja (f° 5). Enfin, Pierre Naville dessine le cortège funèbre lors des funérailles et de la panthéonisation du poète dont le visage à la barbe blanche se dresse sur le ciel et paraît ainsi figurer le titre du chapitre consacré à la mort par Raymond Escholier : « Comme le soleil se couche un beau soir d’été » (f° 6).La naïveté de ces illustrations, loin de trahir une certaine maladresse, participe au renouvellement de l’inspiration prônée par les surréalistes. En effet, depuis le dadaïsme il s’agit d’explorer les domaines où la créativité est le fruit d’instincts et de pulsions, sans lien avec les habituelles préoccupations morales ou esthétiques. Par ailleurs, cet ensemble relève d'un type d’activité collective - dans l’esprit de l’écriture automatique et du cadavre exquis – qui adopte le principe ludique et d’anonymat dans la création pour se démarquer du talent artistique individuel de la tradition culturelle institutionnalisée. Pierre Naville regrettera plus tard que cette aspiration ne fut pas complètement aboutie : « je déplore encore que le surréalisme ait dédaigné ce déferlement de l’imagination enfantine. Le coupable en la circonstance est le système qui s’empare très tôt de l’enfant pour réduire ses jeux à des entreprises bien codées, et à l’encadrement ultérieur par l’appareil des beaux-arts comptable de ses réussies sociales […] Les dessins d’enfants ne valent rien, par grâce ! » (Le Temps du surréel, Paris, éditions Galilée, 1977).Entre gloire et déclin, événement et anecdote, politique et littérature, éros et thanatos, la vie de Hugo dévoilée ainsi avec une dose d’humour, se transforme en hommage, certes ambigu, à une vie qui résonne malgré tout avec celle des illustrateurs. La bagarre au théâtre dans l’illustration de Max Morise n’est pas si différente des manifestations publiques houleuses des surréalistes. Hugo à Guernesey, dont les traits font songer de façon troublante au portrait de Trotski alors déjà exilé, évoque les conflits politiques qui traversent le surréalisme emboîtant les pas du Parti communiste et qui détermineront la vie de Denise et de Pierre Naville, trotskistes de la première heure. L’anecdote sur la relation extraconjugale entre Hugo et Juliette Drouet, cocasse et émouvante, fait écho aux tourments de l’amour, illégitime pour Simone Breton et Max Morise, de ces trois couples.