IMP. NORMALE DE JULES DIDOT L'AINE. XIXeme. In-8. En feuillets. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos abîmé, Quelques rousseurs. Paginé de 67 à 93. Texte sur 2 colonnes.. . . . Classification Dewey : 782.1-Théâtre musical, opéra
Reference : RO80057653
Opéra en 5 actes. Classification Dewey : 782.1-Théâtre musical, opéra
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1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
1 carnet de notes format in-12, contenant dont 33 p. relatant un voyage en Italie dont nous proposons quelques extraits : Carnet manuscrit du voyage en Italie en l'année 1869 de M. Lair, maire de Fréville : "1869. Départ de Barentin le 1er février [ ... ] A Chambéry Statue d'Antoine Favre ancien premier président du Sénat de Savoie. En face palais de justice qui a été construit il y a 10 ans - sans style [ ... ] De l'hôtel des princes on aperçoit à gauche de très hautes montagnes couvertes de neige [ ... ] Le théâtre est neuf et très confortable. Le directeur y faisait répéter un drame. La fontaine des éléphants et du plus mauvais style [ ... ] L'ancien château des Ducs de Savoie, construit sous les romains, a été incendié il y a 50 ans environ, il sert de préfecture [ ... ] Quelques ouvriers se plaignent de l'annexion à cause disent-ils des impôts qu'ils paient mais la généralité des habitants est satisfaite. Une particularité à noter c'est que dans le château les ducs de Savoie y ont reçu tous les princes de l'Europe & que lors de ces réceptions les domestiquesau nombre de 2 ou 4 étaient montés sur des chevaux costumés du stylke de l'époque mais avec une cravate blanche & gilet noir [ ... il évoque le trajet en train :] Ma chère Angèle a éprouvé le mal de mer. Quant à moi je n'ai souffert un peu que lorsque nous nous sommes trouvés dans un tunnel construit en planches pour éviter les avalanches de neige. La fumée de la locomotive étant entrée dans notre wagon quoique tout fut fermé un commencement d'asphyxie s'est emparé de nous. Impossible de renouveler l'air, car ayant essayé d'ouvrir, un nuage de vapeur est entré et nous a fait regretter cette action (ce parcours est vraiment merveilleux). Nous sommes arrivés à Turin à minuit où nous sommes descendus à l'hôtel Grombetta [ ... suite la visite de Milan dont : ] Assisté à la représentation des Huguenots au théâtre de la Scala, le plus grand de l'Italie. Forte chanteuse très bonne. autres acteurs médiocres. ensemble orchestre & choeurs bons [ ... Passage à Venise : ] Descendus hôtel de l'Europe sur le Grand Canal. Cet hôtel est princier, on y parle bien le français. A la table d'hôtel français surtout quelques anglais & peu d'italiens. beau service & excellente nourriture (maître d'hôtel de Marseille) [ ... ] Après dîner loué une gondole à deux rameurs & 20 chanteurs gondoliers pour une heure. 10 choeurs au moins nous ont été chantés. harmonie ensemble et précision admirable voix superbes surtout les basses. les trois choeurs chantés sous le pont Rialto nous ont produit un effet saisissant. L'on peut dire de ces chanteurs qu'ils sont des artistes improvisés mais qui ont le sentiment du beau. [Passage à Bologne puis Florence : ] Descendus à l'hôtel Royal de l'Arno. De plus en plus princier [ ... Arrivée à Rome : ] Descendus à l'hôtel de Russie. Vu Mgr Bastide gracieuse réception vu M. l'abbé Clerc place Lancellotti 4 [ ... Dimanche 21 : ] Diné chez Mr Hébert directeur de l'Académie, en compagnie d'un peintre & de pensionnaires. 10 à table. Mme Hébert mère était souffrante et n'est pas descendue. Reste à la soirée. Belle société. Causé au prince de Solms [ ... Dimanche 28 Février : ] Assisté à l'audience de N St Père le Pape. Assez nombreuse réunions réception fort paternelle ma chère Angèle a demandé & obtenu du St Père la bénédiction de son anneau nuptial et une bénédiction particulière pour nous deux. Le pape après avoir parlé à tous ceux qui le désiraient a fait une courte allocution & a pris pour sujet (comme il le fait toujours) l'évangile du jour (le possédé du démon aujourd'hui) & a donné avec la plus grande onction et la plus grande bonté & conviction qu'il soit possible d'exprimer la bénédictionà tous ceux qui étaient là. il a aussi béni les croix, les chapelets qui lui étaient présentés. Notre St Père est plein de santé et de la plus grande affabilité ... Son allocution a été fait en français [ ... ] Rencontré le Pape dans une voiture attelée de 4 chevaux. Figure toujours bonne. Tout le monde se découvre beaucoup se mettent à genoux pour recevoir sa bénédiction. Trois dragons à cheval distancés de chacun 60 pas au moins annoncent le passage du St Père. 2 autres voitures de Cardinaux le suivaient. Escorte d'une douzaine de Dragons [ ... mardi 2 mars ] Vu l'abbé Clerc qui m'a remis le bref par lequel Notre Saint Père Pie IX a accordé sur ma demande un autel privilégié (Grand Autel) pour l'Eglise de Duclair à perpétuité. Le bref relatif à l'indulgence plénière pour Chapelet est (illisible) mais M. l'Abbé Clerc n'a pas pu encore l'obtenir il me l'enverra à Epinay [ ... Retour pittoresque en France, passage par le Mont-Cenis le 6 mars :] Trajet extraordinaire, incroyable, très dangereux. Quantité de neige comme on en avait pas vu depuis des années. Notre traineau s'est renversé en route, chevaux et mules tombés. Voiture accrochée par d'autres venant en sens inverse ... à un certain endroit nous nous sommes trouvés à 4 mètres au-dessus de la route et au bord d'un précipice. Couché à l'hôtel de la poste où le maître est très bourru - fort cher
On joint une reproduction d'un tableau de la baie du Mont Saint Michel avec ex-dono "A Monsieur Lair maire de Fréville", Avranches, 5 avril 1875, par Augusta Dumonteil. Le carnet est en état modeste (fort frotté avec nombreuses traces d'usure)
[Tresse et Stock Lelong Hartmann] - SCRIBE, Eugène ; BLAU, Alfred ; GRAMONT, Louis de ; DAUGLAS ; D'ENNERY
Reference : 39487
(1862)
1 vol. in-12 reliure demi-basane verte, Les Huguenots. Opéra en cinq actes (Eugène Scribemusique de Meyerbeer), Tresse et Stock, Paris, 1886, 81 pp. - Esclarmonde. Opéra romanesque en quatre actes et huit tableaux dont un prologue et un épilogue (Alfred Blau et Louis de Gramont, musique de Massenet), G. Hartmann et Cie, Paris, 1889, 59 pp. et 2 ff. - Sigurd. Opéra en quatre actes et neuf tableaux (Camille du Locle & Alfred Blau, musique de Reyer), Presse et Stock, Paris, 1885, 60-7 pp. - Le Cid (d'après G. de Castro & Corneille, d'Ennery, Gallet et Blau, musique de Massenet), Tresse & Stock, Paris, 1886, 51 pp. - Opéra en quatre actes et dix tableaux (D'Ennery, Louis Gallet & Edouard Blau) - Martha ou le Marché de Richmond. Grand-opéra (Semiserio) en 4 actes et six tableaux (Paroles françaises de M. Louis Dauglas, musique de Florow), J.-A. Lelong, Bruxelles, 1862, 59 pp.
Bon état pour ce recueil de livrets d'opéras.
Librairie Fischbacher Relié 1891 In-12 (12 x 18,3 cm), reliure demi-peau, dos lisse, XVI-230 pages ; coins frottés, épidermures sur le cuir, assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
1979-2014, 13 fascicules in-8° et 2 in-4°, 15 tirés à part brochés, bon état
L’exode des huguenots français vers les pays protestants afin d’échapper aux persécutions est un événement capital de l’histoire européenne. De 1560 à 1760, cette diaspora concerne plus de deux cent mille huguenots qui prennent le chemin de l’exil par fidélité à leur foi. — Michelle Magdelaine (1933-2021), historienne du protestantisme français au XVIIe siècle, a été à l’origine de la Base de données sur le Refuge huguenot créée à l’Institut d’Histoire Moderne et Contemporaine (IHMC-CNRS). C’est elle qui en a en grande partie collecté, codé et enregistré électroniquement les données à partir de 1978. Ce travail pionnier avait pour objet d’enregistrer les traces de tous les fugitifs protestants passés, après la Révocation de l’édit de Nantes en 1685, par Francfort-sur-le-Main où ils furent assistés par l’Église française. Ses recherches ont porté également sur les protestants parisiens au XVIIe siècle et la répression qu’ils subirent, sur Sainte-Marie-aux-Mines, petite cité alsacienne pluri-confessionnelle, sur les protestants du Dauphiné, ainsi que plus généralement sur le protestantisme en France et en Allemagne au XVIIe siècle. — Détail : 1. Mémoires de deux voyages et séjours en Alsace, 1674-76 et 1681. (1979, 9 pp) – 2. Le Refuge : le rôle de Francfort-sur-le-Main. (Dublin colloquium on the Huguenot refuge in Ireland 1685-1985, 9-12 avril 1985, 10 pp) – 3. Les huguenots sur le chemin de l'exil. (L'Histoire n° 77, 1985, 6 pp) – 4. La Famille à Sainte-Marie-aux-Mines au XVIIe siècle d'après les contrats de mariage. (Société d'histoire du Val de Lièpvre, 1986, 7 pp) – 5. Le Refuge à Francfort-sur-le-Main. Les Dauphinois du Valcluson, de l'Embrunais et du Gapençais à Francfort en 1686-1687 (Bulletin de la Société d'Études des Hautes-Alpes, 1987, 7 pp) – 6. La gestion financière d’une communauté réformée au XVIIe siècle : Sainte-Marie-aux-Mines (Haute-Alsace), de 1635 à la fin du siècle. (L’hostie et le denier, Genève, Labor et Fides, 1991, 12 pp) – 7. Défense et promotion de l'identité religieuse : le Refuge huguenot. (Clermont-Ferrand, 1993, 9 pp) – 8. L'Irlande huguenote : utopie ou réalité. (De l'Humanisme aux Lumières, Bayle et le protestantisme, 1996, 15 pp) – 9. Le temple réformé de Sainte-Marie-aux-Mines du XVIIe au XXe siècle. (B.S.H.F, 1997, 23 pp) – 10. Exil et voyage. Le Refuge huguenot et l'errance. (Revue Suisse d'Histoire, 1999, 10 pp) – 11. L'Exode des huguenots à la fin du XVIIe siècle. (Colloque de Montbrison, 28-30 septembre 2000, 7 pp) – 12. Francfort-sur-le-Main et les réfugiés huguenots. (Münich, 2007, 15 pp) – 13. Le registre du consistoire de Francfort-sur-le-Main. (B.S.H.F, 2007, 11 pp) – 14. Le Refuge huguenot, exil et accueil. (Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, 2014, 13 pp) – 15. Prosopographie et Refuge. (Informatique et prosopographie, 1984, 7 pp).