RONDEAU. 1968. In-12. En feuillets. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Plaquette de 4 pages.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Reference : RO80056199
A la gloire de Bordeaux et de ses vins. Classification Dewey : 841-Poésie
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Imprimerie Daniel Chénel. 1974. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 96 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Chili : Gyorgy Somlyo - sur J.Laurent : Paul Eluard - deux poèmes : Jacques Laurent - la poésie de la résistance : Pierre Seghers - discours clair comme l'hiver : Liberto Cruz - cante minero (chants de mineurs) : Alhama Garcia - dix poemes : Jacques Izoard - douze poemes : Jacques Roubaud - trois poèmes : Charles Dobzynski - imaginant la suite : Mathieu Bénézet - la maison de demain : Gil Jouanard - tous les temps le temps : Alexandre Boviatsis - deux poèmes : Béatrice de Jurquet - trois poemes : Bruno Ciolfi etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
[Sylvère] - Herri Gwilherm Kerourédan / Sylvère (illustrateur) / [Guillevic]
Reference : DMI-1352
(2007)
Herri Gwilherm Kerourédan, Hommage à Guillevic, deux peintures originales de Sylvère, Rivières — Aubarine — Kêr Levenez, octobre 2007, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 5 double f., 15,5x15cm, papier cristal. XX exemplaires. Exemplaire XV/XX justifié et signé par l’artiste et l'auteur au colophon au crayon gris et à l'encre. Belle impression sur Arches. Édition originale unique. Chaque exemplaire contient 2 peintures originales de Claude Sylvère. Ces deux poèmes d'Herri Gwilherm Kerourédan (1932-2008) ont été composés en août 2004 et 2006, à Kêr Levenez, en Bretagne, à la mémoire de son ami Eugène Guillevic (1907-1997), celui qu'on appelle volontiers le poète préhistorique, brut, et sculpteur du silence, ou encore le poète des menhirs, de ces immenses pierres dressées sur le sol de leur région natale, la Bretagne, qui occupe une partie considérable dans leur œuvre. L'ouvrage est omptueusement illustré par l’un des plus grands admirateurs de Guillevic, le peintre Claude Sylvère, à qui nous aurions pu prêter les mêmes qualificatifs ! Extraits : "Comme guillonnent les champs fleuris Le cinq de l'éost revenu Année mille neuf cent sept A Carnac là où se lèvent les menhirs Parleurs d'un océan d'éternités Tu viens de naître Eugène Et voici deux mille quatre du Christ Guillevic tu y foisonnes toujours l'ami Dans l'entrelacs des langues du monde De roses trémières pour nos étés" Kêr Levenez ce 5 août 2004 "Cinq doigts d'une main d'azur A l'heure solaire de la terre basse Et la sphère qu'englobe l'été En son mitan où le six roule Voici Guillevic à l'apogée du seul Chemin d'une fertile triade d'ombres Tenant parole sous les feuillées du matin" Ce 5 et 6 août 2006 Originaire du Pays Bigouden en Bretagne et de Touraine, né à Quimper en 1932, le poète Herri Gwilherm Kerourédan a aussi pour patrie d’élection la Probstei dans le Schleswig-Holstein où il a vécu de nombreuses années. Il a fait des études de musique (piano, violon, orgue), mais aussi de philosophie et de lettres à la Sorbonne. Ancien maire adjoint à la Culture et à l’Education de Fougères, puis Conseiller municipal de Rennes délégué à la coopération culturelle internationale, il a été professeur à l’Institut Français ainsi qu’aux Universités de Hambourg et de Kiel et expert européen de l’enseignement international. Il a écrit dans de nombreuses revues de poésie et de littérature. Il a également été publié dans diverses revues et anthologies nationales ou étrangères. Il a reçu en 2003 le Prix Georges Perros pour son ouvrage "Poèmes Traversiers". Il fut très proche de Pierre Jakez Hélias, Eugène Guillevic et du recteur Henri Le Moal et resta toute sa vie profondément attaché à la Bretagne, à son identité et à sa culture populaire. Claude Daix, dit Sylvère, est né à Soisy sur Montmorency (95). Formé à l’École Estienne (Arts et Industriels du Livre), à Paris, il travaille d’abord dans le milieu de l’imprimerie, mais aussi comme « spécialiste et technicien du geste » dans un bloc opératoire auprès de chirurgiens du fait de son incroyable dextérité, avant de s’installer dans le Gard, en 1974, et de se consacrer pleinement à l’art pictural. Il vit et travaille toujours à Aubarine — Rochegude, à quelques pas de Rivières de Theyrargues, où il a bien connu Pierre André Benoit, sans jamais pour autant concevoir le moindre livre avec lui. Paradoxalement, il en a réalisé plus de 300 avec le petit cousin de PAB, Jean-Paul Martin, pour les Éditions de Rivières et, à ce titre, est l’artiste contemporain qui a le plus illustré de textes inédits de Pierre André Benoit ! Après avoir rencontré Jean-Paul Martin, au Musée PAB, Sylvère l’aide à remonter la presse de son cousin et l’initie à la gravure. La proximité géographique de l’artiste et de l’éditeur va jouer un rôle prépondérant dans la riche collaboration entre les deux hommes. A l’occasion de notre rencontre avec Sylvère, en septembre 2023, l’artiste nous a confié que c’est par le poème Paroi de Guillevic, qu’il n’a pas personnellement connu, mais dont il déclamait les vers à haute voix sur la « montagnette », non loin de Rivières, qu’il a trouvé la source poétique de son art. Son art, que l’on pourrait qualifier de « préhistorique contemporain », « sans tomber dans un chamanisme de pacotille », selon Christian Skimao, s’inscrit dans un courant informel sur les traces de Bryen, Dubuffet, Fautrier, Hartung, ou Tapies, en y intégrant cependant des composantes de l’abstraction historique, la peinture américaine d’après-guerre. Selon Christian Skimao, il s’inscrit même « dans un courant plastique remontant au début de la création humaine ». Il travaille avec des matériaux proches de la terre : cendres, poussières, craies, argiles et les inclut dans ses compositions en ne respectant ni leurs usages traditionnels ni leurs destinations usuelles : « Sylvère épouse donc le corps radieux de la peinture comme on piétine une surface sacrée ». Exemplaire unique. Rarissime.
S.n., S.l. Mai 1909, 19,5x24,5cm, une page.
Deux poèmes autographes de jeunesse datés et signés de quatorze strophes chacun en alexandrins d'Abel Gance, alors âgé de 20 ans, 18 et 21 lignes écrites à l'encre violette pour chacun des poèmes ; ces poèmes rédigés sur une feuille détachée d'un cahier d'écolier. Au recto, le premier poème est daté du 3 Janvier 1909 et il est dédicacé à un couple d'amis : "A Myriam Deroxe à Victor Fransses pieux admirateurs de Salomé, ce témoignage d'un esprit comprenant presque leur enthousiasme. " Le second, au verso, est intitulé "Chanson vague" ; il est daté de Bruxelles du 28 Janvier 1909 ert signé AGance. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. Ces poèmes ont été probablement publiés en 1909 dans son seul et très rare recueil de poèmes : "Undoigtsurleclavier"alors qu'Abel Gance envisageait de débuter une carrière dans le théâtre à Bruxelles. "En ce temps Salomé vivait en Palestine, ... Ses yeux étaient de l'or dont on fait les douleurs, Elle avait une rose aux lèvres, des pâleurs, un corps souple et brûlant de volupté féline. ... Et dans ma vie... elle viendra... je crois la voir ! - Avait-elle un coeur ? Non, car c'était une femme ! Mais si pourtant... je me souviens... c'était un soir : " Le second, qui comporte une bande de scotch au niveau du titre, est également empreint de mélancolie : "Je laisserai ce soir un peu traîner des fleurs Sur le parvis de marbre où je viendrai l'attendre ; Mon coeur, doucement gris, sera si doux, si tendre Que pour glisser du monde à l'infini des pleurs Sur le parvis de marbre où je viendrai l'attendre ; Il suffira d'un peu de sa bouche à surprendre Je laisserai ce soir un peu traîner des fleurs..." Influencé par John Keats, Charles Baudelaire, et Arthur Rimbaud, Abel Gance, alors à Bruxelles pour poursuivre une carrière dans le théâtre, stoppe son activité poétique jugeant sa production trop impersonnelle et revient désespéré à Paris. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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MAGNIFIQUE COFFRET DIPTYQUE 2 POÈMES INÉDITS DE PIERRE ANDRÉ BENOIT [PAB] ENLUMINÉS DE TROIS PEINTURES ORIGINALES DE SYLVÈRE 1. Pierre André BENOIT, Les Géraniums de Châteaudun, 1 peinture originale de Sylvère, Rivières — Aubarine, octobre 2005, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 5 double f., 25x16,5cm + emboîtage éditeur. VIII exemplaires, tous uniques. Exemplaire n°V/VIII signé par l’artiste au colophon. Belle impression sur Arches. Édition originale. 2. Pierre André BENOIT, Les Oiseaux de Rivières, 2 peintures originale de Sylvère, Rivières — Aubarine, octobre 2005, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 6 double f., 25x16,5cm + emboîtage éditeur. VIII exemplaires, tous uniques. Exemplaire n°VIII/VIII signé par l’artiste au colophon. Belle impression sur Arches. Édition originale. Il s'agit des 301e et 302e livres imprimés par les Éditions de Rivières initiée en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de PAB. Ces deux poèmes de Pierre André Benoit, le premier écrit le 15 septembre 1971, l’autre sans date, ont été imprimés par Jean-Paul Martin en octobre 2005 et enrichis de trois peintures originales de Sylvère à pleine page, formant un triptyque, puis réunis dans un coffret en bois peint mauve par l’éditeur. "Tant de fleurs suspendues inaccessibles comme un désir jamais comblé la rue est monotone malgré ces grappes carminées et les pierres mortes parce que inhabitées je n’ai vu que des statues les vivants où cachés les jours anciens avaient dans leur lenteur une existence la rivière coule derrière une grille d’arbres l’héliotrope n’a presque plus d’odeur et les géraniums pendent à force de pleurer" "Les oiseaux sont à tout le monde chacun chante ce que ne chantent pas les autres Qui croit les voir à l’endroit n’aperçoit que l’envers J’ai voulu me mettre derrière et je n’ai vu qu’une ombre car tout du bon côté se révèle illusion Cette ombre qui prend forme enseigne et ouvre un chemin La présence est au bout La beauté que j’ai pu capter ne captive personne pas plus que les oiseaux Quand on ne peut pas les tuer" Claude Daix, dit Sylvère, est né à Soisy sur Montmorency (95). Formé à l’École Estienne (Arts et Industriels du Livre), à Paris, il travaille d’abord dans le milieu de l’imprimerie, mais aussi comme « spécialiste et technicien du geste » dans un bloc opératoire auprès de chirurgiens du fait de son incroyable dextérité, avant de s’installer dans le Gard, en 1974, et de se consacrer pleinement à l’art pictural. Il vit et travaille toujours à Aubarine — Rochegude, à quelques pas de Rivières de Theyrargues, où il a bien connu Pierre André Benoit, sans jamais pour autant concevoir le moindre livre avec lui. Paradoxalement, il en a réalisé plus de 300 avec Jean-Paul Martin pour les Éditions de Rivières et, à ce titre, est l’artiste contemporain qui a le plus illustré de textes de Pierre André Benoit. Après avoir rencontré Jean-Paul Martin, au Musée PAB, Sylvère l’aide à remonter la presse de son cousin et l’initie à la gravure. La proximité géographique de l’artiste et de l’éditeur va jouer un rôle prépondérant dans la riche collaboration entre les deux hommes. A l’occasion de notre rencontre avec Sylvère, en septembre 2023, l’artiste nous a confié que c’est par le poème Paroi de Guillevic, qu’il n’a pas personnellement connu, mais dont il déclamait les vers à haute voix sur la « montagnette », non loin de Rivières, qu’il a trouvé la source poétique de son art. Son art, que l’on pourrait qualifier de « préhistorique contemporain », « sans tomber dans un chamanisme de pacotille », selon Christian Skimao, s’inscrit dans un courant informel sur les traces de Bryen, Dubuffet, Fautrier, Hartung, ou Tapies, en y intégrant cependant des composantes de l’abstraction historique, la peinture américaine d’après-guerre. Selon Christian Skimao, il s’inscrit même « dans un courant plastique remontant au début de la création humaine ». Il travaille avec des matériaux proches de la terre : cendres, poussières, craies, argiles et les inclut dans ses compositions en ne respectant ni leurs usages traditionnels ni leurs destinations usuelles : « Sylvère épouse donc le corps radieux de la peinture comme on piétine une surface sacrée ». De toute rareté.
Litterature chinoise. 1976. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos abîmé, Intérieur frais. 108 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Deux poemes Mao Tsétoung - retour au mont tsingkang d'après le motif de chouei tiao keh teou - dialogue d'oiseaux d'après le motif de nien nou kiao - de magnifiques poemes qui nous inspirent dans les combats, yuan chouei-po - le secretaire du parti de la commune, tchen tchong-che - le casseur de montagnes, souen po - les petits arbres déménagent, sie tsong-nien - grands chefs, li yen-siang - la révolte des serfs, kao yuan - a propos du modelage de la révolte des serfs - une casquette portée par le président mao, sou tong-hai. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues