CHEZ L'AUTEUR. Non daté. In-4. Broché. Bon état, Couv. fraîche, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc et quelques-unes en couleurs, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 56-Catalogue
Reference : RO80037549
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Ensemble de 16 documents manuscrits autographes de formats très divers, rédigés entre 1923 et 1928.Très émouvant ensemble de manuscrits autographes de jeunesse de Jean-Louis Barrault, portant tous une date apposée par l’auteur postérieurement. L’ensemble se compose ainsi :1923- Souhaits, 2 pages, 193 x 151, poème en 7 strophes en vers, rédigé sur un feuillet extrait d’un cahier d’écolier, à la plume et à la mine de plomb. Jean-Louis Barrault n’a alors que 13 ans, il évoque ses parents et son frère, qui lui manquent cruellement : Mes parents sont très loin et c’est ce qui me touche Où est donc, bon Louis ton violon crispant Où sont donc les beaux airs, Max-Henry de « ta bouche » que tu chantais si bien en te débarbouillant Je regrette encore plus ma mère et ses tendressesOù le soir je disais : maman vient me baiserC’était, je vous assure, parmi de douces caressesQue dans mon lit bien chaud je me laissais bercer...- Texte en prose, 2 pages, 193 x 151, rédigé sur un feuillet extrait d’un cahier d’écolier, à la mine de plomb. Il y raconte les mésaventures du Comte Éristal de Beauregard amoureux de la belle Charlotte et qui termina « gardé par 4 soldats et attaché au mur par des chaines très fortes » en attendant le jour de son exécution.1924- Feuillet double extrait d’un cahier d’écolier, 194 x 151, contenant 3 textes distincts rédigés à l’encre rouge et à la mine de plomb. Le premier intitulé Le Bonheur, est un poème en prose de 12 vers dans lequel il évoque sa quête du bonheur. Le second poème, constitué de 5 strophes, parle avec humour du bonheur d’avoir un grand frère : « Je suis heureux d’être cadet / Car mon frère peut me protéger / Mais quelque fois il va trop près / car il prétend me maîtriser... Voyez-vous amis quand un frère / Voudrait vous martyriser / Je dis : ne vous laissez pas faire. / Par lui il faut s’améliorer. » Dans le dernier poème le jeune Jean-Louis ironise avec délice sur son nom de famille : « Je m’appelle Barrault. Barrault ? Barrault de chaise. / De chaise ou de fauteuil madame, à votre choise... ».1926- Une page, 200 x 170, rédigée à la mine de plomb et au crayon bleu, contenant notamment une définition très personnelle du bonheur : « Autre façon d’être heureux : la vie est un spectacle gai. C’est l’imagination qui fait tout... ».- Un fragment de page de brouillon, 90 x 195, rédigé à la mine de plomb, intitulé Le Secret du bonheur.- un fragment de brouillon, 110 x 86, rédigé à la mine de plomb, réflexion sur la notion d’ « abstrait » en littérature.- 4 pages sur un feuillet double, 300 x 195, rédigé à la mine de plomb. Il s’agit d’un rébus inventé par Jean-Louis Barrault alors âgé de 16 ans, comprenant de nombreux dessins.1927- 1 page extraite d’un petit carnet, 145 x 90, poème en vers intitulé Hommage à une présidente, rédigé à la plume.- 2 feuilles de papier à lettre bleu, 120 x 180, contenant deux poèmes en prose.- 1 page extraite d’un cahier d’écolier, 210 x 165, contenant une curieuse réflexion sur le football.- 2 pages et demi, 310 x 200. Écrivant à un ami qui lui demande de « donner une idée de la France et de tout ce qui la touche », Jean-Louis Barrault dévoile quelques détails de sa vie privée.1928- 1 feuillet extrait d’un cahier d’écolier, 210 x 165. Il s’agit d’une invitation à une réunion des anciens élèves de Chaptal, rédigée à la plume sous forme de lettre.- 1 feuillet rose, 120 x 180, contenant un poème en vers écrit à la plume. L’auteur y a ajouté des notes, dessins et essais de signature au crayon rouge et bleu.Sans date- 2 feuillets extraits d’un cahier d’écolier, 210 x 165. Il contient une réflexion intitulée Le But de ma vie.- Dessin à la plume non signé, intitulé escrime, 120 x 125.
[RENAUD, Madeleine].[BERNARD, Jean-Jacques.] — [GRANVAL, Charles.] — [SALACROU, Armand.]
Reference : 1332
- 2 L.A.S. de Jean-Jacques BERNARD (270 x 210), portant l’adresse du « 22, rue Eugène Flachat. XVIIe », Paris le 24 octobre 1938 et Paris le 28 octobre 1938.Fils du célèbre auteur dramatique et romancier Tristan Bernard (1866-1947), Jean-Jacques Bernard (1888-1972) s’adresse avec insistance à Madeleine Renaud pour lui proposer un rôle dans sa nouvelle pièce intitulée Louise de la Vallière, 3 actes et 10 tableaux, lui proposant le rôle principal de Louise : « Je ne doute pas que les hésitations que vous pouviez avoir devant le rôle effacé de La Vallière n’existeront pas devant un rôle aussi varié que Marie Stuart. »Malgré les courriers répétés, Jean-Jacques Bernard ne réussit pas à convaincre Madeleine Renaud ; la pièce fut en effet représentée au théâtre de l’Odéon pour la première fois le 13 mars 1945, avec dans le rôle titre Yvonne Gaudeau.Déchirure en bord de feuillet.- L.A.S. du comédien, sociétaire de la Comédie Française et metteur en scène Charles GRANVAL (1882-1943), également époux de Madeleine Renaud de 1922 à 1939, 2 pages in-4 (270 x 210), non datée, dans laquelle il s’excuse « auprès de J.L. [Jean-Louis Barrault] de descendre à son hôtel mais je voudrais l’hospitalité d’une nuit le temps de trouver (un jour sera suffisant pour cela) un coin. » Il veut savoir si Madeleine Renaud pouvait demander à Jean-Louis Barrault « de vouloir bien prévenir concierge (sic) de recevoir courrier Granval provisoirement à son hameau. » - L.A.S. de l’écrivain Armand SALACROU (210 x135), non datée, portant l’adresse du « 1bis Avenue Foch. XVIe Passy ». Il demande à Madeleine Renaud l’adresse de Jean-Louis Barrault : « Puis-je vous demander l’adresse de Jean-Louis ? Et de me dire s’il a reçu son manuscrit ? Je m’occupe toujours de sa période militaire, et c’est en bonne voie, mais j’aurais besoin de le joindre [...] nous répétons le 21 septembre...» La pièce évoquée ici est probablement Les Nuits de la Colère écrite par Armand Salacrou et mise en scène par Jean-Louis Barrault en 1946 au théâtre Marigny. Madeleine Renaud, qui jouait le rôle de Pierrette a ajouté une note manuscrite en marge de la lettre « j’ai répondu immédiatement en donnant ton adresse ».
3 lettres autographes signées d'Alphonse Chodron de Courcel. 1ère lettre : datée du 23 décembre 1910. 15 x 11,5 cm, 35 lignes. En tête Château d'Athis. 2ème lettre : 18 juin 1909, 18 x 11,5 cm, 41 lignes. 3ème lettre : 8 juillet 1912, en tête du sénat. 18 x 11,5 cm , 48 lignes. Très bon état.
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1 volume in-4° relié demi-toile verte, plats de bois bisautés illustrés. Médaillon représentant Sarah Bernhardt d'après Mucha sur le plat supérieur. Étui cartonné illustré. Gardes de papier gaufré représentant une grue. Très belle réalisation de Style ART NOUVEAU. Édition illustrée de 28 portraits de contemporains. Les portraits et les notices biographiques sont de M. Paul Acker, les illustrations de Vogel, les ornements d'Albert-Dys, Orazi et Fraikin, les autographes proviennent de la collection Lefèvre-Utile recueillis par MM. R. Stenger et G. Haranchipy. Certains portraits photographiques sont de Nadar, Boyer, Reutlinger. Tirage sur beau papier vergé. Portraits sous serpentes sur papier glacé fort. Très bon état.
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Pio Baroja, Ayer y Hoy - exceptionnel exemplaire enrichi de corrections autographes, d'un envoi, de lettres autographes signées et documents divers. Santiago de Chile, Ediciones Ercilla, 1939. In-12, 245p. Edition originale de ce recueil d'articles et essais publiés depuis son exil en France. L'ouvrage est curieusement édité au Chili où réside toutefois une forte communauté espagnole et même basque espagnole. Pleine d'erreurs, une seconde édition est faite dès 1940, toujours par Ercilla, avec les corrections de Baroja. La famille possède toujours un exemplaire de l'édition de 1939 avec les corrections autographes de Baroja (conservé à la bibliothèque d'Itzea, maison natale de Pio Baroja). Notre exemplaire est enrichi d'un envoi autographe de Pio Baroja à Manoel Gahisto (1878-1948), un important traducteur des années 1910-1940 (du portugais et de l'espagnol vers le français principalement). « A mi querido amigo y colega Manoel Gahisto, Pio Baroja » [A mon cher ami et collègue]. Notre exemplaire est aussi enrichi de nombreuses corrections autographes de l'auteur. Nous en avons compté sur 47 pages : une ou plusieurs corrections par page, parfois purement typographiques, parfois intéressantes. Il serait probablement intéressant de comparer cet exemplaire avec celui conservé par la famille. Cette édition, en elle-même, est déjà rarissime. En dehors de l'exemplaire conservé par la famille, il ne nous a pas été permis d'identifier beaucoup d'exemplaires (un aux USA ?, Bibliothèque Nationale d'Espagne). Nous n'avons trouvé la trace d'aucun autre exemplaire passé sur le marché. Notre exemplaire est aussi enrichi de deux belles lettres autographes signées, une page A4 chacune, toujours à Manoel Gahisto. La première est datée du 6 juin 1939. Il le remercie pour un article d'Antonio Gellini, traduit par Gahisto, publié dans le Mercure de France du 1er juin 1939 (p.498-499). La seconde lettre, du 26 septembre 1939, mentionne notamment son voyage prochain en Argentine et son ami Antonio Gellini. Concernant Gellini : il avait publié dans la revue « Nosotros » de fevrier 1939 (seconde série, n°35) un article sur Pio Baroja. C'est cet article qui a été traduit (il était originellement en espagnol). On joint le manuscrit autographe de Gahisto de cette traduction, 12p A4. Le papier est ici très jauni, parfois affaibli. Gahisto avait récupéré les pages d'une revue pour écrire au dos. Ce qui est intéressant c'est que le Mercure de France ne l'a que très partiellement reproduit (moins de 2 pages dans la revue). Le manuscrit est signé Antonio Gellini mais il est bien de la main de Gahisto. On joint 4 brouillons de réponses de Gahisto. Un brouillon du 9 juin 1939, 2p A4 tapuscrites avec quelques lignes autographes à un ami (Roberto Giusti (1887-1978) ?), mentionnant la traduction de l'article de Gellini et la lettre de Pio Baroja du 6 juin. Un brouillon de la réponse à Pio Baroja, daté du 15 juin 1939, 1pœ A4, bords du papier jauni et affaibli. Deux brouillons différents de la réponse à Pio Baroja, datés du 13 octobre 1939 (2p A4) et du 14 octobre 1939 (3pœ in-8) autour de son livre « Ayer y Hoy ». Il a donc repris entièrement le premier texte. Ouvrage d'une grande rareté, truffé d'autographes de Baroja et autour de Baroja. Exceptionnel ensemble, UNIQUE.
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