TALLANDIER Jules. 1954. In-16. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 221 pages.. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
Reference : RO80023936
Les Heures Bleues. Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
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Tallandier.. 1954. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos frotté, Quelques rousseurs. 221 pages, couverture illustrée couleur.. . . . Classification Dewey : 843.085-Le roman sentimental
Collection Les Heures Bleues. Classification Dewey : 843.085-Le roman sentimental
Tallandier 1954 in12. 1954. broché.
Couverture défraîchie pages jaunis
Lucien Vogel éditeur, Paris Avril 1920, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris, Pierre de Ronsard, 1948 (Les Druides) In-12 broché, 61 pages, non coupé, dédicace manuscrite de l'auteur au poète Armand Godoy
Lettre autographe signée de 2 pages, datée de Gisors le 9 août 1930 : "Ami, Reçois l'accolade de tout coeur et puisque nous voilà Chevaliers de la Croix d'Honneur il ne nous manque plus que le cheval et la Croix. Celle-ci va me porter en Amérique du Sud vers nos frères latins. Nous partons le 5 7bre et nous débuterons à Rio avec "La Passion" puis "L'Arlésienne", "Oedipe-Roi", "Le Cid", "Shylock", magnifiques oeuvres que je suis heureux d'aller faire applaudir là-bas pour la première fois ! Si tu es libre demain lundi soir, viens dîner avec nous chez Jacquet le restaurant qui se trouve au 206 Bd. Raspail. Nous y prenons nos repas depuis que Riella nous a quitté. Ou même viens déjeuner à midi 30 nous y serons en ce moment nous faisons la navette Paris Gisors ma belle-maman étant toujours couchée. Riella rentrera vers le 17 après 6 mois !!! [ ... ] Cagyre t'envoie un layrou de plaisir en attendant d'aller garder les vaches à Jegun". [ On joint : ] Une carte de visite avec mention autographe signée : Mon cher Ami Voici deux places pour la 1ère de Franz Hals demain Dimanche [... ] Pour t'éclairer sache que Sacha m'a offert un fromage rouge de Hollande! deux flacons d'anisette verte, un de Scherry-Brandy un autre de [ ... ] quand voudras-tu me dire si tout cela est buvable ?"
Belle L.A.S. de l'acteur de la Comédie Française Romuald Joubé (1876-1949), adressée à l'écrivain, maire de Jegun (Gers), Pierre Louit. Romuald Joubé surnommait sa fille Gabrielle "Riella".