FILLASTRE FRERES,. Non daté. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 4 pages de partitions accompagnées des paroles en anglais. Quelques traces d'humidité en marges. Tampons. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Reference : RO80022373
Ballade imitée du russe. Partition originale de l'époque de la Restauration. Classification Dewey : 780.26-Partitions
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Paris, Michel Houdiard Editeur, 2005, 14 x 22, 310 pages sous couverture souple illustrée. Traduction et introduction de Claudine Lesage. ""Je voulais, avant mon propre départ, raconter l’histoire d’un marin qui s’en revient au pays", avait écrit Joseph Conrad. C’est ce pèlerinage aux jours enfuis de l’enfance que raconte Le Forban, son ultime roman. Peyrol, le forban, après une vie d’aventures dans les mers de l’Inde, débarque à Toulon. La Révolution a fait son œuvre, apportant son lot de bouleversements et d’inévitables massacres. Peyrol, blasé et fort de son expérience passée de frère de la Côte, prend la mesure d’un pays qui est le sien et qu’il redécouvre après cinquante années d’errance. Portant sur lui un trésor de pièces d’or pris sur l’ennemi et qu’il ramène au pays, il décide de se retirer définitivement du monde et de rejoindre le rivage qui l’a vu naître, celui de la presqu’île de Giens. Il trouve refuge à la ferme-auberge de l’Escampobar habitée par deux femmes : la jeune Arlette et sa tante Catherine, qui veille sur elle. Scevola, ex-révolutionnaire, se prétend propriétaire des lieux. Ce qui s’est passé entre les parents d’Arlette et lui durant les journées du siège de Toulon sera petit à petit révélé au fil des pages : l’atroce expérience a mené Arlette aux portes de la folie. Quelques années plus tard alors que la flotte anglaise bloque le port de Toulon et que se prépare la bataille de Trafalgar, arrive en mission à la ferme, un fringuant lieutenant de vaisseau…"
Très bon état.
Paris, Moutardier, rue Gît-le-Coeur, n°4, 1829. 1 vol. in-8 de (4)-III-331 pp., demi-basane verte, dos à nerfs (relié vers 1860).
Édition originale avec titre de relais à la date de 1839 et mention de deuxième édition.L'ouvrage fut supprimé dès sa parution. L'éditeur précise dans sa préface : « Le lecteur qui se nourrit des Mémoires de Vidocq et de ses familiers pourra-t-il goûter les charmes des productions d'une imagination réglée et brillante ? Non sans doute : il faut pour dessiller ses yeux, pour le détourner de la fausse route, il faut qu'il voie l'horreur jusque dans sa dégoûtante nudité (…). Les Mémoires d'un Forban philosophe peuvent en ce sens être considérés comme un véritable antidote contre la dépravation du goût ; c'est le dernier degré d'horreur auquel on puisse arriver. Jamais on a produit rien de plus épouvantable : licence de la soldatesque, débordements des lieux de débauche, infamies des prisons et des galères, meurtres, crimes, trahisons, assassinats. L'éditeur espère que ces Mémoires seront le dernier sacrifice offert au goût du jour, et que la littérature des criminels sur son déclin pâlira désormais devant le dégoût du public éclairé ».Ce roman virulent et subversif est, pour partie, rédigé en argot. Il est célèbre pour avoir été utilisé par Victor Hugo dans Les Misérables et dans Le Dernier Jour d'un condamné. Dans l'inventaire de la bibliothèque de Victor Hugo à Guernesey, rédigé par Julie Chenay, l'ouvrage est attribué à un certain R. Buchez.« Les Mémoires d'un forban philosophe ne sont autre chose que la vie d'un marin célèbre qui a passé par toutes les étamines : infamie des prisons et des galères, meurtres, crimes, trahisons, assassinats, tout s'y trouve mis au grand jour par l'auteur lui-même, qui rachète en quelque sorte ses forfaits par des réflexions philosophiques, trop hardies, sans doute, mais qui relèvent toujours son récit » (catalogue de l'éditeur en 1835).Cellard, Anthologie de la littérature argotique, p. 103 : « L'histoire de l'ouvrage est enveloppée d'obscurité. Sitôt paru, il est saisi et détruit par la police de Charles X ; non pas pour des raisons de convenance sociale (l'argot et le récit lui-même), mais pour des raisons politiques. Inconnu de nous jusqu'à de meilleures recherches, l'auteur ne l'était certainement pas de la police royale, qui devait le tenir à juste titre pour un républicain dangereux ».Bon exemplaire. Quelques rousseurs.Yve-Plessis, Bibliographie raisonnée de l'argot, nº120 : « Cet ouvrage fut supprimé dès son apparition. On y rencontre beaucoup de passages argotiques ».
Paris, Moutardier, rue Gît-le-Coeur, n°4, 1829. 1 vol. in-8 de (4)-III-(1)-331 pp., demi-veau brun à petits coins, dos orné à nerfs (reliure de l'époque).
Édition originale rare. L'ouvrage fut supprimé dès sa parution.L'éditeur précise dans sa préface : « Le lecteur qui se nourrit des Mémoires de Vidocq et de ses familiers pourra-t-il goûter les charmes des productions d'une imagination réglée et brillante ? Non sans doute : il faut pour dessiller ses yeux, pour le détourner de la fausse route, il faut qu'il voie l'horreur jusque dans sa dégoûtante nudité (…) Les Mémoires d'un Forban philosophe peuvent en ce sens être considérés comme un véritable antidote contre la dépravation du goût ; c'est le dernier degré d'horreur auquel on puisse arriver. Jamais on a produit rien de plus épouvantable : licence de la soldatesque, débordements des lieux de débauche, infamies des prisons et des galères, meurtres, crimes, trahisons, assassinats. L'éditeur espère que ces Mémoires seront le dernier sacrifice offert au goût du jour, et que la littérature des criminels sur son déclin pâlira désormais devant le dégoût du public éclairé ».Ce roman virulent et subversif est, pour partie, rédigé en argot. Il est célèbre pour avoir été utilisé par Victor Hugo dans Les Misérables et dans Le Dernier Jour d'un condamné. Dans l'inventaire de la bibliothèque de Victor Hugo à Guernesey, rédigé par Julie Chenay, l'ouvrage est attribué à un certain R. Buchez. « Les Mémoires d'un forban philosophe ne sont autre chose que la vie d'un marin célèbre qui a passé par toutes les étamines : infamie des prisons et des galères, meurtres, crimes, trahisons, assassinats, tout s'y trouve mis au grand jour par l'auteur lui-même, qui rachète en quelque sorte ses forfaits par des réflexions philosophiques, trop hardies, sans doute, mais qui relèvent toujours son récit » (catalogue de l'éditeur en 1835).Cellard, Anthologie de la littérature argotique, p. 103 : « L'histoire de l'ouvrage est enveloppée d'obscurité. Sitôt paru, il est saisi et détruit par la police de Charles X ; non pas pour des raisons de convenance sociale (l'argot et le récit lui-même), mais pour des raisons politiques. Inconnu de nous jusqu'à de meilleures recherches, l'auteur ne l'était certainement pas de la police royale, qui devait le tenir à juste titre pour un républicain dangereux ».Signature de l'époque Mondoz répétée au titre, Avis de l'éditeur, Introduction, et dernier feuillet.Très bon exemplaire sans rousseur.Yve-Plessis, Bibliographie raisonnée de l'argot, nº120 : « Cet ouvrage fut supprimé dès son apparition. On y rencontre beaucoup de passages argotiques ».
Imprimerie montsouris / Collection printemps in12. Sans date. Agrafé. 64 pages. Bon Etat couverture couleur illustrée