DE GIGORD J. 11ème édition. 1923. In-12. Cartonné. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 658 pages. Dos toilé rouge. Coins et tranches des plats frottés. . . . Classification Dewey : 870-Littératures des langues italiques. Littérature latine
Reference : RO80020232
Bucoliques - Géorgiques - Enéides. Classification Dewey : 870-Littératures des langues italiques. Littérature latine
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L’édition originale de cette traduction en vers français des Œuvres de Virgile. Précieux exemplaire conservé dans son vélin doré de l’époque à recouvrement. Paris, Guillaume Auvray, 1582.In-4 de (20) ff., 354 ff. mal chiffrés 352. Petite galerie de vers marginale dans les derniers cahiers sans atteinte au texte. Relié en plein vélin souple de l’époque à recouvrement, double filet doré encadrant les plats, médaillon doré central feuillagé, dos lisse orné de filets et fleurons dorés, tranches dorées. Reliure de l’époque. 237 x 155 mm.
Édition originale de cette traduction française des Œuvres de Virgile comprenant les Bucoliques, les Géorgiques et l’Enéide. Brunet, V, 1301; Frère, Manuel du bibliophile normand, I, p.9. Cette traduction en vers est due aux frères Robert et Antoine Le Chevalier d’Agneaux. L’Enéide commence par un titre à part orné de la marque de Guillaume Auvray. «Antoine Chevalier, surnommé d’Agneaux, natif de Vire en Normandie, frère puiné de Robert Chevalier, &c. Ils ont tous deux traduit fort doctement les œuvres de Virgile en vers François, avec la vie dudit Virgile, imprimées à Paris en 1582, chez Perier et Auvray. J’entends qu’ils traduisent aujourd’hui les œuvres d’Horace. Ils florissent cette année 1584, & s’étudient à profiter au public de tout leur pouvoir». (Les Bibliothèques françaises de la Croix du Maine, p. 32) «The two brothers are celebrated as the first translators of Virgil into French verse. They were born at Vire in Normandy, and studied together, the one law and the other medicine, at Paris, Poitiers, Montpellier and Toulouse. After travelling together over great part of France, they retired to their native province, and gave themselves up to literature. In 1582 they produced their translation of the whole works of Virgil, which gained them a high reputation. It appeared at Paris with a dedication to Henri III, and was shortly after reprinted, accompanied with the Latin text. Vauquelin so greatly admired it, that he exclaims in his ‘Art Poëtique’:’Apollon même avoue, Qu’en eux se reconnait le Cigne de Mantoue’. The success of their first production encouraged the brothers to undertake a version of the Odes of Horace…” (The biographical Dictionary, p. 458). «Quelques personnes recherchent encore la traduction de Virgile, en vers, par les frères Robert et Antoine Le Chevalier d’Agneaux, 125 fr. Solar» (Brunet). Très belle édition, admirablement imprimée en italiques. Le titre est orné de la grande marque de Guillaume Auvray. De nombreuses lettrines ornées ainsi que d’élégants bandeaux gravés sur bois ornent la présente édition. «Virgile est l’ami du solitaire, le compagnon des heures secrètes de la vie... Les tableaux de Virgile ne sont pas bornés à de certaines perspectives de la vie; ils représentent toute la nature: ce sont les profondeurs des forêts, l’aspect des montagnes, les rivages de la mer, où des femmes exilées regardent, en pleurant, l’immensité des flots...» Chateaubriand. «Et notamment Vergile en ses Géorgiques que j’estime le plus plein et acomply de la Poësie» (Montaigne, Essais, II, 10). Montaigne admirait tout particulièrement la poésie de Virgile. Il intitula d’ailleurs un de ses essais Sur des vers de Virgile. Très bel exemplaire, grand de marges, conservé dans son vélin doré de l’époque à recouvrement, de ce beau recueil poétique très évocateur du XVIe siècle français. Provenance: Congrégation des missions à Bordeaux avec ex libris manuscrit à l’encre d’une main du XVIIIe siècle sur le titre et la mention cat inscript; ex libris manuscrit du XVIIIe siècle sur la dernière garde.
Premier tirage de cette superbe édition en français des Œuvres de Virgile, avec l’Eneide traduite par Octavien de Saint-Gelais, ornée de plus de 150 gravures «très finement exécutées». (Brun, Le livre français illustré de la Renaissance). Paris, Jehan Petit pour Oudin, 1540.Petit in-folio gothique de (2) ff. préliminaires dont le titre-frontispice imprimé en rouge et noir, 76 ff. ornés de 53 gravures dans le texte, 125 ff. (petite restauration au titre sans manque) ornés de 106 gravures dans le texte, (1) f. Maroquin rouge à grain long, double encadrement de double filet à froid, large fleuron doré au centre des plats, fleurons dorés aux angles, dos à nerfs orné de fleurons dorés, double filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorés sur marbrure. Reliure signée de Capé. 291 x 193 mm.
Précieuse seconde édition française illustrée de l’œuvre complète de Virgile. La traduction en vers sur deux colonnes (la première date de 1529) est due, pour les Bucoliques et les Géorgiques à Guillaume Michel dit de Tours, et pour l’Eneide à Octavien de Saint Gelais. Cette dernière partie commence par un titre à part orné d’un bois représentant l’auteur. Tchemerzine (V, 633), cite cette édition sans mentionner l’imprimeur de cet exemplaire, Jehan Petit. Brunet (v, 1300) ne mentionne pas non plus cet imprimeur. Très soigneusement imprimée en gothique, l’édition présente en marge du texte français, le texte latin en caractères romains. Beaucoup plus illustrée que la première édition (une vingtaine de figures), celle-ci est ornée de 159 remarquables figures gravées sur bois en premier tirage, de la largeur d’une colonne, «très finement exécutées» (Brun, Le Livre français illustré de la Renaissance, 312). Les Bucoliques et les Géorgiques sont illustrées de 53 gravures illustrant la vie rurale et les travaux des champs, certaines se répétant à partir de 24 bois différents. L’Eneide est illustrée de 106 fines gravures sur bois (75 x 56 mm) suivant fidèlement le texte et donnant le nom des différents personnages sur des phylactères. Le titre général est inséré dans un grand portique architectural à médaillons au nom de Jehan Petit (Renouard 904). Il est orné des armes royales et des armes de la ville de Paris. Le dernier feuillet présente la grande marque de Iehan Petit aux 2 lions portant l’écu à la fleur de lis (108 x 82 mm). Octavien de Saint-Gelais, né à Cognac, vers 1466, d’une famille qui prétendait descendre de l’ancienne maison de Lusignan, en Poitou, fit ses études à Paris, embrassa l’état ecclésiastique, se livra néanmoins à la poésie. Sa naissance et ses talents l’introduisirent à la cour de Charles viii. Ce prince le goûta et le fit nommer, en 1494, à l’évêché d’Angoulême par le pape Alexandre vi, à qui le chapitre avait remis son droit de nomination. Saint-Gelais renonça dès lors aux frivolités de la jeunesse; et deux ans après, il alla remplir les fonctions épiscopales, avec édification, dans son diocèse, où il mourut en 1502. «Il avait passé pour un des plus grands poètes de son temps». «Virgile est l’ami du solitaire, le compagnon des heures secrètes de la vie… Les tableaux de Virgile ne sont pas bornés à de certaines perspectives de la vie; ils représentent toute la nature: ce sont les profondeurs des forêts, l’aspect des montagnes, les rivages de la mer, où des femmes exilées regardent, en pleurant, l’immensité des flots…» Chateaubriand. Très bel exemplaire d’un ouvrage fort rare, l’un des illustrés français du XVIe siècle les plus raffinés, finement relié en maroquin rouge orné par Capé, l’un des plus fins relieurs parisiens du Second Empire.
Paris et Lyon, Cormon et Blanc, 1838. In-4 de XCVI-1112 pages, demi maroquin à coins, dos à nerfs richement orné de filets, fleurons et semis de points dorés, tranches dorées. Quelques rousseurs. Elegante reliure signée Petit, successeur de Simier.
Bel exemplaire de cette édition qui renferment les oeuvres de Virgile en six langues.
A Paris, Chez Denys Thierry et Claude Barbin, 1668 & 1681. 2 volumes petit In/4, reliure de l’époque en plein veau brun, dos à nerfs orné, tranches mouchetées de rouge, T. I , 1668 - 5 ff. n. ch., 266 pages, 115 pages, "Lettre de monsieur Bochart à monsieur de Segrais ou dissertation sur la question si Ene'e a jamais esté en Italie" ; T. II , 1681- 2 ff. n. ch., 283 pages, 45 pages, "Remarques sur les 6 derniers Livres de L’Enéïde". Quelques nerfs avec des usures. Mouillure claire affectant la marge de qq. ff. Ex-libris arraché en page de garde. Belle impression, très aérée avec bandeaux et lettrines et culs de lampes. Beau frontispice au tome 1. Traduction par Mr. Segrais. Les 115 dernières pages du tome 1 contiennent : Lettre de Monsieur Bochart à Monsieur De Segrais. Les 45 dernières pages du tome 2 : Remarques sur le septième livres de L’Enéïde.
Offrir à Rome une épopée nationale capable de rivaliser en prestige avec l'Iliade et l’Odyssée, tel est le premier défi que Virgile avait à relever en entreprenant l’Enéide au cours des 11 dernières années de sa vie. Mission réussie, puisque, l’œuvre à peine publiée, son auteur fut communément salué comme un alter Homerus, le seul capable de disputer à Homère sa prééminence au Parnasse.2 volumes in one book in full contemporary brown calf, ribbed spine with gilt panels , red spoted edges, T1 : [5] 266 p., 115 p. - T2 : [2] 283 p., 45 p. Flaws : some back strips worn, waterstain on some sheets. Fine printing, head-pieces, tail-pieces & woodcut initials. Bibliography : Quérard, X, p.244.
Garnier frères 1891 493 pages 1891. 493 pages.