PANGE. 1993. In-16. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 127 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : RO80015578
ISBN : 2950515517
Le roman d'un parfum. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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, Brepols, 2022 Paperback, 287 pages, Size:156 x 234 mm, Illustrations:2 b/w, Language(s):French, Spanish. ISBN 9782503590264.
Summary Bien que la dérision s'inscrive aux marges du corpus littéraire et artistique sur Alexandre, il existe une veine comique qui rabaisse le souverain le plus prestigieux de l'Antiquité, avec une tonalité joyeuse ou bien plus grave et accusatrice. Si elle ne cesse d'évoluer au fil des siècles tant le rire, l'irrévérence et la satire sont ancrés dans l'historicité, elle s'affirme, dans ses différentes incarnations esthétiques, comme un discours parallèle, un discours d'à côté, qui devient parfois un véritable contre-discours. L'objet de ce volume est ainsi d'entamer une analyse diachronique - qui n'a encore jamais été menée - des modes de dérision à l'encontre d'Alexandre et de ce qu'il incarne, de leurs significations et de leurs motivations. Comique divertissant, célébration paradoxale d'une icône de la royauté, satire politique de la mégalomanie et de l'autoritarisme, ou parodie révélatrice d'un rejet de conventions esthétiques et de leurs instrumentalisations politiques et culturelles : les écritures visuelles et textuelles de la dérision à l'encontre du grand Alexandre le Grand engagent tous ces aspects depuis l'Antiquité. TABLE OF CONTENTS Catherine Gaullier-Bougassas, Hélène Tropé, Qui nous délivrera du grand Alexandre le Grand ? I. Les railleries d'adversaires et les limites de la dérision d'Alexandre Patrizia De Capitani, Alexandre tourné en dérision dans la culture italienne du Moyen Âge et de la Renaissance Diane Cuny, Alexandre et Diogène. Dérision, morale et humour Margaret Bridges, Alexandre « enfant » face à Nicolas et Darius : variantes du rire au Moyen Âge anglais Maureen Attali, Alexandre dupé dans la littérature rabbinique de l'Antiquité tardive : un compromis entre déférence et autocensure Marcin Kurdyka, Alexandre dupé. Le conquérant macédonien dans la Chronica Polonorum de Vincent Kad?ubek (début du XIIIe siècle) II. Ironie, intentions satiriques et jugements des auteurs Corinne Jouanno, « Alexandre le Petit ». Fragments d'un discours de dérision sur Alexandre dans la tradition anecdotique ancienne et à Byzance Catherine Gaullier-Bougassas, Alexandre post-mortem et la dérision : des romans médiévaux aux premières traductions et adaptations françaises de Lucien de Samosate Gilles Polizzi, Alexandre-Picrochole : variations d'un topos, de Thenaud à Rabelais (1517-1535) Germán Redondo Pérez, Desmitificación y parodia de Alejandro Magno en la traducción castellana realizada por Juan de Aguilar Villaquirán del Diálogo entre Alejandro y Filipo de Luciano (1617) Dominique Bertrand, Les glorieuses « rencontres » de Dassoucy dans sa dédicace à « l'Alexandre des Alexandres » : rire de Louis XIV ou rire avec Louis XIV ? Florent Gabaude, Le mythe d'Alexandre le Grand tourné en dérision par Arno Schmidt au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale Constantin Bobas, Fâcheux et / ou facétieux avatars du mythe et de l'histoire dans le film Alexandre le Grand de Théo Angelopoulos, III. Burlesque, héroï-comique et parodie Samuel Fasquel, Alexandre face à Diogène et Clitus. Quevedo et la caricature de l'empereur Hélène Tropé, Un Alexandre de plus en plus tourné en dérision : de la comédie palatine de 1651 de Pedro Calderón Darlo todo y no dar nada (Tout donner et ne rien donner) à la comédie burlesque homonyme de Pedro Francisco Lanini Sagredo (1653) Fernando Domenech, La Mojiganga de Alejandro Magno, de José de Cañizares, y la tradición burlesca Catherine Dumas, L'abaissement d'Alexandre, ou la déconstruction burlesque du héros dans The Rival Queans de Colley Cibber (vers 1710) Benoît Abert, La Mort de Bucéphale de Pierre Rousseau : la dérision par la discordance Liliane Picciola, De la farce à la parodie : la métamorphose d'Alexandre en Sallemandre dans Alexandre le Grand ou Le Paysan Roi, de Henri-Jean Roullaud (1751) Index
<p>«Le rire est le propre de l'homme« selon Rabelais. On pourrait même jurer qu'il est le propre de notre époque. Après tout, l'humour et la dérision sont partout, sur la scène comme sur les bancs de l'Assemblée Nationale, en passant évidemment par nos écrans. Le rire, une passion moderne ? Son omniprésence dans l'Athènes de l'époque classique suffit à démentir ce postulat : la parrhèsia - la liberté de tout dire - y était portée comme un étendard, loin du politiquement correct de nos contemporains. C'est d'ailleurs là que, pour la première fois, des penseurs comme Platon ou Aristote, ont pris le rire au sérieux. Cet ouvrage les prend au (bon) mot. Son but ? Démêler les liens charnels qu'entretiennent dérision et politique dans la cité démocratique. Jean-Noël Allard fait dialoguer Aristophane et Bourdieu, Démosthène et Habermas, Xénophon et Durkheim ; et dessine le portrait d'une communauté profondément structurée par le rire. Entre joutes verbales et plaisanteries subtiles, invectives tribuniciennes et railleries démagogiques, caricatures comiques et injures dionysiaques, le lecteur découvrira, sans ironie, l'un des fondements oubliés de la démocratie : la moquerie comme art de vivre, la dérision comme institution. </p> Paris, 2021 Belles Lettres 350 p., broché à rabats. 15 x 21,5
Neuf
Bureau de la revue. Septembre 1949. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 328 à 479.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Littérature de dérision ou littérature de résurrection ? - Repère pour une littérature de dérision par Bertrand d'Astorg, D'un romanesque concentrationnaire par Jean Cayrol, Un romancier de la passivité, François Mauriac par C.E. Magny, Le prolétariat, mythe ou réalité par Henri Bartoli Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Esprit, Paris Septembre 1949, 14,5x22,5cm, broché.
Edition originale du numéro de cette importante revue humaniste fondée par Emmanuel Mounier, un des 50 exemplaires numérotés sur alma du Marais, seuls grands papiers. Ce numéro comporte un principale partie : -Littérature de dérision ou littérature de résurrection avec des textes de Bertrand d'Astorg "Repères pour une littérature de dérision", Jean Cayrol "D'un romanesque concentrationnaire", C.E. Magny "Un romancier de la passivité : François Mauriac", Autres articles de Henri Bartoli "Le prolétariat, mythe ou réalité ?", Adrian Miatlev "Tryptique pour Antonin Artaud". Taches sur le deuxième plat, quelques petites rousseurs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Fayard, 2000 - Fort et grand in octavo broché de 637 pages, notes et important index in fine, très bel ouvrage .
Le rire est une vertu que Dieu a donnée aux hommes pour les consoler d'être intelligents, disait Marcel Pagnol. Une vertu qui a plus de deux mille ans, comme en témoignent les recueils d'histoires drôles dont Grecs et Romains étaient déjà friands. Mais peut-on rire de tout oe Oui, affirme Démocrite, dont le rire désabusé a des accents étonnement modernes. Oui, dit aussi Cicéron qui répertorie mille façons de faire rire. Non, proclament en revanche les pères de l'Eglise, car le rire est un phénomène diabolique, une insulte à la création divine, une manifestation d'orgueil. Leurs arguments ne sont cependant guère entendus au Moyen Age :.les rois s'entourent de fous, les hommes jouent à se moquer les uns des autres lors des charivaris, et l'humour, qui n'est encore que parodie, se glisse même dans les sermons des prédicateurs.Avec Rabelais apparaît une autre façon de rire, un rire ambigu qui ébranle toutes les certitudes et se prolonge au-delà de la Renaissance, tour à tour picaresque, grotesque, burlesque. La monarchie absolue veut faire rentrer les rieurs dans le rang. Mais peut-on domestiquer le rire oe Déguisé en humour acide, il ronge peu à peu les fondements du pouvoir et de la société. C'est tout naturellement qu'au XIX° siècle il trouve son terrain de prédilection dans la satire politique, tandis que les philosophes dissèquent ses vertus, parfois pour les déplorer, et que Baudelaire recherche le " comique absolu ". L'ironie devient un mode de relation entre l'homme et le monde. Elle protège contre l'angoisse et l'exprime en même temps. " Je ris avec le vieux machiniste Destin ", écrit Victor Hugo qui fixe en des formules immortelles l'ambiguïté du rire. Avec les Zutistes, Fumistes et autres J'menfoutistes, le XIX° siècle s'achève sur une apothéose du rire insensé. Le monde désormais va tout tourner en dérision, ses dieux comme ses démons.Georges Minois, professeur d'histoire et historien des mentalités religieuses, est l'auteur de nombreuses synthèses sur le culture occidentale. Il est en particulier l'auteur de "l'Histoire de l'athéisme" - Bon Etat Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.