‎DEVILLERS Michel‎
‎Angers.‎

‎OUEST FRANCE. 1977. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages. Quelques planches de photos en couleurs hors-texte. Quelques plans en noir et blanc dans le texte. Petit accroc sur le 1er plat de couverture .. . . . Classification Dewey : 908.4416-Régionalisme : Pays-de-Loire‎

Reference : RO80014154
ISBN : 285882021X


‎Photos d'Hervé Champollion Classification Dewey : 908.4416-Régionalisme : Pays-de-Loire‎

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‎PORT (Célestin)‎

Reference : 10462

(1870)

‎Cartulaire de l'hôpital Saint-Jean d'Angers, précédé d'une notice historique sur cet Hôtel-Dieu‎

‎Paris et Angers, Librairie J. B. Dumoulin; P. Lachèse, Belleuvre et Dolbeau, 1870. 920 g In-8, demi maroquin rouge à coins, dos à faux-nerfs, tête dorée, [2] ff., 96-clxxxiii pp.. Ouvrage très rare tiré à 100 exemplaires seulement. . (Catégories : Anjou, )‎


Phone number : 06 17 93 27 81

EUR250.00 (€250.00 )

‎[Germain & G. Grassin] - ‎ ‎URSEAU, Chanoine Ch.‎

Reference : 59905

(1899)

‎[ Lot de 6 titres ] Chronique d'une Petite Paroisse au XVIIIe siècle. Le Registre de Sainte-Catherine de Brézé 1720-1751 [ On joint : ] Les expressions Electus Episcopus et Dictus Episcopus dans les chartes des Evêques d'Angers [ On joint : ] L'idée d'une Congrégation religieuse d'Artistes chrétiens à Angers au milieu du XVIIIe siècle [ On joint : ] Cinq lettres patentes extraites des Archives de la Seigneurie du Pimpéan en Anjou [ On joint : ] Une Cérémonie civique. La Fête des Epoux à Brain-sur-Allones le 10 Floréal an VI [ On joint : ] Le Musée Saint Jean d'Angers. Les Bâtiments, les Collections, les pièces les plus curieuses‎

‎Chronique d'une Petite Paroisse au XVIIIe siècle. Le Registre de Sainte-Catherine de Brézé 1720-1751, exemplaire sur papier de hollande, Extrait de la Revue de l'Anjou, 1 vol. in-8 br., Germain & G. Grassin, Angers, 1899, 66 pp. [ On joint : ] Les expressions Electus Episcopus et Dictus Episcopus dans les chartes des Evêques d'Angers, Lecture faite à la Société d'Agriculture, Sciences et Arts d'Angers, 1 brochure in-8, G. Grassin, Angers, 1910, 7 pp. [ On joint : ] L'idée d'une Congrégation religieuse d'Artistes chrétiens à Angers au milieu du XVIIIe siècle, Lecture faite à la Société d'Agriculture, Sciences et Arts d'Angers, 1 brochure in-8, G. Grassin, Angers, 1912, 20 pp. [ On joint : ] Cinq lettres patentes extraites des Archives de la Seigneurie du Pimpéan en Anjou. Communication faite à la Société Nationale d'Agriculture, Sciences et Arts d'Angers, 1 brochure in-8, G. Grassin, Angers, 1917, 26 pp. [ On joint : ] Une Cérémonie civique. La Fête des Epoux à Brain-sur-Allones le 10 Floréal an VI, Extrait des Mémoires de la Société d'Agriculture, Sciences et Arts d'Angers, 1 brochure in-8, G. Grassin, Angers, 1896, 15 pp. [ On joint : ] Le Musée Saint Jean d'Angers. Les Bâtiments, les Collections, les pièces les plus curieuses, 1 vol. in-12 br., Imprimerie du Commerce, Angers, 1924, 108 pp.‎


‎Intéressant lot réunissant 6 ouvrages d'intérêt local, rédigés par le Chanoine Urseau. Etat très satisfaisant (dos du premier titre abîmé avec manques, à relier, qq. petits accrocs ou mouill. en couv. sur d'autres titres, bon état intérieur).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR190.00 (€190.00 )

‎HUGO Victor & HUGO Adèle‎

Reference : 70986

(1856)

‎Lettre autographe signée à la veuve du sculpteur David d'Angers : "Mon exil est comme voisin de son tombeau, et je vois distinctement sa grande âme hors de ce monde"‎

‎Hauteville House 11 et 13 mai 1856, 14x21,5cm, une feuille.‎


‎Lettre autographe signée de Victor Hugo datée du 13 mai 1856 à la suited'une lettre inédite de Madame Victor Hugo à Madame David d'Angersdatée du 11 mai. 4 pages sur un feuillet remplié à filigrane "Barbet Smith Street Guernesey". Publiée dans Correspondance de Victor Hugo, Paris, année 1856, p. 246 Dans cette lettreimprégnée des apparitions et spectres qui hantent lesContemplationsrécemment publiées, Victor Hugo s'adresse à la veuve de son grand ami le sculpteur David d'Angers, fervent républicain et artiste particulièrement admiré des romantiques. En pleine crise mystique, Hugo parle à l'ombre du sculpteur à qui il dédia de sublimes poèmes dansLes feuilles d'automneainsi queLes rayons et les ombres et réclame auprès de sa veuve son portrait favori, un buste en marbre jadis sculpté par David d'Angers. Après l'expulsion des proscrits de l'île de Jersey,VictorHugo fait l'achat d'Hauteville House grâce au succès desContemplationset apprend avec tristesse la disparition d'un ami cher.Il écrit à la veuve du sculpteur sur le même feuillet que sa femme Adèle, également liée avec la famille de David d'Angers, créateur d'un médaillon à son effigie : «Vous êtes la veuve de notregrand David d'Angers, et vous êtes sa digne veuve comme vous avez été sa digne femme». Le sculpteur de renom s'était déjà lié au premier salon romantique de Nodier à l'Arsenal et fréquentait presque quotidiennement Hugo à la fin des années 1820 dans l'ambiance bonapartiste et bon enfant de la rue Notre-Dame des Champs, en compagnie des frères Devéria, Sainte-Beuve, Balzac, Nanteuil et Delacroix. En 1828, l'écrivain avait posé avec bonheur dans l'atelier de David d'Angers rue de Fleurus, pour un médaillon puis un buste qui avaient été suivis de deux sublimes poèmes célébrant le talent du sculpteur dansLes Feuilles d'Automne etLes rayons et les ombres.De tous ses portraits pourtant nombreux, il chérissait plus que tout autre son buste de marbre signé David d'Angers et n'hésite pas à le réclamer à sa veuve : «Avant peu, peut-être, madame, ma famille vous demandera de lui rendre ce buste qui est ma figure, ce qui est peu de chose, mais qui est un chef-d'uvre de David, ce qui est tout. C'est lui encore plus que moi, et c'est pour cela que nous voulons l'avoir parmi nous». De ces séances de pose avec le sculpteur naquirent de fructueuses conversations esthétiques et politiques où s'était affirmée leur aversion commune pour la peine de mort. Ils assistèrent au ferrement des galériens qui rejoignaient Toulon depuis Paris, décrit par Hugo dans deux chapitres duDernier jour d'un condamné. Victime de l'exil comme Hugo, David d'Angers était rentré à Paris avant de rejoindre le monde des morts: «Mon exil est comme voisin de son tombeau, et je vois distinctement sa grande âme hors de ce monde, comme je vois sa grande vie dans l'histoire sévère de notre temps». La «grande vie» de David d'Angers fut consacrée à façonner les effigies des hommes illustres, par un subtil équilibre de ressemblance et d'idéalisation. Le sculpteur prend finalement place dans le panthéon personnel de Victor Hugo, lui qui avait orné le fronton du véritable Panthéon des grands hommes où repose aujourd'hui l'écrivain: «David est aujourd'hui une figure de mémoire, une renommée de marbre, un habitant du piédestal après en avoir été l'ouvrier. Aujourd'hui, la mort a sacré l'homme et le statuaire est statue. L'ombre qu'il jette sur vous, madame, donne à votre vie la forme de la gloire». C'était en effet à l'ombre des grands hommes qu'Hugo vécut son exil à Jersey, loin du tumulte de la capitale et dans le silence ponctué par les embruns frappant les carreaux. Hugo s'était plongé dans l'occulte et parlait aux disparus :«David est une des ombres auxquelles je parle le plus souvent, ombre moi-même», déclare-t-il, rappelant le poème final desContemplations, «Ce que dit la bouche d'ombre», dicté au poète grâce au procédé spirite des «tables tournantes». Alors au sommet de leur popularité, les tables se pratiquaient dans tous les salons de Paris, jusque chez l'empereur aux Tuileries et à Compiègne. Trois ans auparavant, il s'était ému de pouvoir converser avec sa fille disparue, Léopoldine, et lui avait érigé un monument poétique, lesContemplations, dont les Hugo profitaient du triomphe : «Je suis heureux que le livre desContemplationsait été lu par vous. Vous y avez retrouvé nos chers souvenirs et nos aspirations communes. L'exil a cela de bon, qu'il met le sceau sur l'homme et qu'il conserve l'âme telle qu'elle est». Ses conversations nocturnes s'étendirent bientôt à une cohorte d'illustres personnages, qui communiquaient avec la famille Hugo par les craquements d'un guéridon. Lors de séances quasi-quotidiennes, Hugo avait invoqué l'âme de Chateaubriand, Dante, Racine, Annibal, André Chénier, Shakespeare, Molière, Aristote, Lord Byron, Louis XVI, Napoléon 1er, ou encore Jésus-Christ: «c'est seulement vers les ombres que je me tourne, car c'est là qu'est la gloire, la fierté, la grandeur des âmes, la lumière; et il y a maintenant plus de vie dans les morts que dans les vivants» confie-t-il à la veuve du sculpteur. David d'Angers avait atteint l'éternité à laquelle ils aspiraient tous deux à travers les mots et la matière, demeurant à jamais présent dans ses souvenirs et les portraits marmoréens qu'il sculpta pour lui. Au travers des lignes, se dévoile le poète desContemplations, l'homme endeuillé et toujours meurtri par la disparition de sa fille Léopoldine et de son cher ami.Hugo se livre ici à un magnifique mouvement de lyrisme épistolaire, le sculpteur angevin ayant laissé à la postérité les plus beaux portraits de l'écrivain. Bien des années plus tard,Victor Hugo lui-même fut placé en grande pompe au Panthéon des grands hommes, dont son ami David d'Angers avait orné le fronton. "Guernesey, 13 mai [1856]. Je ne veux pas, madame, que cette lettre parte sans vous porter mon remerciement, mon respect et mon souvenir. Vous êtes la veuve de notregrand David d'Angers, et vous êtes sa digne veuve comme vous avez été sa digne femme. À cette heure, toutes les fois que je me tourne vers la patrie, c'est seulement vers les ombres que je me tourne, car c'est là qu'est la gloire, la fierté, la grandeur des âmes, la lumière; et il y a maintenant plus de vie dans les morts que dans les vivants. David est une des ombres auxquelles je parle le plus souvent, ombre moi-même. Mon exil est comme voisin de son tombeau, et je vois distinctement sa grande âme hors de ce monde, comme je vois sa grande vie dans l'histoire sévère de notre temps. Soyez fière, madame, du nom grave et illustre que vous portez. David est aujourd'hui une figure de mémoire, une renommée de marbre, un habitant du piédestal après en avoir été l'ouvrier. Aujourd'hui, la mort a sacré l'homme et le statuaire est statue. L'ombre qu'il jette sur vous, madame, donne à votre vie la forme de la gloire. Je suis heureux que le livre desContemplationsait été lu par vous. Vous y avez retrouvé nos chers souvenirs et nos aspirations communes. L'exil a cela de bon, qu'il met le sceau sur l'homme et qu'il conserve l'âme telle qu'elle est. Avant peu, peut-être, madame, ma famille vous demandera de lui rendre ce buste qui est ma figure, ce qui est peu de chose, mais qui est un chef-d'uvre de David, ce qui est tout. C'est lui encore plus que moi, et c'est pour cela que nous voulons l'avoir parmi nous. Je mets à vos pieds ma tendre et respectueuse amitié. post scriptum inédit :est-ce que vous seriez être assez bonne pour faire jeter cette lettre à la poste. Mille remerciements, espérons, Madame. V.H." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR7,500.00 (€7,500.00 )

‎[Cartulaire. Angers, Abbaye Saint-Serge d'Angers. 1903] DURVILLE G.‎

Reference : 21926

(1903)

‎LE CARTULAIRE DE SAINT-SERGE D'ANGERS, par l'abbé G. Durville,‎

‎Nantes mpr. de Joubin et Beuchet frères 1903 in-8 broché un volume, broché gris in-octavo Editeur (paperback in-8 Editor) (26,6 x 16,8 cm), dos muet, 1ère de couverture imprimée en noir et illustrée du sceau de l'abbaye de Saint-Serge d'Angers en noir, illustré d'un hors-texte en noir représentant le SCEAU et le CONTRE-SCEL de l'abbaye de Saint-Serge d'Angers en frontispice au dos de la page de titre, léger pli en bas de la première de couverture sinon trés bon état, 220 pages, 1903 Nantes : Impr. de Joubin et Beuchet frères Editeur, ‎


‎Note : En avant-titre : Manuscrits du Musée Dobrée(de Nantes)........bel Exemplaire.........TRES RARE......en bon état (good condition). Angers (France) (HA) bon état ‎

Phone number : 06 81 28 61 70

EUR140.00 (€140.00 )

‎Jean De Vaugiraud‎

Reference : 100079502

(1778)

‎Conférences Ecclésiastiques du Diocèse d' Angers / édition de 1778 complète en 20 volumes‎

‎Paris chez Fr .Gueffier 1778 11x18. 1778. reliure demi-basane dos orne. Jean de Vaugirauld est originaire du diocèse même d'Angers : la famille de Vaugiraud (ailleurs Vaugirauld ou Vaugirault) famille de noblesse ancienne d'extraction angevine (la terre du Vaugirault se situe sur la Loire au Mesnil-en-Vallée et un Vaugirault fut écuyer du Bon Roi René au XVème siècle) et d'implantation postérieure en Bas-Poitou. Formé au collège des Oratoriens d'Angers sa vocation est soutenue par son oncle Jacques de Vaugirauld doyen du chapitre cathédral de Saint Maurice d'Angers. Il fut successivement curé (à Saint Martin de Beaupréau de 1705 à 1709) puis chanoine de la cathédrale et vicaire général de l'évêque Michel Poncet de La Rivière. Proposé pour le siège épiscopal de Montauban il refuse ne consentant à l'épiscopat que pour sa ville d'Angers. Désigné pour cette charge en 1731 il s'y manifestera un pasteur zélé qui observe la résidence dans son diocèse - il ne s'en absentera qu'une fois en 1742 pour l'assemblée du clergé de France - et en exécute quatre fois la visite pastorale complète. Il consacre son pontificat à la promotion de la dévotion et de la vie intérieure des fidèles (les expressions de "vraie dévotion" et de "culte intérieur" reviennent avec constance dans ses propos) spécialement des petits des pauvres et des enfants1 fondant ou promouvant des sociétés pieuses faisant prêcher des retraites et des missions. Outre les congrégations spécialisées (il institue la confrérie des artisans) il envoie les chanoines de la cathédrale eux-mêmes prêcher en tous lieux du diocèse. C'est encore lui qui implante dans le diocèse d'Angers les Frères des Écoles chrétiennes2. Il poursuit la politique anti-janséniste de ses prédécesseurs faisant tenir des synodes tenir puis publier et diffuser largement des Conférences Ecclésiastiques en plusieurs dizaines de volumes pour la formation du clergé. En faveur de ce dernier il fonde aussi le séminaire Saint-Charles pour l'entretien des prêtres pauvres et âgés. On lui doit un rituel et un manuel pour chanter les offices (1735) un bréviaire et un missel en 1737 : les chants de l'Office sacré représentent selon lui "en quelque façon le bonheur des saints dans le ciel (...) et permettent de s'associer aux fonctions des anges". La cathédrale d'Angers doit à sa commande en 1755 son majestueux maître-autel en marbre rouge de Laval inspiré des volumes du baldaquin vatican du Bernin. Il fait encore construire d'autres autels et ornements dans la cathédrale ainsi que la chapelle du séminaire Saint-Charles (ses armoiries sont encore apparentes sur le mur de l'ancien séminaire face à l'actuel musée). Son épiscopat marque l'apogée de la réforme catholique dans le diocèse d'Angers. Il laissera ses biens en legs aux hôpitaux et à la postérité le souvenir de son énergique douceur de sa fervente piété eucharistique et de la sainteté de sa vie. Le chapitre de la cathédrale d'Angers décida de lui élever un mausolée en 1759. Le curé de saint Pierre à Beaufort écrira à propos des cérémonies de ses funérailles : "il ne nous restera que le souvenir terrestre de sa sainteté ; et l'on vit plus de peuple pendant qu'il fut exposé à la vénération publique aller lui demander ses suffrages et le prier d'intercéder pour eux que prier pour lui tant la sainteté de sa vie était connue". ( source wikipedia ) Bon état (BE) de l'ensemble ( petite accroc à la coiffe du tome 7)‎


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