POULET-MALASSIS et de BROISE. 1859. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 286 pages. Lettrines et culs-de-lampe. Manque sur coiffe en pied. Dos consolidé avec du scotch. Charnières fendues.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Reference : RO80014121
Traduits pour la 1ère fois par Léon de Wailly. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
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Club Français du Livre Privilège Relié 1966 In-12 (9 x 13 cm), reliure pleine peau, dos lisse, 194 pages, exemplaire numéroté ; légère marques d'usage au quatrième plat, bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Format 16,5 x 25,5 cm, 205 pages, éditions d’art Mazenod 1962. Couverture toile crème avec portrait. Tirage à 5 000 exemplaires numérotés ( n° 1200). Illustrations. Collection « Les écrivains célèbres » créée par Lucien Mazenod, direction littéraire Raymond Queneau et Pierre Josserand. Le conte du tonneau, traduction de Just Van Effen parue à La Haye en 1732. Opuscules humoristiques : « Résolution pour l’époque ou je deviendrai vieux », « Méditation sur un balai », « Lettre à une très jeune personne sur son mariage », « Modeste proposition pour empêcher les enfants des pauvres en Irlande d’être à charge à leurs parents ou à leur pays et pour les rendre utiles au public », « Instruction aux domestiques », traductions de Léon de Wailly et Jean Richer. « Postface pour le conte du tonneau et autres écrits de Jonathan Swift » par Germain d’Hangest.
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Paris, Poulet-Malassis, Paris, Poulet-Malassis1859 ; in-12, broché. XXII pp. (y compris lefaux-titre et le titre en rouge et noir), 1f n. ch., 286 pp., 1f de tpble. [Impr. à Alençon). Tirage à 1500 exemplaires, et 10 sur papier fort. EDITION ORIGINALE EN FRANÇAIS pour 11 des textes réunis ici (sur 12). Seule La modeste proposition pOltr empêcher les enfants des pauvres en Irlande d'êt~e à charge à leurs parents ou à leur pays et pour les rendre utiles au public avait été traduite auparavant. Ce chef-d'œuvre - pamphlet politique présenté sous la forme la plus noire de l'humour anglais - avait d'abord paru en 1736 à Rotterdam dans le Recueil de pièces curieuses du Comte Radicati. Mais peu de gens le savent et les bibliographes ne le signalent point comme étant de Swift. Voir à ce sujet la longue notice de Oberlé. Fastes n° 105. Wailly ne semble pas avoir connu l'ouvrage du Radicati. Les Il autres opuscules réunis ici sont: Les instructions aux domestiques, la Lettre à uri jeune poète, la lettre à une jeune personne sur le mariage, le traité des bonnes manières, les résolutions pour l'époque oùje deviendrai vieux, les bévues, défectuosités, calamités de Quilca, les prédictions pour 1708, les dernières paroles d'Ebenezer Elliston au moment d'être exécuté, la méditation sur un balai, l'irréfutable essai sur les facultés de l'âme, les pensées sur divers sujets. Tous ces textes sont rédigés d'après le système satirique « ab absurdo», avec cette misanthropie, cette fureur froide, cette ironie railleuse, cet irrespect total qui font de Swift le maître de l'humour noir et le grand ancêtre, le génie de la littérature du « nonsens ». Launay 96 - C.P.M. 54 - C.E.B.A. 207 - Vicaire VII, 722. Goulding pp. 173-174. Bel exemplaire avec à la fin 2 ff. de publicité pour le recueil des Factums de Furetière. Léon de Wailly, cousin germain d'une véritaple tribu d'écrivains et d'auteurs dramatiques qui se prénommaient Etienne, Alfred, Gustave et Jules naquit à Paris en 1804. Dans sa jeunesse il composa avec A. Barbier le libretto de Benvenuto Cellini. Ce premier opéra de Berlioz représenté le 3 sept. 1838 connut une chute éclatante. On ridiculisa ses hardiesses et les critiques trouvèrent le livret détestable. Cet échec le détourna du théâtre. Wailly se fit un nom durant les années 1840 avec une série de traductions d'auteurs anglais: Le Moine de Lewis, Tom Jones de Fielding, Le Voyage sen'timental de Sterne, Simple histoire de Madame Inchbald, Evelina de Miss Burney, les Œuvres de Walter Scott, etc. Pour Malassis il traduisit les Opuscules de Swift. Il publia également quelques romans personnels. Stella et Vanessa (1846) est le meilleur. En 1857 il rédigea la chronique littéraire de l'Illustration. Il mourut à Paris en 1863.
Paris, Poulet-Malassis, Paris, Poulet-Malassis1859 ; in-12, XXII pp. (y compris lefaux-titre et le titre en rouge et noir), 1f n. ch., 286 pp., 1f de tpble. [Impr. à Alençon). Tirage à 1500 exemplaires, et 10 sur papier fort. EDITION ORIGINALE EN FRANÇAIS pour 11 des textes réunis ici (sur 12). Seule La modeste proposition pOltr empêcher les enfants des pauvres en Irlande d'êt~e à charge à leurs parents ou à leur pays et pour les rendre utiles au public avait été traduite auparavant. Ce chef-d'œuvre - pamphlet politique présenté sous la forme la plus noire de l'humour anglais - avait d'abord paru en 1736 à Rotterdam dans le Recueil de pièces curieuses du Comte Radicati. Mais peu de gens le savent et les bibliographes ne le signalent point comme étant de Swift. Voir à ce sujet la longue notice de Oberlé. Fastes n° 105. Wailly ne semble pas avoir connu l'ouvrage du Radicati. Les Il autres opuscules réunis ici sont: Les instructions aux domestiques, la Lettre à uri jeune poète, la lettre à une jeune personne sur le mariage, le traité des bonnes manières, les résolutions pour l'époque oùje deviendrai vieux, les bévues, défectuosités, calamités de Quilca, les prédictions pour 1708, les dernières paroles d'Ebenezer Elliston au moment d'être exécuté, la méditation sur un balai, l'irréfutable essai sur les facultés de l'âme, les pensées sur divers sujets. Tous ces textes sont rédigés d'après le système satirique « ab absurdo», avec cette misanthropie, cette fureur froide, cette ironie railleuse, cet irrespect total qui font de Swift le maître de l'humour noir et le grand ancêtre, le génie de la littérature du « nonsens ». Launay 96 - C.P.M. 54 - C.E.B.A. 207 - Vicaire VII, 722. Goulding pp. 173-174. Bel exemplaire avec à la fin 2 ff. de publicité pour le recueil des Factums de Furetière et 4 ff. de Catalogue Poulet-Malassis. Léon de Wailly, cousin germain d'une véritaple tribu d'écrivains et d'auteurs dramatiques qui se prénommaient Etienne, Alfred, Gustave et Jules naquit à Paris en 1804. Dans sa jeunesse il composa avec A. Barbier le libretto de Benvenuto Cellini. Ce premier opéra de Berlioz représenté le 3 sept. 1838 connut une chute éclatante. On ridiculisa ses hardiesses et les critiques trouvèrent le livret détestable. Cet échec le détourna du théâtre. Wailly se fit un nom durant les années 1840 avec une série de traductions d'auteurs anglais: Le Moine de Lewis, Tom Jones de Fielding, Le Voyage sen'timental de Sterne, Simple histoire de Madame Inchbald, Evelina de Miss Burney, les Œuvres de Walter Scott, etc. Pour Malassis il traduisit les Opuscules de Swift. Il publia également quelques romans personnels. Stella et Vanessa (1846) est le meilleur. En 1857 il rédigea la chronique littéraire de l'Illustration. Il mourut à Paris en 1863.
Paris, Poulet-Malassis, Paris, Poulet-Malassis1859 ; in-12, XXII pp. (y compris lefaux-titre et le titre en rouge et noir), 1f n. ch., 286 pp., 1f de tpble. [Impr. à Alençon). Tirage à 1500 exemplaires, et 10 sur papier fort. EDITION ORIGINALE EN FRANÇAIS pour 11 des textes réunis ici (sur 12). Seule La modeste proposition pOltr empêcher les enfants des pauvres en Irlande d'êt~e à charge à leurs parents ou à leur pays et pour les rendre utiles au public avait été traduite auparavant. Ce chef-d'œuvre - pamphlet politique présenté sous la forme la plus noire de l'humour anglais - avait d'abord paru en 1736 à Rotterdam dans le Recueil de pièces curieuses du Comte Radicati. Mais peu de gens le savent et les bibliographes ne le signalent point comme étant de Swift. Voir à ce sujet la longue notice de Oberlé. Fastes n° 105. Wailly ne semble pas avoir connu l'ouvrage du Radicati. Les Il autres opuscules réunis ici sont: Les instructions aux domestiques, la Lettre à uri jeune poète, la lettre à une jeune personne sur le mariage, le traité des bonnes manières, les résolutions pour l'époque oùje deviendrai vieux, les bévues, défectuosités, calamités de Quilca, les prédictions pour 1708, les dernières paroles d'Ebenezer Elliston au moment d'être exécuté, la méditation sur un balai, l'irréfutable essai sur les facultés de l'âme, les pensées sur divers sujets. Tous ces textes sont rédigés d'après le système satirique « ab absurdo», avec cette misanthropie, cette fureur froide, cette ironie railleuse, cet irrespect total qui font de Swift le maître de l'humour noir et le grand ancêtre, le génie de la littérature du « nonsens ». Launay 96 - C.P.M. 54 - C.E.B.A. 207 - Vicaire VII, 722. Goulding pp. 173-174. Exemplaire de remise en vente, avec un nouveau titre (entièrement noir) réimprimé à la date de 1861 à l'adresse 97 rue de Richelieu et passage Mirès 36. La couverture est nouvelle aussi, à la même date, imprimée au verso de celle du Marmont de Rapetti (1858). De la bibliothèque Fernand Worms (étiquette collée sur la couv.). Dos abimé. Léon de Wailly, cousin germain d'une véritaple tribu d'écrivains et d'auteurs dramatiques qui se prénommaient Etienne, Alfred, Gustave et Jules naquit à Paris en 1804. Dans sa jeunesse il composa avec A. Barbier le libretto de Benvenuto Cellini. Ce premier opéra de Berlioz représenté le 3 sept. 1838 connut une chute éclatante. On ridiculisa ses hardiesses et les critiques trouvèrent le livret détestable. Cet échec le détourna du théâtre. Wailly se fit un nom durant les années 1840 avec une série de traductions d'auteurs anglais: Le Moine de Lewis, Tom Jones de Fielding, Le Voyage sen'timental de Sterne, Simple histoire de Madame Inchbald, Evelina de Miss Burney, les Œuvres de Walter Scott, etc. Pour Malassis il traduisit les Opuscules de Swift. Il publia également quelques romans personnels. Stella et Vanessa (1846) est le meilleur. En 1857 il rédigea la chronique littéraire de l'Illustration. Il mourut à Paris en 1863.