HACHETTE, Récits d'Autrefois. 1926. In-12. Broché. Etat passable, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Rousseurs. 126 pages. Manque le premier plat de couverture.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : RO70080400
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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Paris, Garnier frères, 1852 in-12, [2] ff. n. ch., 281 pp., un f. n. ch. de table, demi-percaline noire (reliure de l'époque). début de fente au mors supérieur, reliure modeste.
Édition originale de cette analyse du Coup d'État de Louis-Napoléon publiée encore "à chaud" (l'ouvrage sortit en août 1852) et qui manifeste plus que tout autre titre l'ambiguïté parfois brumeuse du théoricien anarcho-socialiste, le même qui d'ailleurs ne joua aucun rôle dans la résistance et déconseilla à Hugo toute initiative en ce sens. C'est que le personnage du Prince-Président lui semble ambivalent et en partie favorable à ses vues sociales : "Louis-Napoléon est, de même que son oncle, un dictateur révolutionnaire, mais avec cette différence que le Premier Consul venait clore la première phrase de la Révolution, tandis que le Président ouvre la seconde". Il voit conséquemment en lui l'homme de la révolution sociale, l'héritier de la révolution de 1848, et pense que le mouvement de 1848 a été si profond que Louis-Napoléon sera contraint de prendre ses idées à la République sociale et de les réaliser.D'où le souhait : "Que le Deux-Décembre (…) transforme en hommes ces prolétaires, grande armée du suffrage universel, baptisés enfants de Dieu et de l'Église, et qui manquent à la fois de science, de travail et de pain. Tel est son mandat. Telle est sa force". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Garnier frères, 1852 in-12, [2] ff. n. ch., 281 pp., un f. n. ch. de table, demi-toile chagrinée verte modeste, dos lisse, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Pages roussies.
Édition originale de cette analyse du Coup d'État de Louis-Napoléon publiée encore "à chaud" (l'ouvrage sortit en août 1852) et qui manifeste plus que tout autre titre l'ambiguïté parfois brumeuse du théoricien anarcho-socialiste, le même qui d'ailleurs ne joua aucun rôle dans la résistance et déconseilla à Hugo toute initiative en ce sens. C'est que le personnage du Prince-Président lui semble ambivalent et en partie favorable à ses vues sociales : "Louis-Napoléon est, de même que son oncle, un dictateur révolutionnaire, mais avec cette différence que le Premier Consul venait clore la première phrase de la Révolution, tandis que le Président ouvre la seconde". Il voit conséquemment en lui l'homme de la révolution sociale, l'héritier de la révolution de 1848, et pense que le mouvement de 1848 a été si profond que Louis-Napoléon sera contraint de prendre ses idées à la République sociale et de les réaliser.D'où le souhait : "Que le Deux-Décembre (…) transforme en hommes ces prolétaires, grande armée du suffrage universel, baptisés enfants de Dieu et de l'Église, et qui manquent à la fois de science, de travail et de pain. Tel est son mandat. Telle est sa force". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Garnier frères, 1852 in-12, [2] ff. n. ch., 281 pp., un f. n. ch. de table, demi-basane verte, dos lisse orné (reliure de l'époque). Pages roussies. Dos passé.
Édition originale de cette analyse du Coup d'État de Louis-Napoléon publiée encore "à chaud" (l'ouvrage sortit en août 1852) et qui manifeste plus que tout autre titre l'ambiguïté parfois brumeuse du théoricien anarcho-socialiste, le même qui d'ailleurs ne joua aucun rôle dans la résistance et déconseilla à Hugo toute initiative en ce sens. C'est que le personnage du Prince-Président lui semble ambivalent et en partie favorable à ses vues sociales : "Louis-Napoléon est, de même que son oncle, un dictateur révolutionnaire, mais avec cette différence que le Premier Consul venait clore la première phrase de la Révolution, tandis que le Président ouvre la seconde". Il voit conséquemment en lui l'homme de la révolution sociale, l'héritier de la révolution de 1848, et pense que le mouvement de 1848 a été si profond que Louis-Napoléon sera contraint de prendre ses idées à la République sociale et de les réaliser.D'où le souhait : "Que le Deux-Décembre (…) transforme en hommes ces prolétaires, grande armée du suffrage universel, baptisés enfants de Dieu et de l'Église, et qui manquent à la fois de science, de travail et de pain. Tel est son mandat. Telle est sa force". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Garnier frères, 1852 in-12, [2] ff. n. ch., 281 pp., un f. n. ch. de table, demi-percaline brune à la Bradel, dos orné (reliure de l'époque). Pages roussies.
Édition originale de cette analyse du Coup d'État de Louis-Napoléon publiée encore "à chaud" (l'ouvrage sortit en août 1852) et qui manifeste plus que tout autre titre l'ambiguïté parfois brumeuse du théoricien anarcho-socialiste, le même qui d'ailleurs ne joua aucun rôle dans la résistance et déconseilla à Hugo toute initiative en ce sens. C'est que le personnage du Prince-Président lui semble ambivalent et en partie favorable à ses vues sociales : "Louis-Napoléon est, de même que son oncle, un dictateur révolutionnaire, mais avec cette différence que le Premier Consul venait clore la première phrase de la Révolution, tandis que le Président ouvre la seconde". Il voit conséquemment en lui l'homme de la révolution sociale, l'héritier de la révolution de 1848, et pense que le mouvement de 1848 a été si profond que Louis-Napoléon sera contraint de prendre ses idées à la République sociale et de les réaliser.D'où le souhait : "Que le Deux-Décembre (…) transforme en hommes ces prolétaires, grande armée du suffrage universel, baptisés enfants de Dieu et de l'Église, et qui manquent à la fois de science, de travail et de pain. Tel est son mandat. Telle est sa force". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
3In-8, broché, 5 pp., lég. défr. Paris, Librairie Marteau, 1869.
Edition originale. Le coup d'État et l'instauration du Second Empire à Limoges. Envoi autographe de l'auteur.
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