‎GORE VIDAL‎
‎1876‎

‎Ballantine Book. 1976. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos plié, Intérieur acceptable. 443 pages.. . . . Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon‎

Reference : RO60107468
ISBN : 0345254007


‎Novel. Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon‎

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‎BARTHOLDI (Frédéric Auguste) & CHÉRET (Jules).‎

Reference : LBW-6827

‎ La Liberté éclairant le Monde. Centième anniversaire de l'Indépendance des États-Unis. Union Franco-Américaine. 1776-1876. - Liberty enlightning the World. Centennial anniversary of United States Independance. French-American Union. 1776-1876. Bartholdi scup.t. Imprimé par JULES CHÉRET, 18, rue Brunel, PARIS, Sur les Pierres de la COMPAGNIE GÉNÉRALE DES CARRIÈRES DE PIERRES LITHOGRAPHIQUES, 3, rue Rossini, PARIS.‎

‎[entre 1875 et 1876]. 685 x 478 mm.‎

‎Exceptionnelle estampe, de toute rareté, figurant La Liberté éclairant le Monde, plus connue sous le nom de Statue de la Liberté, à l'entrée du port de New York. Elle a été lithographiée en deux tons et imprimée par Jules Chéret à Paris, sur les pierres de la Compagnie Générale des Carrières de Pierres Lithographiques, située à Paris. En bas à droite de l'estampe figure la mention Bartholdi scup.t, pour Bartholdi, sculpteur du monument. Cette estampe, lithographiée et imprimée entre 1875 et 1876, est l'une des toutes premières vues projetées de la Statue de la Liberté, quelques années avant qu'elle ne soit construite, érigée et inaugurée en 1886 sur Bedloe's Island (renommée Liberty Island en 1956), face à Long Island, là où débuta la Guerre d'Indépendance le 27 août 1776. Autour du piédestal de la statue, construit par les Américains sur les fondations du Fort Wood, ancien fort reconnaissable à son plan en étoile à 11 branches, construit entre 1806 et 1811, on aperçoit quelques promeneurs et des pêcheurs. Cette vue plongeante nous offre au second plan un large panorama de la ville, avec Manhattan, le fleuve Hudson, l'East River et le quartier de Brooklyn. Le pont de Brooklyn n'est pas visible puisqu'il sera inauguré en 1883. Le port de New York est animé de voiliers et de bateaux à vapeur. Sur la droite, on aperçoit également la pointe de l'île de Governors Island, avec la fortification de Castle Williams. Né le 2 août 1834 dans une famille de notables de Colmar (Haut-Rhin), Frédéric Auguste Bartholdi présenta très tôt des aptitudes certaines pour les arts. Après avoir essayé la peinture et la photographie, c'est vers la sculpture qu'il se tourne, essentiellement monumentale. Après un voyage initiatique en Orient, il travaille sur sa première commande, une statue du Général Rapp, haut personnage de l'Alsace ; inaugurée en 1856 à Colmar, elle contribuera grandement à le faire connaître. Patriote et républicain, Bartholdi est profondément révolté par l'annexion de l'Alsace et de la Lorraine par la Prusse en 1870, suite à la défaite de Sedan. Pour rendre hommage aux belfortains qui ont bravement affronté un terrible siège au cours du conflit, il sculpte le monumental Lion de Belfort en 1879, dont une réplique trône aujourd'hui place Denfert-Rochereau à Paris (Bartholdi, les Bâtisseurs de la Liberté. Exposition de photographies (1876-1886). Musée des Arts et Métiers, 2004-2005). En 1871, Édouard Lefebvre de Laboulaye, président du Comité de l'Union Franco-Américaine, souhaite sceller l'amitié entre la France et les États-Unis, et demande à Bartholdi de réaliser un monument commémoratif de l'Indépendance des États-Unis (1776-1876) qui sera offert par la France aux États-Unis. La construction de la statue débute en 1875 dans les ateliers Monduit et Bechet, situés à Paris. Le sculpteur élabore un premier modèle de son œuvre, d'une taille de 2,11 mètres, à partir duquel les ouvriers opèrent un découpage méthodique des différentes parties de la statue. L'architecte Eugène Viollet-Le-Duc, puis l'ingénieur Gustave Eiffel, participeront au projet. L'installation de la structure métallique et l'assemblage de l'enveloppe de la statue ont lieu en 1886 à New York. À leur arrivée le 25 octobre 1886, les membres de la délégation française entourant Auguste Bartholdi, découvrent, du pont du paquebot Bretagne, une œuvre monumentale de 93 mètres. La statue sera inaugurée le 28 octobre. La Liberté éclairant le monde connut d'emblée un immense succès. Elle restera l'oeuvre majeure du sculpteur Bartholdi, à laquelle il aura consacré quinze années de sa vie. Jules Chéret (1836-1932) est l'affichiste majeur de la Belle Époque. En 1866, il ouvre à Paris une imprimerie qui est la première à proposer des affiches illustrées lithographiées en couleurs. Il répond à la forte demande publicitaire liée à l'apparition de nouveaux produits, à l'évolution des modes de vente et au développement intense de l'industrie du spectacle. Il a ainsi joué un rôle décisif dans l'avènement de la publicité commerciale et culturelle. Inventeur de l’affiche en couleurs et de l'affiche illustrée publicitaire en France, surnommé par ses contemporains « le roi de l’affiche», sa production d’affiches pour les spectacles et la publicité entre le Second Empire et 1900 est considérable. Il a réalisé plus de 1 400 affiches qui ont accompagné l'entrée de la France dans la vie moderne. Parallèlement à sa carrière d'affichiste, il consacra la seconde partie de sa vie à la peinture décorative, et réalisa des œuvres pour ses mécènes mais aussi pour l'Hôtel de Ville de Paris, le musée Grévin, ou encore la préfecture de Nice (Bargiel & Le Men, La Belle Époque de Jules Chéret. De l’affiche au décor. Les Arts Décoratifs, Paris, 2010). Cette estampe, d'une extrême rareté, est absente des collections publiques, françaises comme américaines. Elle manque également à toutes les bibliographies consacrées à Jules Chéret : Maindron, Les Affiches Illustrées (1886-1895), Paris, 1896 ; Beraldi, Les graveurs du XIXe siècle. Guide de l'amateur d'estampes modernes, 1886, Tome IV ; Broido, The Posters of Jules Chéret, Toronto, 1980 ; et enfin la plus récente, Bargiel & Le Men, La Belle Époque de Jules Chéret. De l’affiche au décor. Les Arts Décoratifs, Paris, 2010. Cette dernière bibliographie est la plus complète de toutes. Elle recense les 1430 affiches de Jules Chéret, avec une illustration pour chaque affiche. Elle mentionne une planche intitulée La Liberté éclairant le Monde. Centième anniversaire de l'Indépendance des États-Unis. Union Franco-Américaine. 1776-1876, mais celle-ci est plus petite que notre affiche (59 x 46 cm). C'est l'une des rares à ne pas être illustrée, car l'auteur de la bibliographie n'a pas été en mesure de la localiser. Notre vue est l'une des toutes premières vues projetées de la Statue de la Liberté. On retrouve cette illustration sur l'affiche publicitaire de Jules Chéret annonçant le diorama représentant le monument commémoratif de l'Indépendance des États-Unis d'Amérique, présenté au Palais de l'Industrie sur les Champs-Élysées. Ce diorama avait été réalisé dans le cadre d'une campagne de promotion lancée, dès 1875, par le Comité de l'Union Franco-Américaine, afin de lever des fonds. Le diorama fut présenté une première fois en août 1877 au Palais de l'Industrie (journal quotidien Le Rappel du 28 août 1877), puis une seconde fois aux Tuileries en 1878 (journal quotidien Le Rappel du 3 avril 1878). Un exemplaire de cette affiche publicitaire se trouve au Musée Bartholdi à Colmar ; le musée lui attribue la date de 1874 ; mais si l'on s'en tient à l'article du quotidien Le Rappel, cette date est erronée. Un autre exemplaire de cette affiche annonçant le diorama se trouve à la Bibliothèque Nationale de France, qui la date de 1876, mais la date est ici également erronée. On peut donc penser que notre affiche a été réalisée avant celle annonçant le diorama, plus précisément entre 1875, date de lancement de la campagne pour la levée des fonds, et 1876, date du centenaire. Exemplaire en très bonne condition. Deux petites restaurations anciennes dans les marges gauche et droite, très légères cassures dans la partie haute de l'estampe, petites taches claires au bas du titre anglais. BARTHOLDI (Frédéric Auguste). La Liberté éclairant le Monde. Centième anniversaire de l'Indépendance des États-Unis. Union Franco-Américaine. 1776-1876. - Liberty enlightning the World. Centennial anniversary of United States Independance. French-American Union. 1776-1876. Bartholdi scup.t. Imprimé par JULES CHÉRET, 18, rue Brunel, PARIS, Sur les Pierres de la COMPAGNIE GÉNÉRALE DES CARRIÈRES DE PIERRES LITHOGRAPHIQUES, 3, rue Rossini, PARIS. [between 1875 and 1876]. 685 x 478 mm. 10 000 € Exceptional print, of an extreme rarity, depicting Liberty Enlightening the World, better known as the Statue of Liberty, at the entrance to the port of New York. It was lithographed in two tones and printed by Jules Chéret in Paris, on the stones of the Compagnie Générale des Carrières de Pierres Lithographiques, located in Paris. At the bottom right of the print appears the mention Bartholdi scup.t, for Bartholdi, sculptor of the monument. This print, lithographed and printed between 1875 and 1876, is one of the very first projected views of the Statue of Liberty, a few years before it was built, erected and inaugurated in 1886 on Bedloe's Island (renamed Liberty Island in 1956), facing Long Island, where the War of Independence began on August 27, 1776. Around the pedestal of the statue, built by the Americans on the foundations of Fort Wood, an old fort recognizable by its 11-pointed star plan, built between 1806 and 1811, we can see some walkers and fishermen. This bird's eye view offers us in the background a wide panorama of the city, with Manhattan, the Hudson River, the East River and the district of Brooklyn. The Brooklyn Bridge is not visible since it will be inaugurated in 1883. New York Harbor is bustling with sailboats and steamboats. On the right, we can also see the tip of Governors Island, with the fortification of Castle Williams. Born on August 2, 1834 in a family of notables from Colmar (Haut-Rhin), Frédéric Auguste Bartholdi showed very early some aptitudes for the arts. After trying painting and photography, he turned towards sculpture, essentially monumental. After an initiatory trip to the East, he worked on his first order, a statue of General Rapp, a high figure in Alsace; inaugurated in 1856 in Colmar, it will greatly contribute to making him known. A patriot and republican, Bartholdi was deeply revolted by the annexation of Alsace and Lorraine by Prussia in 1870, following the defeat of Sedan. To pay tribute to the people of Belfort who bravely faced a terrible siege during the conflict, he sculpted the monumental Lion of Belfort in 1879, a smaller replica of which now stands on Place Denfert-Rochereau in Paris (Bartholdi, les bâtisseurs de la Liberté. Exposition de photographies (1876-1886). Musée des Arts et Métiers, 2004-2005). In 1871, Édouard Lefebvre de Laboulaye, president of the Committee of the Franco-American Union, willing to seal the friendship between France and the United States, asked Bartholdi to work on a monument commemorating the Independence of the United States ( 1776-1876) which will be offered by France to the United States. Construction of the statue began in 1875 in the Monduit and Bechet workshops, located in Paris. The sculptor developed a first model of his work, measuring 2.11 meters, from which the workers carried out a methodical cutting of the different parts of the statue. The architect Eugène Viollet-Le-Duc, then the engineer Gustave Eiffel, will take part in the project. The installation of the metal structure and the assembly of the shell of the statue took place in 1886 in New York. Upon their arrival on October 25, 1886, the members of the French delegation surrounding Auguste Bartholdi, discovered, from the deck of the liner Bretagne, a monumental work of 93 meters. The statue will be unveiled on October 28. Liberty Enlightening the World was immediately a huge success. It will remain the major work of the sculptor Bartholdi, to which he devoted fifteen years of his life. Jules Chéret (1836-1932) was the major poster artist of the Belle Époque. In 1866, he opened a printing press in Paris which was the first to offer lithographed illustrated posters in color. He met the strong advertising demand linked to the appearance of new products, the evolution of sales methods and the intense development of the entertainment industry. He thus played a decisive role in the advent of commercial and cultural advertising. Inventor of the color poster and the illustrated advertising poster in France, nicknamed by his contemporaries "the king of the poster", his production of posters for shows and advertising between the Second Empire and 1900 was considerable. He produced more than 1,400 posters which accompanied France's entry into modern life. At the same time as his career as a poster artist, he devoted the second part of his life to decorative painting, and produced works for his patrons but also for the Hôtel de Ville in Paris, the Musée Grévin, or the prefecture of Nice (Bargiel & Le Men, La Belle Époque de Jules Cheìret. De l’affiche au deìcor. Les Arts Décoratifs, Paris, 2010). This extremely rare print is absent from public collections, both French and American. It is also missing from all the bibliographies devoted to Jules Chéret: Maindron, Les Affiches Illustrées (1886-1895), Paris, 1896 ; Beraldi, Les graveurs du XIXe siècle. Guide de l'amateur d'estampes modernes, 1886, Tome IV ; Broido, The Posters of Jules Chéret, Toronto, 1980 ; and the most recent, Bargiel & Le Men, La Belle Époque de Jules Chéret. De l’affiche au décor. Les Arts Décoratifs, Paris, 2010. This last bibliography is the most complete of all. It lists the 1,430 posters of Jules Chéret, with an illustration for each poster. It mentions a print entitled La Liberté éclairant le Monde. Centième anniversaire de l'Indépendance des États-Unis. Union Franco-Américaine. 1776-1876, with no other mention. But this one is smaller than our print (59 x 46 cm). It is one of the few not to be illustrated, as the author of the bibliography was unable to locate it (pp. 224-225, n°631, "Affiche non localisée"). This is one of the very first projected views of the Statue of Liberty. This illustration can be found on Jules Chéret's advertising poster announcing the diorama representing the monument commemorating the Independence of the United States of America, presented at the Palais de l'Industrie on the Champs-Élysées. This diorama had been made as part of a promotional campaign launched in 1875 by the Committee of the Franco-American Union, in order to raise funds. The diorama was presented for the first time in August 1877 at the Palais de l'Industrie (article in the daily newspaper Le Rappel of August 28, 1877), then a second time at the Tuileries in 1878 (article in the daily newspaper Le Rappel of April 3, 1878). The Bartholdi Museum in Colmar owns a copy of this advertising poster, and dates it from 1874, but from the article in the newspaper Le Rappel, this date is erroneous. The National Library of France also owns a copy of this poster announcing the diorama, and dates it from 1876, but again the date is erroneous. We can therefore assume that our poster was produced before the poster announcing the exhibition of the diorama, and more precisely between 1875, date of the launching of the campaign, and 1876, date of the centennial anniversary. Copy in very good condition. Two small old restorations in the left and right margins, very slight cracks in the upper part of the print, small light stains at the English title.‎


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‎[Elections de 1876, Creuse] Ensemble de documents concernant les élections législatives de 1876 en Creuse, principalement dans l'arrondissement de Guéret. ‎

Reference : 015704

‎[Elections de 1876, Creuse] Ensemble de documents concernant les élections législatives de 1876 en Creuse, principalement dans l'arrondissement de Guéret. ‎

‎[Elections de 1876, Creuse] Ensemble de documents concernant les élections législatives de 1876 en Creuse, principalement dans l'arrondissement de Guéret. Interessant lot de documents dont : -Profession de foi de Jean Moreau (1801-1889), député de 1849 à 1852, opposant au coup d'état et déporté en Algérie, qui sera réélu lors de cette élection de 1876. Publiée entre avant le premier tour (Guéret, imprimerie veuve Betoulle, 1p in-8). Le second feuillet contient deux bulletin de votes à découper. -Profession de foi de Jean Moreau. Publiée entre les deux tours (Guéret, imprimerie veuve Betoulle, 2p in-4). -Eloge imprimée du général de Laveaucoupet (1806-1892), par « un électeur » (Guéret, imprimerie Hippolyte Richer, 2p in-4). -Profession de foi du général de Laveaucoupet (Guéret, imprimerie Hippolyte Richer, 1p in-4). Déchirures relativement importantes, manque à un coin. -8 bulletins de vote, 4 pour le docteur Jean Moreau et 4 pour le docteur A Lacôte (1838-1899), un autre candidat républicain présent au premier tour. Les bulletins de Moreau sont une seule feuille, ceux de Lacote découpés (Guéret, imprimerie veuve Betoulle). -Eloge imprimée du docteur Auguste Lacôte, par « un électeur » (Limoges, typographie Chatras et Cie, 2p in-4). 2 exemplaires. -Annonce de Laveaucoupet qui se maintient au second tour (Guéret, imprimerie Hippolyte Richer, 1p in-4). -Eloge de Joseph-Alfred Cornudet des Chaumettes (1825-1876), par « un électeur », pour les élections sénatoriales de 1876 (Guéret, imprimerie Hippolyte Richer, 7p in-8). -Profession de foi de Martin Nadaud (1815-1898), « Adresse du citoyen Nadaud aux électeurs de la Creuse » (Guéret, imprimerie Dugenest, 2p in-folio). Nadaud fut élu au premier tour dans l'arrondissement de Bourganeuf. Nombreuses petites déchirures, principalement en marge. Papier parfois jauni. Intéressant lot pour l'histoire de la Creuse. [68] ‎


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‎BARTHOLDI (Frédéric Auguste) — CHÉRET (Jules).‎

Reference : LBW-7756

‎La Liberté éclairant le Monde. Centième anniversaire de l'Indépendance des États-Unis. Union Franco-Américaine. 1776-1876. - Liberty enlightning the World. Centennial anniversary of United States Independance. French-American Union. 1776-1876. ‎

‎Paris, Sur les pierres de la Compagnie Générale des Carrières de pierre lithographiques, [entre 1875 et 1876]. Lithographie originale (68,5 x 47,8 cm).‎


‎Exceptionnelle estampe, de toute rareté, figurant La Liberté éclairant le Monde, plus connue sous le nom de Statue de la Liberté, à l'entrée du port de New York. Elle a été lithographiée en deux tons et imprimée par Jules Chéret à Paris, sur les pierres de la Compagnie Générale des Carrières de Pierres Lithographiques, située à Paris. En bas à droite de l'estampe figure la mention Bartholdi scup.t, pour Bartholdi, sculpteur du monument. Cette estampe, lithographiée et imprimée entre 1875 et 1876, est l'une des toutes premières vues projetées de la Statue de la Liberté, quelques années avant qu'elle ne soit construite, érigée et inaugurée en 1886 sur Bedloe's Island (renommée Liberty Island en 1956), face à Long Island, là où débuta la Guerre d'Indépendance le 27 août 1776. Autour du piédestal de la statue, construit par les Américains sur les fondations du Fort Wood, ancien fort reconnaissable à son plan en étoile à 11 branches, construit entre 1806 et 1811, on aperçoit quelques promeneurs et des pêcheurs. Cette vue plongeante nous offre au second plan un large panorama de la ville, avec Manhattan, le fleuve Hudson, l'East River et le quartier de Brooklyn. Le pont de Brooklyn n'est pas visible puisqu'il sera inauguré en 1883. Le port de New York est animé de voiliers et de bateaux à vapeur. Sur la droite, on aperçoit également la pointe de l'île de Governors Island, avec la fortification de Castle Williams . Né le 2 août 1834 dans une famille de notables de Colmar (Haut-Rhin), Frédéric Auguste Bartholdi présenta très tôt des aptitudes certaines pour les arts. Après avoir essayé la peinture et la photographie, c'est vers la sculpture qu'il se tourne, essentiellement monumentale. Après un voyage initiatique en Orient, il travaille sur sa première commande, une statue du Général Rapp, haut personnage de l'Alsace ; inaugurée en 1856 à Colmar, elle contribuera grandement à le faire connaître. Patriote et républicain, Bartholdi est profondément révolté par l'annexion de l'Alsace et de la Lorraine par la Prusse en 1870, suite à la défaite de Sedan. Pour rendre hommage aux belfortains qui ont bravement affronté un terrible siège au cours du conflit, il sculpte le monumental Lion de Belfort en 1879, dont une réplique trône aujourd'hui place Denfert-Rochereau à Paris (Bartholdi, les Bâtisseurs de la Liberté. Exposition de photographies (1876-1886) . Musée des Arts et Métiers, 2004-2005). En 1871, Édouard Lefebvre de Laboulaye, président du Comité de l'Union Franco-Américaine, souhaite sceller l'amitié entre la France et les États-Unis, et demande à Bartholdi de réaliser un monument commémoratif de l'Indépendance des États-Unis (1776-1876) qui sera offert par la France aux États-Unis. La construction de la statue débute en 1875 dans les ateliers Monduit et Bechet, situés à Paris. Le sculpteur élabore un premier modèle de son oeuvre, d'une taille de 2,11 mètres, à partir duquel les ouvriers opèrent un découpage méthodique des différentes parties de la statue. L'architecte Eugène Viollet-Le-Duc, puis l'ingénieur Gustave Eiffel, participeront au projet. L'installation de la structure métallique et l'assemblage de l'enveloppe de la statue ont lieu en 1886 à New York. À leur arrivée le 25 octobre 1886, les membres de la délégation française entourant Auguste Bartholdi, découvrent, du pont du paquebot Bretagne , une oeuvre monumentale de 93 mètres. La statue sera inaugurée le 28 octobre. La Liberté éclairant le monde connut d'emblée un immense succès. Elle restera l'oeuvre majeure du sculpteur Bartholdi, à laquelle il aura consacré quinze années de sa vie. Jules Chéret (1836-1932) est l'affichiste majeur de la Belle Époque. En 1866, il ouvre à Paris une imprimerie qui est la première à proposer des affiches illustrées lithographiées en couleurs. Il répond à la forte demande publicitaire liée à l'apparition de nouveaux produits, à l'évolution des modes de vente et au développement intense de l'industrie du spectacle. Il a ainsi joué un rôle décisif dans l'avènement de la publicité commerciale et culturelle. Inventeur de l’affiche en couleurs et de l'affiche illustrée publicitaire en France, surnommé par ses contemporains « le roi de l’affiche », sa production d’affiches pour les spectacles et la publicité entre le Second Empire et 1900 est considérable. Il a réalisé plus de 1 400 affiches qui ont accompagné l'entrée de la France dans la vie moderne. Parallèlement à sa carrière d'affichiste, il consacra la seconde partie de sa vie à la peinture décorative, et réalisa des oeuvres pour ses mécènes mais aussi pour l'Hôtel de Ville de Paris, le musée Grévin, ou encore la préfecture de Nice (Bargiel & Le Men, La Belle Époque de Jules Chéret. De l’affiche au décor . Les Arts Décoratifs, Paris, 2010). Cette estampe, d'une extrême rareté, est absente des collections publiques, françaises comme américaines . Elle manque également à toutes les bibliographies consacrées à Jules Chéret : Maindron, Les Affiches Illustrées (1886-1895) , Paris, 1896 ; Beraldi, Les graveurs du XIXe siècle. Guide de l'amateur d'estampes modernes , 1886, Tome IV ; Broido, The Posters of Jules Chéret , Toronto, 1980 ; et enfin la plus récente, Bargiel & Le Men, La Belle Époque de Jules Chéret. De l’affiche au décor. Les Arts Décoratifs , Paris, 2010. Cette dernière bibliographie est la plus complète de toutes. Elle recense les 1430 affiches de Jules Chéret, avec une illustration pour chaque affiche. Elle mentionne une planche intitulée La Liberté éclairant le Monde. Centième anniversaire de l'Indépendance des États-Unis. Union Franco-Américaine. 1776-1876 , mais celle-ci est plus petite que notre affiche (59 x 46 cm). C'est l'une des rares à ne pas être illustrée, car l'auteur de la bibliographie n'a pas été en mesure de la localiser. Notre vue est l'une des toutes premières vues projetées de la Statue de la Liberté. On retrouve cette illustration sur l'affiche publicitaire de Jules Chéret annonçant le diorama représentant le monument commémoratif de l'Indépendance des États-Unis d'Amérique, présenté au Palais de l'Industrie sur les Champs-Élysées. Ce diorama avait été réalisé dans le cadre d'une campagne de promotion lancée, dès 1875, par le Comité de l'Union Franco-Américaine, afin de lever des fonds. Le diorama fut présenté une première fois en août 1877 au Palais de l'Industrie (journal quotidien Le Rappel du 28 août 1877), puis une seconde fois aux Tuileries en 1878 (journal quotidien Le Rappel du 3 avril 1878). Un exemplaire de cette affiche publicitaire se trouve au Musée Bartholdi à Colmar ; le musée lui attribue la date de 1874 ; mais si l'on s'en tient à l'article du quotidien Le Rappel , cette date est erronée. Un autre exemplaire de cette affiche annonçant le diorama se trouve à la Bibliothèque Nationale de France , qui la date de 1876, mais la date est ici également erronée. On peut donc penser que notre affiche a été réalisée avant celle annonçant le diorama, plus précisément entre 1875, date de lancement de la campagne pour la levée des fonds, et 1876, date du centenaire. Exemplaire en très bonne condition. Deux petites restaurations anciennes dans les marges gauche et droite, très légères cassures dans la partie haute de l'estampe, petites taches claires au bas du titre anglais.‎

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EUR7,000.00 (€7,000.00 )

‎[LORRAIN] - COLLECTIF‎

Reference : _202100981

(1876)

‎Journal de la Société d'Archéologie et du Comité du Musée lorrain. + Supplément au N° de décembre 1877. Table des 10 derniers volumes du Journal (de 1868 à 1877) -vingt-cinquième année, 1876 / vingt-sixième année, 1877. ‎

‎Nancy, Gustave Crépin-Leblond, Imprimeur de la Société, 1876-1870 ; in-8, 208 pp. + 1 pl. hors-texte / 240 pp. + 3 pl. hors-texte. Supplément 50 pp., relié demi-cuir marron foncé, dos lisse, plat papier façon annonay. Année 1876. I. Société d’Archéologie. Séances: – Séance du 10 décembre 1875, p. 4. Séance du 14 janvier 1876, p. 27. Séance du 11 février, p. 42. Séance du 10 mars, p. 58. Séance du 7 avril, p. 73. Séance du 12 mai, p. 90. Séance du 9 juin, p. 105. Séance du 14 juillet, p. 123. Séance du 11 août, p. 170. Séance du 10 novembre, p. 193. Séance du 8 décembre (voy. le N° de janvier 1877). Mémoires et Variétés: – Passage du roi et de la reine de Pologne en Champagne (communication de M. E. de B.), p. 7./ M. l'abbé HYVER: Un épisode de l'invasion française à Saint-Nicolas (1635), par, p. 31./ M. J.-A. SCHMIT: De Vic à Marsal en 1671, p. 34./ M. Dagobert FISCHER: Note sur l'ancien village de Dirschbach, p. 38./ Claude Callot, peintre de la cour de Pologne (1620-1687) (communication de M. Charles COURNAULT), p. 46./ Documents sur les guerres dans le comté de Salm au XVIIe siècle (communication de M. CHAPELLIER), p. 52./ Inventaire des tableaux provenant des maisons religieuses supprimées dans le district de Lunéville (communication de M. Henri LEPAGE), p. 62./ Mémoire des frais d'un voyage de Saverne à Nancy en 1628 (communication de M. Dagobert FISCHER), p. 76./ Lettre du duc de Choiseul à M. l'évêque de Metz au sujet de la translation à Nancy de l'Université de Pont-à-Mousson (communication de M. l'abbé HYVER), p. 79./ M. A. BENOIT: la Peine du tourniquet à Saar-Union en 1743, p. 81./ Nancy et Lunéville. – Notes de voyage par le jésuite FELLER (1765-1777), p. 92./ M. Stanislas THOMAS: Une excursion dans la chapelle de l'hospice Saint-Julien de Nancy, p. 98./ Dates de naissances, morts et mariages de plusieurs princes et princesses de Lorraine (communication de M. CHAPELLIER), p.108./ M. Ch. LAPREVOTE: Notes biographiques sur le sculpteur Lupot, de Mirecourt, p. 126./ M. Stanislas THOMAS: Sur l'inscription tumulaire de M. Mareschaudel, p. 128./ Un serment d'ivrogne, p.130./ M. Th. PERNOT: Notes sur les noms de Beuvezin et de Pleuvezain, et sur Frédéric de Pluvoise, évêque de Metz, p. 138./ M. J.-A. SCHMIT: Petite promenade lorraine parmi les papiers de Colbert (1670-1671), p. 145./ M. A. BENOIT: Souvenirs lorrains à Rome. – Claude Gelée (1664). – Planche, p. 161./ M. Stanislas THOMAS: Quelques recherches dans les archives d'Emberménil, p. 165./ M. Henri LEPAGE: Des grands et des petits chevaux de Lorraine, p. 172./ M. E. MEAUME: Claude Gellée. – Un mot sur ses tableaux, en réponse à M. A. Benoit, p. 198. Chronique: – Reddition des comptes de l'exercice 1875, p. 44./ Rapport de la Commission, p. 59./ Composition de la Commission permanente des finances de la Société, p. 44./ Réunion annuelle des délégués des Sociétés savantes à la Sorbonne en 1876, p. 55./ Nomination de M. Schmit, de Château-Salins, comme conservateur-adjoint à la Bibliothèque nationale, p. 55./ Nomination de M. J. Rouyer comme bibliothécaire de la Société, en suite de la démission de M. Ch. de Rozières, p. 74./ Académie de Stanislas. – Discours de réception de MM. Em. Michel et J. Renauld, p. 82./ Incendie de l'imprimerie Berger-Levrault, p. 88./ État actuel du Palais ducal et du Musée historique lorrain, p. 102./ Acquisition par la Bibliothèque nationale du Journal de Nancy, de 1778 à 1787, p. 108./ Découverte de tombeaux et de souterrains à Frouard (communication de M. PETITJEAN, instituteur), p. 119./ Allocation par M. le Ministre de l'Instruction publique d'une somme de 500 francs à la Société d'Archéologie, p. 121./ Allocation par M. le Ministre de la Justice, des Cultes et des Beaux-Arts d'une somme de 49,987 fr. 49 cent. pour la restauration du Palais ducal de Nancy, p. 121./ Nomination de M. Olry, instituteur à Allain, comme membre correspondant de l'Académie de Stanislas, p. 130./ Médaille en or adressée par S. M. l'Empereur d'Autriche à M. Bretagne, p. 131./ Nomination de M. H. Lepage comme membre honoraire de l'Institut royal grand-ducal de Luxembourg, p. 131./ Don par M. Carnot à la bibliothèque de l'Arsenal du manuscrit autographe des Mémoires de l'abbé Grégoire, p. 131./ Le grand prix Gobert décerné à M. Lecoy de la Marche pour son histoire critique du roi René, p. 131. Bibliographie lorraine: – M. SCHMIT: Listes d'ouvrages concernant la Lorraine, p. 56, 69, 134, 191, 202. Publication d'un ouvrage de M. Ambroise Firmin-Didot: Les Drevet (Pierre, Pierre-Imbert et Claude), p. 132. Erratum au sujet de Claude Deruet (communication de M. MEAUME), p. 192. Notes et documents sur les graveurs de monnaies et médailles des ducs de Lorraine, p. 169. Nécrologie: – M. Ch. Fontaine, architecte à Saint-Dié, p. 24. M. Prat, président de l'Institut archéologique de Luxembourg, p. 24. M. Al.-Cl. Melin, architecte à Nancy, p. 39, 43. M. Michel-Louis-Achille Jubinal, ancien élève de l'École des Charles, à Paris, p. 40. II. Musée lorrain: – Souscription pour l'achèvement du Palais ducal et du Musée lorrain; p. 3, 25, 41, 57, 89, 122, 137, 169, 193. Dons faits au Musée lorrain, p. 23, 40, 55, 68, 88, 104, 132, 168, 191. Planches: Monument de Claude Gelée à Rome, p. 164. Année 1877. I. Société d’Archéologie. Séances : – Séances du 8 décembre 1876, p. 3. Séances du 12 janvier 1877, p. 18. Séances du 9 février, p. 41. Séances du 9 mars, p. 73. Séances du 13 avril, p. 89. Séances du 11 mai, p. 105. Séances du 8 juin, p. 129. Séances du 13 juillet, p. 153. Séances du 10 août, p. 201. Séances du 9 novembre, p. 217. Séances du 14 décembre (voy. le N° de janvier 1878). Mémoires et Variétés : – M. Arthur BENOIT : Épisodes des rapports de la ville de Strasbourg avec le duc René II, en 1478, p. 7./ M. Raymond DUPRIEZ : Deux mots sur une récente découverte faite au Hiéraple, p. 9./ Les grands et les petits chevaux. Lettre de M. E. MEAUME, p. 23./ Note de M. COURBE sur la légende de Maxéville, p. 45./ Note de M. E. AUGUIN au sujet du travail de M. E. Meaume sur Sébastien Le Clerc et son œuvre, p. 49./ M. A. BENOIT : Claude Gellée. – Un de ses tableaux au Musée de Bordeaux, p. 60./ M. MEAUME : Saint-Urbain. – Date précise de son emprisonnement. – Madame Vautrin, sa fille, p. 61./ M. OLRY : Note sur l'église d'Autreville (Vosges), p. 76./ M. BENOIT : Note sur un tableau du musée de Nancy. – Sixte-Quint et Alexandre VII, p. 84./ M. J.-A. SCHMIT : Notice d'une histoire de Lorraine inédite (bibliothèque de la ville de Tours), p. 91./ M. Stanislas THOMAS : Quelques notes sur la paroisse Saint-Nicolas de Nancy, p. 99./ M. Jules ROUYER : les Mémoires de Madame de La Guette dans leurs rapports avec l'histoire de Charles IV, p. 108./ M. Raymond DUPRIEZ : Du Hiéraple à Bousbach, p. 124./ M. Raymond DUPRIEZ : la Chapelle Sainte-Anne du Creutzperg, près Forbach, p. 126./ Opinion de M. VINCENT sur la légende de Maxéville, p. 132. M. Henri LEPAGE : Jean Perrin et son poème. – Histoire d'une recherche restée infructueuse, p. 158./ M. Henri LEPAGE : Encore un mot sur Jean Perrin, p. 211./ MM. Ch. COURBE et Stanislas THOMAS : Callot et la chapelle Saint-Louis, avec deux planches, p. 169./ M. J.-A. SCHMIT : Une entrevue princière à Château-Salins en 1708, p. 177./ Deux lettres du duc de Lorraine Charles IV (communication de M. Ed. de BARTHÉLEMY), p. 185./ M. Dagobert FISCHER : Une consultation de l'Université de Fribourg sur une réclamation du duc Charles IV contre l'évêché de Strasbourg, p. 190./ M. BENOIT : Mémoires de Balthazard Guillerme, p. 192./ Destruction des objets d'art conservés dans le bâtiment de l'Université (communication de M. BRETAGNE), p. 205./ M. L. GERMAIN : Iconographie lorraine, p. 222./ Procès-verbal de l'incendie de la maison de M. le comte de Lutzelbourg à Sarrebourg (communication de M. FISCHER), p. 226. Chronique : – Prix Masson décerné par la Société d'Emulation des Vosges à M. Henri LEPAGE, pour une notice sur Gérardmer, p. 5./ L'office commémoratif du quatrième centenaire de la bataille de Nancy, p. 11./ Réunion des délégués des Sociétés savantes à la Sorbonne, en avril 1877, p. 17./ Communication de M. St. THOMAS au sujet des statues du tombeau du cardinal de Vaudémont, p. 20./ Dépôt des comptes du Trésorier pour 1876, p. 42./ Rapport de la Commission des comptes, p. 90./ Trouvaille de Holz, près de Sarrebruck, en 1873 (communication de M. R. DUPRIEZ), p. 65./ Remarques sur un article du n° 9 du Journal, année 1876, au sujet du village de Joncourt, que M. V. Mangenot prétend être Soncourt, p. 66./ M. J. RENAULD : Liste des documents réunis par les Commissions de la Société en vue de l'inventaire des objets d'art de la France, p. 68, 88./ Angélique et Médor. – Sculpture de Nicolas Adam, de Nancy, au jardin du musée Napoléon, à Amiens, (communication de M. du HAUTOY), p. 87./ La croix de chevalier de l'ordre de François-Joseph accordée par S. M. l'Empereur d'Autriche à M. Constant Lapaix, p. 104./ Inauguration de la statue de Callot. – Discours de M. J. RENAULD. – Vignette, p. 142./ Allocation de 500 francs accordée par M. le Ministre de l'Instruction publique à la Société, p.149./ M. A. BENOIT : Une rectification un peu tardive, à propos d'un autographe attribué au duc Nicolas-François (Journal de 1865, page 99), p. 171./ M. St. THOMAS : Note à propos d'un souterrain à Bouxières-aux-Dames, qui passe pour avoir servi de sépulture à saint Gauzelin, p. 196./ M. P. MOREY : Trouvailles faites à Nancy. – Ancienne église de Saint-Epvre, p. 213./ Médaille d'argent décernée à M. Ch. Laprévote, par la Société d'Émulation des Vosges, pour sa Notice historique et biographique de la ville de Mirecourt, p. 228./ Découvertes archéologiques diverses, p. 228. Bibliographie lorraine : – A propos de la publication du Recueil de documents sur l'histoire de Lorraine, p. 12. Erratum pour un article de décembre 1876, par M. MEAUME, sur les tableaux de Claude Gellée, p. 16. Acquisition de treize volumes de Mémoires et factums dans des procès jugés par la Cour souveraine de Lorraine et Barrois, p. 127. Liste d'ouvrages lorrains, p. 150, 198, 232. Nécrologie : – M. Charles Gérard, avocat à Nancy, p. 173. M. Thilloy (Louis-Gabriel-Jules), conseiller à la Cour d'appel de Nancy, p. 214. II. Musée lorrain : – Souscription pour l’achèvement du Palais ducal et du Musée lorraine, p. 3, 18, 41, 73, 129, 153. Dons faits au Musée lorrain, p. 16, 40, 72, 88, 104, 128, 149, 175, 197, 215, 230. Planches : Vignette de la statue de Callot, p. 143. Ancienne chapelle Saint-Louis, à la citadelle de Nancy, démolie en 1877 ; deux planches, p. 170. Supplément : Table des dix derniers volumes du journal (de 1868 à 1877), par M. Arthur BENOIT, 50 pp. Quelques illustrations en noir et blanc.‎


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‎[ La Vie Parisienne] - ‎ ‎Collectif ; MARCELIN‎

Reference : 65033

(1876)

‎La Vie Parisienne. Année 1876. 14e Année (Du Numéro du 1er avril 1876 au 30 décembre 1876) Moeurs élégantes - Choses du Jour - Fantaisies - Voyages - Théâtres - Musique - Mode‎

‎1 vol. in-folio reliure demi-basane verte, La Vie Parisienne. Année 1876. 14e Année (Du Numéro du 1er avril 1876 au 30 décembre 1876), 4 ff., pp. 180-752‎


‎Bon état pour cet exemplaire complet de la page de titre et de la table des matières, avec tous les numéros depuis le 1er avril 1876 jusqu'à la fin décembre 1876.‎

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