Longman. 1971. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 138 pages. Légères traces de scotch en pages de garde.. . . . Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
Reference : RO60079145
ISBN : 0582480353
Aspects of modern Sociology, The social structure of Britain, Ed. by J. Barron Mays & Maurice Craft. Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
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Lambert Annie Hazard-Tourillon Anne-Marie Heymann-Doat Arlette
Reference : 500059187
(2006)
ISBN : 9782091718590
NATHAN 2006 112 pages 19 4x1x27 2cm. 2006. Relié. 112 pages.
état correct - . la couverture présente plusieurs marques d'usures de frottement lecture et/ou de stockage coins émoussés mais du reste en bon état - envoi rapide et soigné dans enveloppe à bulles depuis france
Exemplaire de présent royal. Paris, Panckoucke, Hôtel de Thou, 1779-1780. 4 tomes reliés en 5 volumes in-8. Plein maroquin citron, somptueuse dentelle dorée aux oiseaux et à la lyre autour des plats, dos lisses ornés du fer aux oiseaux, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge et vert, filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Superbes reliures parisiennes de l’époque attribuables à Derôme le Jeune réalisées selon les instructions de l’auteure. 200 x 128 mm.
Exemplaire de présent royal. Édition originale de la première œuvre d’éducation moderne tournée vers le vrai, le réel et le beau de l’une des femmes de lettres les plus célèbres du XVIIIe siècle, à laquelle la « Biographie universelle » de Michaud ne consacre pas moins de 23 pages in-folio. Barbier, IV, 686 ; Solleinne, Bibliothèque dramatique, II, 2254. « Le ‘Théâtre à l’usage des Jeunes personnes’ fut célébré dans l’Europe entière ; l’œuvre fut traduite immédiatement en Russie et en Allemagne. Madame de Genlis reçut les félicitations de plusieurs souverains européens et de l’ensemble de gens de lettres, avec une mention particulière pour les éloges appuyés de D’Alembert, Marmontel et Fréron. La marquise de Saint-Aubin, mère de madame de Genlis (1746-1830), eut l’habileté de s’introduire dans les salons des grands financiers du temps, où sa fille se fit remarquer par son talent de harpiste. Ce furent ses concerts qui remirent à la mode cet instrument, qu’on avait cru oublié depuis la Renaissance. Quatre fois par semaine, la mère et la fille se rendaient à des dîners à l’issue desquels Félicité de Genlis donnait son récital. Par l’entremise de sa tante, la marquise de Montesson, Félicité de Genlis rencontra Charles-Alexis Brûlart, comte de Genlis, filleul et héritier d’un ancien ministre d’État, Louis Philogène Brûlart de Sillery, marquis de Puisieulx, colonel des Grenadiers, qui devint par la suite marquis de Sillery. Félicité qui cherchait un mari aisé et bien portant sauta sur l’occasion. Les jeunes gens se marièrent en 1763 mais monsieur de Genlis n’interférera jamais dans les ambitions sociales de sa femme. Grâce à sa position dans la société, la comtesse de Genlis fut présentée à la Cour deux ans après son mariage. En 1772, elle accepte d’être dame d’honneur de la duchesse de Chartres. Grâce à sa culture, à son charme, à ses talents musicaux, le ton va changer au Palais-Royal. Elle règne dans ce milieu, habile à diriger et à organiser. En 1776, elle voyage en Italie avec la duchesse de Chartres. Sur le chemin du retour, Ferney, pour une visite à Voltaire. En août 1777, elle s’installe dans un pavillon que contient l’enclos du couvent des dames de Bellechasse. Elle va se consacrer à l’éducation des enfants du duc de Chartres, une éducation fondée sur des idées libérales. On s’est étonné qu’elle se retire ainsi du monde. En réalité, elle trouvait dans cette retraite une plus grande tranquillité et surtout elle se soustrayait aux ragots de la Cour. Elle recevait d’ailleurs beaucoup : Buffon, Marmontel, Rulhière, Bernardin de Saint-Pierre, La Harpe, parfois d’Alembert. Et naturellement le duc d’Orléans, le duc de Chartres, Lauzun. Le duc de Chartres la nomma « gouverneur » de ses enfants, au nombre desquels le futur Louis-Philippe, roi des Français, qui lui voua toute sa vie une adoration. L’ensemble de ces princes et princesses la préférèrent d’ailleurs toujours à leur propre mère. Félicité de Genlis se fit connaître par ses principes sur l’éducation des jeunes gens et notamment par son célèbre « Théâtre à l’usage des jeunes gens » imprimé en 1779-1780. Elle rencontra Rousseau et Voltaire et fut l’amie de Charles-Pierre Claret de Fleurieu, de Bernardin de Saint-Pierre, de Talleyrand, de Juliette Récamier, et composa une œuvre riche de quelque cent quarante volumes. Son premier essai ‘Théâtre à l’usage des jeunes personnes’ reçut les éloges de Marmontel, d’Alembert et Fréron. De 1789 à 1791, elle tient un salon, que fréquente le duc d’Orléans, où se retrouvent Talleyrand, David et de jeunes députés de la Constituante comme Lameth, Barère et Barnave. Tour à tour adulée, honnie, admirée, calomniée, Madame de Genlis demeure une des figures les plus intéressantes de cette période troublée. On lui a prêté beaucoup de liaisons, beaucoup d’ambition ; on lui a reproché de mettre « les vices en actes et les vertus en préceptes ». Elle avait une forte personnalité qui tranchait dans ce milieu versatile où les hommes n’avaient pas toujours des caractères bien trempés. Excellente pédagogue, inventeur de l’éducation moderne tournée vers le vrai et vers le réel autant que vers le beau, soucieuse d’éveiller les jeunes esprits, elle a mérité ce jugement de Stendhal qui la considérait comme « une femme d’infiniment d’esprit ». Dans ses Mémoires sur Joséphine, publiés sous le voile de l’anonyme en 1829, du vivant de madame de Genlis, sa tante, mademoiselle Ducrest dit beaucoup de bien de celle-ci. Dans un parallèle entre madame de Staël et madame de Genlis, tout l’avantage est à sa tante. « Le mot aimable, dit-elle, semble avoir été fait pour la conversation de madame de Genlis. » Rien de plus vrai ; car, jusqu’à la fin, l’auteur du « Théâtre à l’usage des Jeunes personnes » exerçait sur ceux qui la voyaient dans le monde cette puissance de fascination qui lui a fait tant d’admirateurs. « (D.R.R). Exceptionnel et merveilleux exemplaire de présent, comptant parmi les rares imprimés sur grand papier vélin, somptueusement relié en maroquin citron de l’époque à large dentelle ornée, selon les instructions de Madame de Genlis, de lyres – l’instrument qui lui avait permis d’entrer à la Cour – et de couples d’oiseaux destiné vraisemblablement à son royal élève, le futur Louis-Philippe alors âgé de sept ans. Cet ouvrage fut l’un des fleurons du catalogue Martin Breslauer n°110 avec reproduction en couleurs sur double page porté au prix de 32 000 $ en décembre 1992 il y a près de trente ans (n°151).
Bouillon, De l'Imprimerie de la Société typographique, et se trouve à Paris, chez les marchands de nouveautés, 1783. In-8 de VIII-148-(2) pp. maroquin olive, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge, filet à froid d'encadrement sur les plats (reliure de l'époque).
Édition originale rare imprimée à Bouillon.Plan de réforme de l'enseignement élaboré en 1783 selon la théologie naturelle qui porte essentiellement sur le latin, la scolastique et la grammaire française « faite de telle sorte que puisse y être substituée, pour le latin une grammaire pareille». Selon le comte de Vauréal « une éducation nationale est une nécessité absolue : que c’est presque la seule porte ouverte à la réforme des moeurs des lois (…) le gouvernement semble avoir le plus grand intérêt, non seulement à la refonte des moeurs qui sont l’oreiller sur lequel l’enfant qui va naître doit reposer sa tête ; mais à opérer cette refonte par l’établissement d’une éducation nationale ».« L’accaparement des établissements jésuites par l’État renvoie surtout à un désir d’uniformisation de l’éducation scolaire, à une nationalisation de l’enseignement, idée de plus en plus présente dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, par exemple dans les textes de La Chalotais, de Rolland d’Erceville, Baudeau, Ménard et du comte de Vauréal. (…) A la veille de la Révolution, les collèges attachés à l’Université de Paris gardent un certain succès, avec une nouvelle relance réformatrice menée par le comte de Vauréal, qui condamne les collèges dans la suite de La Chalotais » (Florian Reynaud, L’éducation dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (1751-1765) Université de Caen, 2004).Exemplaire probable de l'auteur, complet du feuillet d'errata relié entre l'explicit (p. 135) et la "Table des Prix du Septier de Bled" (pp. 137-148), comportant de nombreuses corrections dans le texte à l'encre du temps (pp. 15, 25, 33, 74, 75, 78, 79, 95, 96, 97, 124, 127).Très bon exemplaire en maroquin d'époque.Buisson, Dictionnaire de Pédagogie, I, p. 200 ; inconnu à l'INED.
Claude Jean-Jacques Doumerc Vincent Collectif
Reference : 500142927
(2013)
ISBN : 9782210104266
MAGNARD 2013 272 pages 20 8x1 4x27 4cm. 2013. Broché. 272 pages.
Très bon état
PLUME CAROTTE 2022 128 pages 13 9x22x1 3cm. 2022. Broché. 128 pages.
Très bon état - L'ouvrage qui n'a jamais été lu peut présenter de légères traces de stockage mais est du reste en très bon état. envoi rapide et soigné dans un emballage adapté depuis France